Politique

La Rédaction En raison de son poids géostratégique, la RD Congo a toujours été au centre de la politique africaine et même mondiale des Etats-Unis,comme s’ils ne pouvaient pas demeurer la super puissance planétaire sans avoir de l’influence sur ce pays. En dépit des contacts avec la Chine, cette position n’a guère changé. Pendant plusieurs décennies suivant l’indépendance, la politique congolaise des Etats-Unis avait été dominée par le principe : Mobutu or the Chaos (Mobutu ou le chaos).
Pas de début des travaux préparatoires samedi. Le facilitateur est bloqué. Mieux, la machine est grippée. Edem Kodjo se butte aux dures réalités de la politique congolaise. Lui qui pensait rouler comme dans du beurre. Aujourd'hui, il ne sait pas que faire. Pourtant, à sa dernière conférence de presse, l'homme affichait un optimisme sans pareil. Il ne pouvait pas s'imaginer un seul instant qu'il recevrait un tel coup de massue.
Ouvert  le  dimanche 17 juillet, c’est lundi  18 juillet  2016 que s'est clôturé  le 27ème  sommet de l’Union Africaine.
« Ceux qui ne veulent pas du dialogue, sont les partisans des pillages, du chaos. Nous disons non aux pillages », a lancé le secrétaire général de la Majorité présidentielle (MP), Aubin Minaku à une foule compacte, lors du meeting de cette plateforme tenu vendredi 29 juillet au stade Tata Raphaël. Le secrétaire général de la MP a axé son discours sur le dialogue, la paix, les élections et le soutien en faveur du président de la République, Joseph Kabila. C’est dans une ambiance festive que les militants de la MP ont envahi le stade.
Les activités ont tourné au ralenti, vendredi 29 juillet, dans certains services de la Fonction publique, a constaté Radio Okapi.
Le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, invite toutes les forces politiques, de la majorité et de l’opposition,  ainsi que la population des territoires de Beni et Lubero à se liguer derrière les FARDC pour faire face, ensemble, aux massacres des civils à Beni.
Au cours d’un meeting jeudi 28 juillet à Butembo, Julien Paluku a rejeté les accusations faisant état de la complicité de certains militaires dans les tueries perpétrées dans la région de Beni.