Politique

Ce mardi matin, 15 mars 2016, l’hémicycle du Palais du peuple va connaître une ambiance particulière en ce que c’est la rentrée parlementaire fixée par la Constitution sera effective. C’est une session ordinaire du Parlement qui se veut de tous les enjeux, selon plusieurs observateurs avertis. Dès l’entame, ce sont des brèves séances protocolaires qui seront observées dans les deux chambres. Elles seront consacrées à l’annonce  des matières qui seront soumises aux travaux en plénière à la Chambre haute tout comme à la Chambre basse.

Selon un communiqué de ce parti membre du Gu MSR, hier lundi 14 mars, le président national et les cadres de la Fédération du Haut-Katanga ont été brutalement empêchés de se réunir.

Il a été noté au cours de la réunion tenue hier lundi 14 mars de 07 heures 00’ à 8 heures 00’, une hausse substantielle de 3,26% pour le cuivre. L’once d’or quant à elle a gagné 1,13%, se vendant à 1.250,00 USD, contre 1.236,09 USD précédemment. Pour ce qui est du cobalt, le prix de la tonne métrique s’est maintenu à 23.951,43 USD. Il a aussi été constaté, un ralentissement des prix intérieurs, ainsi que du marché de change dont la fébrilité constatée s’est estompée. Mention spéciale a été faite à la stabilité du cadre macroéconomique et la maitrise du taux d’inflation.

Rarement un leader politique d’Idiofa aura fait l’unanimité comme le député national Oscar Nsaman-O-Lutu. Car dans ce milieu d’Idiofa, il y a toujours des provocations, de petits mots qui jaillissent par-ci par-là dans la foule pour provoquer. Notamment ce fameux cri " oh roue ! ", en vogue dans cette cité pour signifier la gente d’un vélo hors usage avec laquelle jouent les petits garçons. Pour tout dire, traiter un politique ou n’importe quel autre individu de " ho roue " voudrait dire qu’il est un bon à rien. Mais avec Nsaman, rien de tel.

La Ministre française de l’Environnement, Ségolène Royal, qui préside également la COP 21, séjourne en RDC depuis dimanche 13 mars dans la soirée.

La Majorité présidentielle (MP) a remporté, samedi 12 mars, la présidence de dix-sept Assemblées provinciales des vingt-et-une nouvelles provinces, soit 80%. L’opposition, avec le Mouvement de libération du Congo (MLC), n'a gagné que la présidence de trois Assemblées provinciales et la présidence d'une seule Assemblée est enlevée par un candidat indépendant. Ces institutions vont organiser l’élection des gouverneurs, prévue le 26 mars prochain. A

https://www.youtube.com/watch?v=obssH-Vuo3Q Ce lundi 14 mars 2016, le Président de l'UNC, Vital Kamerhe et le Directeur de l'Hôpital Général de Panzi, le Docteur Dénis Mukwege se sont rencontrés à l'Hôtel Memling de Kinshasa.

« Même si la présidentielle n‘est pas organisée, il n‘y aura pas de vacance de pouvoir». Foi de Banza Mukalay, président de l’UDCO. « Après décembre 2016, il ne peut y avoir vacance de pouvoir ». Celui qui l’a affirmé, c’est bien Baudouin Banza Mukalay, président de l’Union pour le Développement du Congo, un parti de la Majorité présidentielle.   RISQUE ÉVIDENT En séjour à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga, Banza Mukalay estime que les élections risquent de ne pas avoir lieu comme cela a été prévu cette année.

En attendant un probable scrutin, 66 candidats ont été retenus après les traitements des recours en contestation au niveau des Cours d’appel des entités concernées! Les candidats indépendants, des partis politiques et regroupements politiques retenus pour participer à l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs des 21 nouvelles provinces,dont le scrutin est prévu le 26 mars prochain, sont désormais connus. C’est dans ce cadre que la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a publié la liste définitive de ces candidats engagés dans la course aux gouvern

Leurs passeports et autres documents ayant été confisqués Dans un communiqué officiel publié le 10 mars 2016, la Voix des Sans Voix (VSV), ONG de défense des Droits de l’homme, s’est dit vivement préoccupée par la restriction injustifiée des passeports des opposants politiques, pour les empêcher de sortir du pays pour recevoir des soins de santé ou pour participer à des conférences et colloques scientifiques auxquels ils sont invités. Deux cas de figure : celui de l’opposant politique Pierre-Jacques Chalupa, cadre du parti politique de l’opposition  » Action pour la