Politique

Dans son allocution lundi 25 février dernier à l'occasion des Grandes Conférences Catholiques tenues en Belgique, le cardinal Laurent Monsengwo a affirmé que les élections générales organisées en République Démocratique du Congo l'année dernière, ont été ont bâclées. "Normalement, j'aurais dû envoyer le texte de ma conférence aux organisateurs plusieurs mois avant ladite conférence.

Au cours d'une interview accordée en marge de la conférence sur l'avenir de la RDC organisée le lundi 25 février dernier en Belgique, Laurent Monsengwo a émis le souhait de voir le peuple congolais s'armer de courage pour continuer a se battre pour défendre les valeurs de justice, de vérité et de paix. "Le mot du courage au peuple congolais, c'est d'aider tout le monde à arriver aux valeurs d'espérance, aux valeurs de vérité et aux valeurs de fraternité", affirme le prélat catholique. A la question de savoir si le président Tshisekedi pouvait aider dans cette démarche, la réponse de Monsengw

Selon l'ancien archevêque métropolitain de Kinshasa, les résultats de l'élection présidentielle publiés par la CENI et confirmés par la Cour Constitutionnelle, donnant pour vainqueur Félix Tshisekedi, ne sont pas conformes avec ceux de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo, "CENCO". Monseigneur Laurent Mosengwo qui s'exprimait le 25 février dernier à l'occasion des Grandes Conférences Catholiques en Belgique, a indiqué que Martin Fayulu avait selon les chiffres de la CENCO, obtenu 62,11%. "Dans la nuit de mercredi à jeudi, 10 janvier 2019, la Commission Électorale Nationale Indépendant

Martin Fayulu Madidi n'a pas voulu commenté ce mercredi 27 février 2019 la mise au point de l'Ensemble pour le Changement de Moïse Katumbi sur la crise post-électorale congolaise mais aussi sur l'avenir de la coalition LAMUKA. "Ne me posez pas de question sur LAMUKA aujourd'hui.

Martin Fayulu Madidi a échangé mercredi 27 février 2019 avec le président de l'Église du Christ au Congo, "ECC", à Kinshasa. A l'issue de cet entretien, il a livré à presse les deux volets de son plan de sortie de crise dont une copie a été remise à l'ECC. "Le plan c'est très clair, nous voulons la vérité des urnes en deux volets. Le premier volet c'est le recomptage des voix comme nous l'avons demandé et comme tout le monde l'a dit. Dans un autre cas, rentrons aux élections, refaisons les élections dans 6, 7 ou 8 mois pour savoir qui réellement a gagné", a dit Fayulu.

Martin Fayulu Madidi a échangé ce mercredi 27 février 2019 avec le président de l'Église du Christ au Congo, "ECC", à Kinshasa. Cet entretien s'inscrit dans le cadre de la démarche initiée par l'ECC d'engager la Nation dans les concertations au regard de la situation politique actuelle. Opportunité pour Martin Fayulu de rappeler devant la presse a l'issue des échanges, le plan de sortie de crise de LAMUKA qu'il a remis au responsable de l'ECC. "Le plan c'est très clair, nous voulons la vérité des urnes en deux volets.

Devant la diaspora congolaise en Namibie mercredi 27 février 2019, Félix Tshisekedi a dévoilé son intention de nommer un informateur pour identifier la majorité parlementaire. "Dans les jours qui viennent je vais avoir un gouvernement, j'ai entendu beaucoup de spéculations, il y a eu des élections législatives...

Au lendemain de la déclaration de l'Ensemble pour le Changement censée lever les ambiguïtés autour du processus électoral en général et de la vérité des urnes en particulier, chacun au sein de la plateforme chère à Katumbi y va de son interprétation. Pendant que le vice-président de l'Ensemble affirme que la dynamique de la la vérité des urnes a atteint ses limites, le directeur de cabinet de Moïse Katumbi nuance dans son tweet du mercredi 27 février. "La vérité n'est pas un produit perisable, la victoire de Martin Fayulu a été volée.

Dans un mémorandum adressé au gouvernement américain via son ambassadeur à Kinshasa, le panel d'experts de la société civile de la RDC a désapprouvé les sanctions américaines contre des dirigeants congolais dont le président de la CENI Corneille Nangaa, son adjoint Norbert Basengezi, l'ancien président de l'Assemblée nationale Aubin Minaku, le président de la Cour constitutionnelle Benoît Lwamba et Marcelin Basengezi conseiller de Corneille Nangaa pour corruption... "Monsieur l'Ambassadeur, suite à la désignation publique des personnalités Congolaises par votre Secrétaire d’Etat, le Panel des

La dernière sortie médiatique de Mgr Laurent Monsengwo confiant à Martin Fayulu la victoire à la présidentielle, suscite des réactions. Pour le président de l'UDPS section Arizona aux USA, Laurent Monsengwo devait plutôt présenter des preuves qui attestent la victoire de Fayulu. "En démocratie, chacun est libre de donner son avis et je respecte celui de Mgr. Monsengwo. Mais en matière de contentieux électoraux, seul les preuves (PVs)sont valables et sur ce point, à ces jours, il y’a en pas pour contredire la décision de la CENI et de la Cour.