Politique

C’est le président de la CENI qui a conduit cette délégation à la Vice-Primature, ministère en charge de l’Intérieur, pendant que le CSFE (Comité de suivi du fichier électoral) a salué cette rencontre et invite les parties prenantes (nationales et internationales) à la collaboration dans l’intérêt de la survie démocratique électorale! La Mission concertée Nations-Unies et OIF (Organisation internationale de la Francophonie) séjour déjà à Kinshasa pour débattre du processus électoral en RD Congo. Conduite par le président de la CENI (Commission électorale nationale i
Le facilitateur désigné par l’UA (Union Africaine) se trouverait à Addis-Abeba où il est allé faire rapport à la présidente de la Commission de l’Union Africaine et il serait de retour dans la capitale congolaise au courant de cette semaine pour continuer son travail Le facilitateur désigné par la présidente de la Commission de l’Union Africaine pour le dialogue politique en RDC en vue de résoudre la crise née des élections du 28 novembre 2011 est introuvable à Kinshasa. Et pourtant, lors de son point de presse tenu à Kinshasa, l’ancien premier ministre togolais ava
Dans une résolution diffusée à Kinshasa le dimanche 1er mai 2016, journée de la fête du Travail, sur les cinq cents partis politiques congolais, une dizaine de petits partis politiques ont déclaré ce qui suit :
Partant de l’expérience scandaleuse de l’élection des gouverneurs dans les 21 provinces issues du démembrement, la Cenco craint que le processus électoral ne soit compromis à l’avance. Bien plus, elle émet des réserves quant à la tenue prochaine des élections transparentes et apaisées.
Etonnant que le président de l’assemblée nationale ait décidé d’écarter de la liste des députés Ne Kongo ayant accompagné la dépouille de Kombo Nkisi à Kisantu, l’opposant Jean Claude Vuemba, pourtant président du caucus des élus de cette province. Vuemba lui- même l’affirme sans jambage. D’abord, une liste avait été élaborée pour que quinze élus Ne Kongo accompagnent la dépouille de leur collègue jusqu’ à l’inhumation dans son village de Kayinika à Madimba.
Alors que le dialogue politique national se dessine entre trois camps, à savoir la Majorité présidentielle, l’Opposition et la Société civile, le M17, qui se considère comme un parti centriste, exige un quota dans le comité préparatoire. Message directement orienté vers le facilitateur désigné de l’UA, Edem Kodjo.   Le facilitateur du dialogue national en RDC, le Togolais Edem Kodjo, a visiblement du pain sur la planche dans l’accomplissement de la tâche lui confiée par l‘Union africaine.
Se tiendra-t-il ou se tiendra-t-il pas ? La question est sur les lèvres. Mais, avec l’ambiguïté qui entoure l’organisation, le dialogue risque d’accoucher d’une souris.   Cinq mois viennent de s’écouler d puis que le chef de l‘Etat a igné une ordonnance instituant le dialogue politique. Bien que l’Union africaine ait nommé le facilitateur en la personne d’Edem Kodjo, le train tarde à quitter la gare, compte tenu de la divergence de vues autour de la désignation des membres devant faire partie du comité préparatoire.
C’était pré visible. Le contraire aurait étonné. On savait déjà que la question orale avec débat adressée au Premier ministre, Matata Ponyo Mapon, se transformerait en motion de censure. Tout le monde le prédisait. Au plus ha ut niveau de la Chambre basse du Parlement, le schéma était tracé d’avance. L‘honorable Mbindule Mitono, initiateur de la question orale, n’a été que l’exécutant, sous-traitant d’un complot visant directement Matata.   La République démocratique du Congo est véritablement un pays de contradiction.
Dans les couloirs du pouvoir en place à Kinshasa, Moïse Katumbi Chapwe est un homme à abattre. Tous les moyens sont bons. Les stratèges de tous bords et de tous acabits sont mis à contribution pour atteindre cet objectif que les proches de l’ancien gouverneur du Katanga qualifient d’ignoble et de satanique.   Un travail de sape a été lancé dans les médias proches du pouvoir aux fins de fragiliser davantage le candidat désigné du G7 à la présidentielle 2016.
Un ministre et un député national membre du Bureau politique de la Majorité ont tenté d’influencer la conclusion de la question orale avec débat adressée à Matata Ponyo. Objectif : épargner le chef du gouvernement d’une éventuelle motion de censure.