Selon les milieux proches de ce parti, la campagne de débauchage menée par le député national Florent Lebe, membre de l’aile dissidente de l’ARC inféodée à la Majorité Présidentielle(MP), en vue de déstabiliser la maison mère de l’ARC (Alliance pour le Renouveau du Congo), vient d’accoucher d’une souris.
Au lendemain du Congrès du parti cher à Olivier Kamitatu, indique-t-on, Florent Lebe avait réuni les présidents fédéraux de l’ARC au siège de l’aile dissidente.
Politique
« Aux chrétiens de notre pays, spécialement aux laïcs catholiques, nous demandons de prendre conscience de la nécessité de leur participation active à la prise des décisions qui ont un impact sur la marche de la vie collective. Soyez-y présents en tant que chrétiens et apportez-y la lumière du Christ. N’attendez pas la permission des Evêques pour vous engager dans la politique et ne leur demandez pas de le faire à votre place. C’est bien là le domaine de votre sanctification.
Environ deux mois après sa dernière intervention devant la Représentation nationale, le chef du gouvernement est attendu de nouveau par les députés mais en changeant d’exercice : jeudi 10 décembre, sauf imprévu, il va rendre compte de l’état d’exécution de son plan d’action dans le cadre de la question orale avec débats du député UNC Crispin Mbindule Mitono.
Crispin Mbindule Mitono, député élu du Nord-Kivu siégeant sur les bancs de l’UNC de Vital Kamerhe, semble porter des griefs contre le Premier ministre.
L’Onu a publié un rapport accablant contre le régime de Kinshasa. Un rapport qui répertorie tous les cas de violation des droits de l’homme depuis le mois de janvier 2015 jusqu’à décembre. Les libertés d’association, de réunion, de manifestation publique sont ballonnées. Il faut ajouter à cela le musèlement de la presse et la traque des opposants. Entre janvier et septembre, le Bureau conjoint des droits de l’homme de l’Onu a documenté 143 cas de violation de droits de l’homme liés au processus électoral.
Le communiqué de la présidence diffusé mardi soir sur les antennes de la télévision publique démontre que la pression de l’Udps a payé. ‘‘La présidence de la république annonce que le comité préparatoire du dialogue politique est en train d’être constitué sur base de l’article 2 de l’ordonnance convoquant le forum’’. Pour ne pas vexer l’Udps- le seul partenaire au dialogue, la présidence a nuancé en faisant savoir que les consultations menées par l’envoyé spécial du secrétaire général de l’Onu, Said Djinnit, participent à la démarche constitutive dudit comité.
Le Sénat a voté une série de propositions de lois, notamment celle relative au Traité de Rome sur la CPI.
Le Sénat a procédé, au cours de sa séance plénière de mardi, au Palais du peuple, au vote de la proposition de loi de mise en œuvre du Traité de Rome portant sur la Cour pénale internationale (CPI).
Pouvoir et UDPS ont rapproché leurs vues presque sur tout ce qui les opposait sauf sur le nom de la personnalité devant assurer la facilitation. Le président de l’UDPS a rejeté le Mozambicain Joaquim Chisano, l’Angolais Dos Santos... et l’Algérien Saïd Djinnit.
Le dialogue avec la médiation internationale et qu’exposé dans la feuille de route de l’UDPS et ses alliés ne peut servir de prétexte pour retarder les élections.
Le dialogue politique est in contournable, car c’est le seul élément catalyseur pour conduire le peuple congolais aux élections dans un climat apaisé.
Ce rapport onusien souligne la nécessité pour les autorités Congolaises de protéger les droits civils et politiques en amont d’élections clés.
Dans un rapport, las Nations Unies dénoncent les violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales commises entre le 1er Janvier et le 30 septembre dans le contexte du processus pré-électoral.
Pris au départ pour le médiateur tant attendu désigné par le Secrétaire général des Nations Unies en vue de piloter le Dialogue national en République Démocratique du Congo, Saïd Djinnit, son Envoyé Spécial dans les Grands Lacs, s’est révélé finalement comme un fonctionnaire chargé de déblayer simplement le terrain. Arrivé à Kinshasa le mercredi 2 décembre 2015, il est reparti en fin de semaine, avec une moisson que nombre d’observateurs estiment insuffisante.
L’Opposition contre un Dialogue « version Kabila »