Politique

Le dialogue national entre l’Opposition et la Majorité présidentielle (MP) doit aboutir à la tenue d’une table ronde au format réduit pour ne discuter que du calendrier électoral global. Le président du parti « Patriote kabiliste », Mwenze Kongolo l’a affirmé dimanche 10 mai, au cours d’une conférence de presse organisée à Lubumbashi au Katanga. « Si nous allons parler avec le pouvoir, nous devons parler du calendrier. Tel qu’il est, il n’est pas réaliste. Nous avons fait une contre-proposition et c’est cette contre-proposition que nous voulons discuter.

Le gouvernement organise régulièrement des réunions sécuritaires pour l’Est de la RDC et on ne doit pas exposer les stratégies sécuritaires sur la place publique, a affirmé lundi 11 mai le ministre des Médias, Lambert Mende. La veille, le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, invitait le Premier ministre Matata Ponyo à se concentrer sur la sécurité dans l’Est. Il a fait cet appel au lendemain de la mort de sept personnes, massacrées au quartier Matembo, dans la commune de Mulekera.

Le président Joseph Kabila tente une nouvelle ouverture politique en proposant un dialogue avec l’opposition, qui craint une simple tentative de partage du pouvoir en vue d’une possible transition. Un dialogue pour quoi faire ? C’est sans doute cette question que doit se poser l’opposition congolaise après la visite d’un émissaire du président Joseph Kabila la semaine dernière aux QG des principaux partis. C’est le responsable des services de renseignements congolais (ANR), Kalev Mutond, qui a joué les intermédiaires.

L'Opposition républicaine, plateforme de partis réunis autour du président du Sénat, Kengo Wa Dondo, se prononce en faveur du dialogue proposé à l'opposition par le président Kabila. A l'issue d'une réunion de son Conseil national, cette plateforme a également sanctionné des membres influents qui s'opposent à la direction de la composante. L’Opposition républicaine est une plateforme qui participe au gouvernement. Cette opposition, autour du président du Sénat, Léon Kengo Wa Dondo, n’a pas été jusqu’ici consultée par l’émissaire du président Kabila pour le dialogue politique.

La ville de Beni, dans la province du Nord-Kivu, se transforme en mouroir. Depuis le mois d’octobre dernier, cette ville a connu une situation sans pareille au monde, avec une série de massacres qui a fait plus de 300 morts selon une source officielle. Des sources officielles ont confirmé la mort de six personnes, qui ont été retrouvées le samedi 9 mai dernier à Matembo, vers l’aéroport de Mavivi, à 12km du centre-ville de Beni.

Lors d’une tournée d’inspection dans la partie nord de sa juridiction, le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku, a condamné l’assassinat de deux soldats du contingent Tanzanien de la Monusco de retour d’une patrouille sur l’axe de Oicha, rapporte une dépêche de l’Agence Congolaise de Presse (ACP), datée du 06 mai 2015.

Il y a beaucoup à redire sur la liste des agents permanents sélectionnés par le CADICEC, Centre d’action pour dirigeants et cadres d’entreprise au Congo, pour la province de Maï-Ndombe.

Au fil du temps, l’appel à un dialogue politique inclusif qui était considéré au début comme une voix qui clamait dans un désert devient de plus en plus de nos jours un cri à l’unisson pour un nouveau départ national ! Après la collecte annoncée de memoranda adressés au pouvoir par les trois formations politiques phares de l’opposition en rapport avec l’organisation et la tenue effective d’un dialogue politique inclusif à l’intention de la classe politique du pays, les langues ont commencé à se délier au sujet des matière à inscrire à l’ordre du jour de ce forum. Un coin de voile qui vient d’

La motion de défiance initiée contre le vice-Premier ministre, ministre des Postes, télécommunications et Nouvelles Technologies de l’information et de la Communication a été rejetée le vendredi 8 mai dernier par les députés nationaux.

Le député national Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua a demandé, vendredi 8 mai dernier, dans une question orale avec débat, au ministre de la Santé publique d’éclairer les membres de l’Assemblée nationale sur la lutte contre les faux médicaments et les charlatans qui proposent toutes sortes de thérapie à la population congolaise. Selon cet élu du peuple, cette vente illicite s’opère sans que l’Etat n’exerce un véritable contrôle de qualité pour déterminer la fiabilité de ces produits et thérapies, au moment où les populations sont exposées à toute forme d’escroquerie et abus qui mettent en p