Politique

Le ministre de Postes, télécommunications, nouvelles technologies de l’information et de la communication, amorce son retour au pays via Bejing, après la conférence de l’Union internationale des télécommunications à Busan en Corée du Sud. Mais, en acteur politique vertébré - parce que président du Parti pour l’action et membre du bureau politique de la Majorité présidentielle - le Pr Tryphon Kin kiey Mulumba a eu le temps de twitter la presse congolaise. C’est de la sorte qu’il s’invite au débat sur les sujets d’actualité en RDC en commençant par les évènements au Burkina Faso.
Le Gouvernement n’a pas atteint les prévisions des recettes que lui avait assignées le Parlement. * La faible capacité d’absorption du budget par l’Exécutif national a été aussi épinglée par l’Ecofin. Le rapport de la commission Economique, financière et contrôle budgétaire (Ecofin) de l’Assemblée nationale sur la reddition des comptes 2013 est fin prêt.
Le représentant spécial adjoint du secrétaire général de l’Onu chargé des opérations dans l’est de la RDC, le général Abdala Wafy, invite la population du Nord-Kivu à ne pas céder à la campagne d’intoxication et de manipulation contre la Monusco. Au cours de la conférence hebdomadaire des Nations unies mercredi 12 novembre à Kinshasa, le général Wafy a dénoncé l’instrumentalisation de la population, suite aux derniers massacres de civiles par des hommes armés.
Les conclusions finales des parties dans l’affaire le procureur contre l’ancien vice-président et sénateur congolais Jean-Pierre Bemba ont débuté mercredi 12 novembre à la Cour pénale internationale (CPI), à la Haye (Pays-Bas).
Les débats contradictoires entre le ministère public et la défense débutent mercredi 12 novembre au procès des présumés assassins du colonel Mamadou Ndala, ouvert depuis près de six semaines dans la ville de Beni au Nord de Goma (Nord-Kivu).
Après le spectacle désolant offert par les députés de la MP lundi dernier au Palais du peuple. Le devoir de mémoire qui s’impose à l’ensemble du peuple congolais doit mobiliser déjà l’opposition et les organisations de la société civile… L’opinion nationale et internationale a été témoin d’un non événement survenu lundi dernier au palais du peuple à Kinshasa : la salle de congrès où siègent les députés nationaux a servi d’arène à un groupe d’élus pugilistes appartenant à la majorité présidentielle ! En effet, non contents de la tournure qu’avait prise l’affaire dite » Kitebi « , une affaire d
Le site touristique de Zongo, dans la province du Bas-Congo, abrite, depuis lundi 10 novembre 2014, l’atelier de formation des formateurs sur » Genre et Elections » et d’élaboration du Plan stratégique organisé par la CENI (Commission électorale nationale indépendante) en partenariat avec l’ONU-Femme. Les travaux ont été ouverts par le vice-président de la CENI, André Mpungwe, qui a relevé que l’organisation de cet atelier fait partie du programme d’opérationnalisation du Cadre de concertation « Genre et Elections ».
Des millions de Congolais sont restés sur leur soif à l’issue de la plénière du lundi 10 novembre 2014 à l’Assemblée Nationale, laquelle devait débattre de deux motions de défiance dirigées contre deux membres du gouvernement, en l’occurrence le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des Finances et le ministre de l’Industrie.
Sous la modération du Premier ministre honoraire Adolphe MUZITO, haut cadre du parti, et dans le cadre des activités marquant le cinquantenaire de son existence, le Parti Lumumbiste Unifié (PALU) a organisé les 8 et 9 novembre 2014 des travaux dans des ateliers. Dont notamment trois interventions faites le samedi 8 novembre 2014 à l’hôtel Sultan. Jacques Fumunzanza a planché sur « les partis politiques et les idéologies » où il a noté que de nombreux leaders qui créent des partis politiques à ce jour se réfèrent et recrutent souvent dans leurs milieux tribaux et régionaux.
48 heures après la plénière de tous les dangers du lundi 10 novembre, la vérité commence à se manifester dans des proportions insoupçonnées. Il se révèle, en effet, que le plus grand danger des deux motions de défiance tombées caduques ne provenait nullement de l’Opposition. Bien au contraire, c’est au niveau de la MP que s’était ourdi un complot interne contre le gouvernement.