Les opérations en Centrafrique et au Mali ont coûté cher à la France qui milite pour que les dépenses de maintien de paix et de sécurité soient prises en compte dans l’aide publique au développement. D'autres pays souhaitent inclure la lutte contre le terrorisme.
Les opérations militaires françaises au Mali et en Centrafrique représentent un coût pour l'Hexagone.
Sécurité
C’est presque à un jeu de ping-pong que l’on assiste depuis le week-end dernier entre le Gouvernement de la République Démocratique du Congo et la Monusco au sujet de l’affaire de la traque des- Fdlr.
Les FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) vont poursuivre, sans le soutien de la Monusco (Mission des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo), les opérations de désarmement forcé des FDLR (Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda), déclenchées le jeudi 29 janvier 2015. Kinshasa renonce, officiellement, à tout appui militaire ou logistique des troupes onusiennes.
Dans la croisade pour la récupération des armes aux civils, Jean Bamanisa fait décidemment mieux que ces organismes internationaux qui se livrent à des tapages médiatiques pour des résultats peu perceptibles.
Quand le Gouv de la Province orientale fait du troc 100 dollars contre une arme., le PNUD, les Fonds allemands pour le développement ainsi que l’Agence australienne de développement (AUSAID), n’ont déboursé qu’à peine USD 160.000 (159.252,3 USD) pour financer les travaux de construction des antennes provinciales de la commission nationale de contrôle des armes légères et de petit cali
L’administrateur du territoire d’Uvira, Samuel Lunganga Lenga exhorte ses administrés à collaborer avec les militaires pour assurer la sécurité dans cette partie du Sud-Kivu. Il a lancé cet appel, vendredi 13 février, au lendemain d’une vive tension survenue après l’assassinat de trois femmes et un enfant par un militaire dans la Plaine de la Ruzizi.
Samuel Lunganga a affirmé que le fameux militaire a été arrêté et transféré à Bukavu, chef-lieu de la province, où il va répondre de ses actes devant la justice.
«Un militaire est avant tout un civil, il ne tombe pas du ciel car il prov
Arrêté depuis le 21 janvier dernier puis transferé à la prison centrale de Makala dépuis hier jeudi 12 février, Christopher Ngoyi, l'activiste des Droits de l’homme a été présenté le 10 février dernier, au ministre de l'Intérieur. Ce dernier l'a à son tour, remis au Procureur général de la République. Curieusement, la Police s'est arrogée le droit de qualifier les faits pour lequel, il est poursuivi.
Etudiante à l'Université de Kinshasa, Noelinne Maniongo est Chargée de mobilisation de l'UNC à Ndjili. Elle a été interpellée le 22 janvier au Campus de son Université par des agents de l'Agence nationale des renseignements (ANR).
Alors qu'elle s'était rendue au home où, elle a toujours séjourné.
Elle est jusqu'à ce jour, portée disparue. Sa famille et ses proches ont sillonné tous les cachots de la ville, ils ne l'ont pas trouvée. Des sources crédibles les ont fait savoir que Manionga serait détenue dans les geôles de l'ANR, dans des mauvaises conditions, comme d'habitude.
Le coordonnateur national du Mécanisme national de suivi de l’accord d’Addis-Abeba, François Muamba, a déclaré mercredi 11 février que le dossier «ex-M23 » serait bientôt clos. Il est s’exprimé au terme d’une réunion d’évaluation des déclarations de Naïrobi, signées en décembre 2013 et mettant fin à la rébellion du M23.
Depuis quelques jours, un nouveau front vient de s’ouvrir dans les relations entre le Gouvernement de la RDC et la MONUSCO, deux partenaires dont la collaboration parfois chahutée a pourtant donné des résultats remarquables dans la pacification de la République Démocratique du Congo.
Après l’expiration du énième délai accordé aux FDLR pour un désarmement volontaire et face à l’échec patent de cette opération, la CIRGL et les autres partenaires de la Communauté Internationale ont exprimé leur ras-le-bol et leur impatience, sommant ainsi la RDC à engager sine die des opérations militaires pour
Au cœur de l’actualité nationale, la question de la suspension de l’appui de la Monusco aux FARDC dans la traque contre les rebelles rwandais des FDLR a dominé, hier mercredi 11 février 2015, la conférence de presse hebdomadaire de la Mission onusienne, principalement animée par Martin Köbler.