Société

La police nationale a interpellé, mardi 31 mai, quatre creuseurs, accusés d’avoir vandalisé la ligne de la fibre optique au niveau du pont jeté sur la rivière Lubi, en territoire de Kabeya Kamuanga (Kasaï-Oriental). Ces inciviques avaient creusé jusqu’à 1,4 mètre sous terre pour sectionner le câble de la fibre optique. Des sources concordantes renseignant que le groupe chinois chargé de placer la fibre optique au Kasaï-Oriental, accompagné de policiers, a trouvé ces jeunes avec des sections de fibre optique entre leurs mains. Interpellés, ces creuseurs ont été acheminés au parquet de Mbuji-

La BCC a suspendu le Conseil d’administration de la BIAC dont des ténors étaient introuvables à Kinshasa et placé sous sa tutelle l’institution en banqueroute.   C’est officiel. La Banque centrale du Congo –BCC- a suspendu le Conseil d’administration de la Banque internationale pour l’Afrique au Congo –BIAC- dont des ténors étaient introuvables à Kinshasa et placé sous sa tutelle l’institution en banqueroute. Désormais, la BIAC est gérée par des fonctionnaires de la BCC. Après la révélation par la presse, «AfricaNews» en première ligne, de la faillite de la BIAC, personne n’y a cru.

Le calme est effectivement revenu à l’institut Supérieur des Techniques Appliquées (ISTA) où les étudiants reprendront le chemin des auditoires dès ce vendredi 03 juin.

La situation qui a prévalu le samedi 28 mai 2016 en plein marché transfrontalier de Lufu et plus spécialement dans sa partie située en territoire angolais mérite tout de même que Von puisse en parler afin d’interpeller les dirigeants de ces deux pays frères qui, pourtant, entretiennent de très bonnes relations depuis des lustres et ce, dans plusieurs domaines.   En effet, des dizaines de cambistes congolais qui ont acquis l’habitude de fréquenter ledit marché chaque samedi de la semaine dans le but primordial d’y effectuer les opérations de changes des monnaies ont été surpris, le samedi der

La bancarisation de la paie des militaires lancée depuis trois ans, tambours battants, sur l’ensemble du territoire national, poursuit son bonhomme de chemin, à la satisfaction de ses initiateurs. Car, si d’un côté, elle a permis aux responsables de notre armée, de maîtriser les effectifs et de ne payer que les éléments actifs, de l’autre côté, elle a créé la misère de tous ceux qui s’enrichissaient sur le dos des fictifs pléthoriques. Triste réalité !

Le Programme des Nations Unies pour le Développement(PNUD) et la Banque Africaine de Développement (BAD) mobilisent les parties prenantes au processus de formulation de l’Agenda d’Action du Pays (AAP) pour un accès pour tous à l’énergie durable. Pour ce faire, la RDC a mis en place un Programme d’Investissement (PI) en énergie durable. Le ministère de l’Energie et des Ressources Hydrauliques, avec l’appui de ses deux partenaires le PNUD et la BAD travaille pour doter le pays d’outils susceptibles d’améliorer l’accès de tous à l’énergie.

Par ailleurs, le ministre Yav Mulang positionne la RDC pour abriter le siège régional de la banque panafricaine. Les lampions se sont éteints, le week-end dernier, sur les assises conjointes de la 51ème Assemblée Annuelle de la Banque Africaine de Développement (BAD) et de la 42ème Assemblée Annuelle du Fonds Africain de Développement (FAD). C’est une conférence de haut niveau sur l’avenir financier du continent avec tous les défis de l’émergence et de la croissance économique à maintenir, qui s’est tenue à Lusaka, en République de Zambie.

Situation tendue hier lundi 30 mai à la succursale, du fait qu’aucun billet de dollar ne se trouvait dans les caisses de la banque. Malgré la question orale adressée au gouverneur de la Banque centrale du Congo à son sujet, la Banque internationale pour l’Afrique au Congo (BIAC) bat toujours de l’aile. C’est l’impression enregistrée hier lundi 30 mai à l’agence BIAC logée à l’immeuble FORESCOM.

Entre le patronat congolais, la FEC (Fédération des entreprises du Congo, et le Premier ministre, Matata Ponyo Mapon, C’est la bataille rangée. Dans un communiqué au vitriol, diffusé en début de semaine, le cabinet du Premier ministre rappelle tout le mal que le président de la FEC a causé à la République, depuis la débâcle du PEG 2 en 2012, la désintégration de la Banque centrale du Congo et la déroute de la Gécamines.   Entre le Premier ministre, Matata Ponyo Mapon, et le président de la Fédération des entreprises du Congo (FEC), il n’a jamais existé un parfait amour.

Un coin de voile a été levé le week end passé sur l’affaire de l’assassinat crapuleux du jeune cambiste Papy Masamba « Massaro » de Lingwala.