Société

La société civile de Kalemie chef-lieu de la province du Tanganyika a décrété ce vendredi 26 avril 2019 selon Radio Okapi, une journée ville morte pour dénoncer l’implication d’un agent des Forces de l’ordre dans le braquage d’un établissement. Depuis les premières heures du matin rapporte la même source, les activités sont paralysées. Les écoles et magasins ont fermé et les activités commerciales dans cette partie du pays, tournent quasiment au ralenti affirme la radio onusienne.

Avec plus de 3 millions d'auditeurs chaque semaine, Top Congo FM est la radio la plus écoutée en RD Congo devant RFI et Radio Okapi ; d'après une étude de Kantar TNS effectuée de septembre 2017 à juin 2018. L'exploit de Top Congo est d'autant plus belle car cette station n'est pas subventionnée alors que les deux autres le sont à coup des millions de dollars américains, RFI par le gouvernement français, et Radio Okapi par les Nations-unies (ONU). En effet, Top Congo ne vit que du marché de publicité local, dont par ailleurs l'on connaît son étroitesse.

Les militants du mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) section Beni ont, depuis jeudi 25 avril 2019, declenché un sit-in jusqu'à nouvel ordre devant le Shop Central de la société de télécommunication Airtel. La LUCHA dit ainsi réagir suite à la non pris en compte de ses révendications par ladite l'entréprise.

La sénatrice congolaise Francine Muyumba a démissionné, ce jeudi 25 avril, de son poste de Présidente de l'Union Panafricaine de la Jeunesse ( UPJ). Cette démission, a-t-elle expliqué, est consécutive à son élection comme sénatrice au terme des sénatoriales organisées au mois de mars dernier en RDC. Francine Muyumba a annoncé cette décision en présence du Vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères, Alexis Thambwe Mwamba et du Comité exécutif de l'UPJ.

À l'issue de son sit-in organisé ce jeudi 25 avril devant le siège de la société de télécommunication Vodacom, la LUCHA a déposé un mémorandum contentant des propositions faites à l'endroit de ladite entreprise, pour améliorer ses services. À titre indicatif, la LUCHA propose qu'avec 50 unités, les abonnés Vodacom obtiennent 9 minutes, 100 SMS et 30 mégas. Signalons par ailleurs que quelques mouvements citoyens se sont joints à ceux de la LUCHA au cours de ce sit-in, à l'instar de ECCHA-RDC/Patrimoine National, Il est Temps ou encore La Rue.

La directrice sectorielle Education de la Banque mondiale a visité ce mercredi 24 avril, les stands où s'organisaient des expositions et animations scientifiques, à l'Institut de la Gombe, dans le cadre de la sixième édition de la Semaine de la Science et des technologies ( SST). Elle s'est dit satisfaite de cette initiative. Meskerem Mulatu s'est réjouit du bon déroulement de cette édition de la SST qui, a-t-elle affirmé, contribuera à coup sûr, à l'accompagnement du Projet Peqpsu financé par cette institution de breton wood.

Jeudi 25 avril 2019, Éric Monya, analyste politique, a accusé les mouvements Lucha et Justicia sections Lubumbashi de mener une campagne d'intoxication contre la sénatrice Francine Muyumba.

Le député national Claudel Lubaya a apporté son soutien au mouvement citoyen Lutte pour le Changement, "LUCHA", qui dénonce la surfacturation des services et la mauvaise qualité des prestations de sociétés de télécommunication opérant en République Démocratique du Congo.

La ligue des jeunes révolutionnaires, (LIJER) et les Forces du Renouveau, (FR), annoncent la tenue d'un sit-in ce vendredi 26 avril 2018 devant l'ambassade sud-africaine à Kinshasa. Cette action a pour but de "dénoncer les actes xénophobes dont sont victimes des congol vivant à Durban, Cape Town...". "Nos frères sont tués, maltraités, et la police sud-africaine interdit la prise et la diffusion des images pour que l'information ne soit pas véhiculée. Nous invitons les kinois à se joindre à nous ce vendredi...", a déclaré Ludovic Kalengayi des Forces du Renouveau.

Le personnel soignant de la ville de Butembo et ses environs a répondu à son rendez-vous ce mercredi 24 avril tel qu'annoncé le week-end dernier. Ils ont manifesté leur indignation face aux actes d'assassinat et de séquestration dont ses agents sont victimes de la part des hommes armés depuis qu'ils se sont investis à lutter contre le virus ebola dans la zone. Ceux-ci disent s'étonner que la population s'en prenne à eux alors que jusque-là, ils n'ont ménagé aucun effort pour sauver de nombreuses vies.