Société

Le phénomène «Enfants de la rue» remonte à des années 1920 à Kinshasa alors Léopoldville, selon l’historien Elikya Mbokolo. Le premier enfant de la rue reconnu comme tel est un élève du collège Elikya, Saint Joseph, qui dominait ; vers le beach Ngobila, appelé alors la Douane, sur un petit groupes d’enfants délaissés, des marginaux, qui se disaient moineaux, alors que le terme «shegué» désignait plutôt des immigrés ouest-africains en errance dans la capitale dans les années 1945-1960.

Voilà trois mois déjà, depuis que le Premier ministre, Matata Ponyo, a, dans sa correspondance CAB/PM/CCPG/AL/2015/1533 du 16 mars 2015, demandé à sa ministre du Portefeuille, Louise Munga, de remettre de l’ordre à la MIBA. En vain. A la MIBA, hélas, chacun se targue d’avoir été adoubé par le Chef de l’Etat en personne. L’AD Kazadi Mabika n’entend nullement recevoir des ordres de quiconque, surtout pas du Conseil d’administration. Et le Conseil dit tout ignorer de son AD. Dessous de table: une affaire des 4 millions de dollars. Quand Ngoy Kasanji s’en mêle…pour ses propres intérêts.

Les agents de l’ex-City Train réclament le paiement de leurs indemnités de fin de service, une année après que le gouvernement a confirmé la liquidation de leur entreprise. Ils ont manifesté, lundi 15 juin, devant le bâtiment situé sur la 18è rue dans la commune de Limete, à Kinshasa, pour faire cette réclamation. Ces agents ne comprennent pas pourquoi la paie de leurs indemnités traîne alors que la commission de liquidation a fini et transmis, depuis plus de quatre mois son rapport au ministère des Transports et Voies de communication.

D’anciens étudiants de l’Université Libre de Bruxelles (ULB) ont organisé le lundi 15 juin 2015 dans la soirée, au Centre Wallonie Bruxelles (CWB) une conférence-débat sur la préservation du patrimoine architectural urbain en RDC. Présent au CWB, Baudouin Banza a remercié ses hôtes pour avoir organisé ce rendez- vous à Kinshasa. Ces échanges, a-t-il indiqué, sont importants dans la mesure où ils vont être animés par des spécialistes en la matière.

L’enregistrement de nouveau-nés à l’état-civil des communes de résidence de leurs parents, dans les 90 jours suivant leur naissance, est pratiquement le thème central qui a préoccupé hier, lundi 16 juin 2016, à la Paroisse Christ-Roi de la commune de Kasa-Vubu, la célébration de la « Journée internationale de l’Enfant africain » organisée par la plateforme des ONG dénommée REEJER.

Une délégation de six députés de l’Assemblée nationale séjourne à Fungurume, au Katanga, pour une mission d’enquête parlementaire auprès de l’entreprise Tenke Fungurume Mining (TFM). La mission est quasiment partie en coulisses, loin de la presse …TFM, c’est des intérêts américains. Pas des moindres. Qui s’y frotte, s’y pique, parfois mortellement.

Le Rond-point Ezo, dans la commune de Kalamu, se trouve dans un état de délabrement avancé. Cette artère impraticable est comprise entre la chaussée de Kimwenza au quartier Yolo-sud et l’avenue Université. Les caniveaux sont actuellement inexistants. Ils ont été construits depuis plus de trois décennies pour contenir des eaux des pluies. Pendant la saison pluvieuse, le Camp Pinzi et autres avenues environnantes de l’avenue Ezo ne sont pas épargnées par les eaux stagnantes.

Vingt-cinq ans après, l’adoption de la charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant : Accélérons nos efforts pour éliminer les mariages des enfants en Afrique", c’est le thème de la journée de l’enfant africain célébrée hier mardi 16 juin. A Kinshasa, les autorités congolaises ont placé la journée sous le thème : " Tous ensemble pour la déclaration des enfants à l’Etat civil. Tous contre le mariage précoce ".

Une centaine d’agents de l’Office de gestion et du fret multimodal (OGEFREM), venus de Matadi, Boma, Muanda et de Kinshasa sont retournés depuis hier mardi 16 juin 2015, sur le banc de l’école. Ils sont en séminaire de formation sur le transport multimodal au siège de cette entreprise à Kinshasa/Gombe. Ce geste traduit l’engagement du DG ai Anatole Kikwa à instaurer un management prévisionnel de la ressource humaine par la remise à niveau permanente de son personnel.

Lors de la célébration de la journée internationale de l’enfant africain mardi 16 juin le Réseau des éducateurs des enfants et jeunes de la rue en RDC (REEJER) a déploré le faible taux d’enregistrement des enfants à l’état civil en RDC. En outre, beaucoup d’enfants vivent dans la rue ou gagnent leur vie, et parfois font nourrir leurs familles, grâce à la mendicité et aux petits métiers.