L'ancien ministre de la Justice et garde des sceaux, Constant Mutamba, a été condamné par la Cour de cassation à trois ans de travaux forcés pour le détournement de fonds publics destinés à la construction d'une prison à Kisangani. Le verdict a été rendu ce mardi 2 septembre 2025.En plus de la peine principale, d'autres sanctions ont été prononcées à son encontre :- Interdiction d'accès aux fonctions publiques ;- Interdiction du droit de vote et d'éligibilité pour une durée de cinq ans après l'exécution de sa peine ;
Justice
Le ministre d’État, ministre de la Justice et garde des Sceaux, Guillaume Ngefa, et le Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) ont réaffirmé leur détermination à collaborer dans une « parfaite harmonie », en vue de matérialiser la vision du chef de l’État de bâtir un véritable État de droit en RDC.C’est ce qui ressort de la réunion de prise de contact que le ministre de la Justice a eu, ce lundi 1er septembre 2025, avec les membres de cet organe chargé de la gestion de la carrière des magistrats que dirige Dieudonné Kamuleta, président de la Cour constitutionnelle.
Constant Mutamba a été officiellement placé en résidence surveillée par le procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde Mambu, en attendant le verdict prévu ce mardi 2 septembre 2025.C’est ce que révèle un mandat de dépôt signé par le procureur, dont une copie est parvenue à notre rédaction. Le document précise que Constant Mutamba doit être maintenu en résidence surveillée à son domicile, situé au quartier des Anciens Combattants, numéro J25, dans la commune de Ngaliema, à Kinshasa, ou dans tout autre lieu qui pourrait être désigné.
L'arrêt de la Cour de cassation dans l'affaire opposant le ministère public au prévenu Constant Mutamba Tungunga, ancien ministre de la Justice, sera prononcé ce mardi 2 septembre.Dans un communiqué de presse lu par 7SUR.CD, le Conseil supérieur de la magistrature a invité tout citoyen intéressé par cette affaire à la retenue et à la « stricte » observance des lois de la République le jour du prononcé. Pour ce faire, il a déconseillé tout attroupement dans les environs de la Cour ayant pour mobile de troubler l’ordre public.
La Cour constitutionnelle a tranché. Cette plus haute instance judiciaire a annulé la décision de l’Assemblée provinciale du Kasaï-Oriental qui avait suspendu le gouverneur Jean-Paul Mbuebue Kapo suite à sa mise en accusation pour détournement.Dans sa décision rendue publique ce jeudi 28 Août 2025, la haute Cour estime que cette démarche était inconstitutionnelle.
Un soldat des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) nommé Zimurunde Kifaru Sebaraka est jugé pour le meurtre d'un autre militaire congolais. Le procès se déroule au tribunal militaire de garnison de Kikwit, a appris 7SUR7.CD ce mercredi 27 août 2025, au travers d’une dépêche du directeur de communication de la 11e Région militaire, le capitaine Anthony Mualushayi. Le soldat Sebaraka, membre du 111e bataillon de Kahemba, est accusé d'avoir tué son camarade, le soldat Tumilandu, avec un bâton.
Initialement prévu ce mercredi 27 août 2025, le verdict du procès opposant l’ancien ministre de la Justice, Constant Mutamba, au ministère public a été reporté. Les juges rendront leur arrêt dans cinq jours.« Nous faisons confiance à la Cour jusqu'au bout. Nous espérons l'acquittement de notre client. Nous attendons la décision des juges qui interviendra dans cinq jours », a déclaré Maître Yves Kisombe, l'un des avocats de Constant Mutamba.
Le dénouement est attendu ce mercredi 27 août 2025 à la Cour de cassation dans le procès qui oppose l'ancien ministre de la Justice et garde des sceaux, Constant Mutamba, au ministère public.Bien que le verdict ne soit pas encore tombé, tout est en place pour l'audience. Le dispositif de sécurité a été renforcé aux abords et à l'intérieur de la Cour. La salle d'audience est prête. Les journalistes, les avocats et le public attendent toujours l'arrivée des juges et du prévenu, Constant Mutamba.
Le parquet de grande instance de Kinshasa/Gombe a instruit, ce mardi 26 août 2025, le commissaire provincial de la police de la ville de Kinshasa, à identifier et appréhender certains individus qui publient et relaient à travers les réseaux sociaux, des messages offensants et menaçants contre les magistrats.
L'auditeur général des Forces armées de la RDC (FARDC), le général Lucien René Likulia, a requis ce vendredi 22 août 2025, la peine de mort contre l'ancien chef de l'État, Joseph Kabila.Ce dernier est accusé de participation à un mouvement insurrectionnel, de trahison, de crimes contre la paix et la sécurité de l'humanité, d'homicide intentionnel, de viol, de torture, de déportation et d'occupation forcée de la ville de Goma. L'ancien président est jugé par contumace, en son absence.