’’Le problème qui se pose et dont il faut absolument discuter n’est véritablement pas celui de la saisine de la Cour Constitutionnelle, encore moins celui de l’organisation des élections au cours du cycle électoral constitutionnel qui s’achève en 2016 mais bien, des raisons évoquées par la Centrale Electorale comme obstacles majeurs à l’organisation des élections.
Politique
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
Déclaration de Son Excellence M.
L’affaire remonte à novembre 2015. Le PGR, Flory Kabange Numbi, avait demandé la levée des immunités de trois Honorables Députés de l’opposition. Notamment, Muhindo Nzangi du Mouvement Social pour le Renouveau de Pierre Lumbi, Fabien Mutomb et Samy Badibanga de l’UDPS Tshisekedi. Les trois élus du peuple sont accusés, selon le PGR, de «Faux et usage de faux». Ce réquisitoire, il faut le rappeler, avait alors suscité un tollé au sein de l’Assemblée nationale.
Alors qu’on la croyait enterrée, l’affaire refait donc surface.
Dans un communiqué de presse, signé par son président en exercice l’honorable patriarche Charles Mwando Nsimba, en date du 21 mars 2016, le G7 persiste et signe: « Si le président de la République n’est pas élu avant le 19 décembre 2016, il se créera une vacance de la présidence de la République qui appellera de plein droit, conformément aux articles 75 et 76 de la Constitution, un régime d’intérim à la tête de l’Etat ».
La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) a appris avec tristesse l’assassinat du Révérend Père Vincent Machozi Karunzu, prêtre assomptionniste.
Mais avant la séquence de la capitale belge, le coordonateur du Front du peuple s’était rendu le lundi 21 mars à La Haye pour réconforter JP Bemba.
Le bureau de l’Assemblée nationale a autorisé l’instruction du dossier qui oppose le Procureur général de la République à trois députés de l’opposition: Muhindo Nzangi, Samy Badibanga et Fabien Mutomb, poursuivis pour «faux et usage de faux.» Cette démarche renvoie à la collecte des informations et non à la levée de l’immunité parlementaire, a précisé mardi 22 mars le directeur de cabinet du président de la chambre basse du Parlement.
Le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, a officiellement informé les députés membres de la conférence des présidents q
Plus de doute, les élections notamment présidentielle ne se tiendront pas cette année. Votre site 7SUR7.CD l'avait déjà évoqué avec la.publication d'une note technique interne à la Ceni qui renvoyait les élections après 16 mois. Cette fois-ci de la manière la plus officielle qui soit, le ministre des affaires étrangères, Raymond Tshibanda, vient de le dire au Conseil de Sécurité des Nations-Unies ce mercredi 23 mars car il s'y discute la nouvelle résolution de la Monsuco en RDC.
La situation politique en RDC, plus que préoccupante, préoccupe la communauté internationale qui s'apprête à renouveler le mandat de la Mission des Nations-Unies pour la Stabilisation du Congo (Monusco). A la réunion du conseil de sécurité sur la situation en RDC de ce mercredi 23 mars, le chef de la MONUSCO, Maman Sidikou, a présenté le rapport au secrétaire général de l'ONU. Le patron de la Monusco évoque la situation sécuritaire,politique ainsi que le processus électoral.
Notre pays traverse actuellement une période d’intenses débats politiques à propos des futures élections.