Politique

Mais les Congolais qu’il a consultés tiennent au respect du délai constitutionnel Voici aujourd’hui plus de deux mois que le chef de l’Etat, Joseph Kabila, a personnellement saisi quelques partis politiques phares de l’Opposition pour leur demander de se joindre à lui, autour d’une table, en vue de trouver des solutions à la crise qui ronge la République démocratique du Congo, question d’organiser des élections apaisées. Après cette démarche, l’initiateur de ce dialogue a consulté la classe politique, la société civile, les religieux, les journalistes, les chefs coutumiers ainsi que les étud

Le Commandement de la Police angolaise de la province de Zaire, frontalière avec le Kongo Central (RDC), annonce l’arrestation et la détention « le week-end dernier » dans la ville de Mbanza Congo, de cent-quatorze(114) immigrés de la République démocratique du Congo, dix-huit (18) de Mauritanie, deux (2) de Guinée-Conakry et d’un Somalien « pour entrée et séjour illégal sur le territoire angolais ». Opération «Poursuite des étrangers en situation migratoire irrégulière » « Dans un communiqué de presse publié lundi (27 juillet 2015) à Mbanza Congo, la Police indique que les immigrants ont

Le politique congolais fait très peu attention à l’impact qu’a l’incertitude politique actuelle, du fait d’un processus électoral peu rassurant et son corolaire, l’alternance en 2016, sur les perspectives économiques du pays. Les signaux politiques du moment impactent négativement le climat des affaires et sont loin d’inciter des nouveaux investissements étrangers. Même les institutions financières internationales ne tarissent pas d’éloges à l’égard du gouvernement congolais pour sa maîtrise du cadre macroéconomique, voilà une bonne dizaine d’années déjà.

Aux termes de l’article 241 de la Loi électorale telle que modifiée à ce jour, «sans préjudice des dispositions de l’article 198 de la Constitution et de l’article 158 de la présente loi, le mandat des membres de l’Exécutif des provinces à découper cesse à l’installation des Institutions des nouvelles provinces énumérées à l’article 2 de la Constitution ». « La Commission électorale nationale indépendante organise l’élection des gouverneurs, vice-gouverneurs, maires et maires adjoints de ces nouvelles provinces.

« Les élections urbaines, municipales et locales ne peuvent en aucun cas être considérées comme un arriéré électoral », a affirmé lundi 27 juillet 2015 le sénateur Florentin Mokonda Bonza dans son intervention au débat général sur le projet de loi sur la répartition des sièges présenté par le gouvernement, en seconde lecture présidée par Léon Kengo wa Dondo, après son adoption par l’Assemblée nationale. Après avoir rappelé que « ces élections n’ont jamais été organisées par la Commission électorale nationale indépendante », il s’est demandé « dans quel train le gouvernement veut emb

Nombre d’observateurs ne comprennent pas que des élus sans mandat « en cours de validité » et donc illégitimes puissent élire les patrons de nouvelles entités. " Super glisseurs ". La formule est bien trouvée pour désigner les députés provinciaux devant élire, au terme de la loi, les gouverneurs de 21 nouvelles provinces congolaises issues du démembrement de six anciennes régions (Bandundu, Kasaï oriental, Kasaï occidental, du Katanga, de la Province orientale et de l’Equateur).

La Monusco évalue à près d’un millier le nombre des Fdlr encore en RDC.

La Dynamique des parlementaires acquis au bon sens " s’oppose à l’organisation des élections des gouverneurs de nouvelles provinces prévues le 6 octobre prochain par la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Ces élections, estiment les membres de cette structure composée d’une cinquantaine des députés de l’Opposition, de la Majorité et du centre sont diverses, n’ont pas de sens à l’heure actuelle. Simplement parce que les députés provinciaux sont déjà hors mandat et que les nouveaux seront élus le 25 octobre de la même année.

La XIIe session ordinaire du comité exécutif du Forum des parlementaires de la Conférence internationale sur la région des Grands lacs (CIRGL) s’est ouverte mercredi 29 juillet à Kinshasa.

(KINSHASA)- Le secrétaire général du Forum des parlements de la conférence internationale sur la région des grands lacs, Prospère Higiro a appelé les pays de la région à envisager déjà les mécanismes pour stopper le terrorisme. Le diplomate rwandais estime que si ce cancer n’a pas encore commencé à toucher de plein fouet la plupart de pays de la région en dehors du Kenya, il faudrait commencer à prévenir en agissant davantage sur la base du terrorisme. Il a insisté sur l’éducation des jeunes pour éviter de les faire entrainer dans l’islamisme radical.