Adolphe Muzito, ancien Premier et haut cadre du Parti Lumumbiste Unifié (PALU) est destitué de son parti aux termes d’une Décision signée par Antoine Gizenga, le Secrétaire général du parti. La nouvelle fait l’effet d’une bombe dans les différents-majors politiques. Quatre jours après, d’aucuns s’interrogent sur les vrais mobiles de cette décision. Décryptage.
Pour rendre publique la décision prise par la haute hiérarchie du PALU contre le député Adolphe Muzito, le Secrétaire permanent du parti cher à Antoine Gizenga avait organisé un point de presse le 14 août à Kinshasa.
Politique
L’arrivée d’un émissaire du chef de l’Etat à Bruxelles en provenance de Kinshasa dans la soirée du 11 août dernier, est à la base d’un tollé général au sein de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi.
L’objectif de cette mission quasi secrète serait de s’entretenir avec le « lider maximo » autour de la mise sur pied d’un gouvernement de transition à l’issue d’un dialogue.
Deux camps se font désormais la guerre autour de Tshisekedi. Les uns optent pour le dialogue. Pour eux, il ne s’agit que de l’aboutissement des contacts débutés avec l’émissaire du chef de l’Etat avec les cadres de l’UDPS à Kinshasa.
L‘esprit de la conférence de Berlin plane toujours sur la conception de grandes puissances occidentales, Ces pays, dont les USA, considèrent qu’ils ont un droit d’ingérence qui leur donne préséance dans l’exploitation des ressources naturelles de la RDC. Coïncidence malheureuse chaque fois que cette vision bute au refus des dirigeants congolais, il se crée une rébellion, une guerre voire une agression.
La République démocratique du Congo étant en plein cycle électoral depuis 201 4, les formations politiques sont très attentives à tout appel ayant trait aux élections.
Le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku, reste très engagé et déterminé à rétablir l’autorité de l’Etat dans la zone de Ngungu, territoire de Masisi, renseigne provincenordkivu.org.
Il a pris ‘la décision de nommer, vendredi 14 août, un fonctionnaire délégué dont la mission principale est de lutter efficacement contre la problématique de l’insécurité devenue récurrente depuis un certain moment.
Cette entité du territoire de Masisi, étendue sur les groupements Ufamandu 1, Muvunyishanga et Karuba, est désormais sous l’administration de Tubihorere Rukata Faustin, recruté â partir
La « Société civile de la République démocratique du Congo », qui continue à réclamer la libération de son coordonnateur général Christopher Ngoy, a permis, au cours de la rencontre, à un experts de relever ses inquiétudes de la situation fragile et précaire du pays pour s’engager dans une réforme territoriale!
Les membres de la Société civile de la République démocratique du Congo ont été renforcés en capacité au cours d’un atelier d’information tenu le 15 août dernier au siège de « l’Asbl Génération déterminée » situé à la 10ème Rue dans la commune de Limete à Kinshasa.
Les travaux ont été
Amnesty International craint de les voir condamnés à mort
Il est de plus en plus à craindre que 41 personnes détenues depuis début juin ne soient jugées prochainement par un tribunal militaire, et notamment qu’elles encourent la peine de mort, car elles ont été transférées récemment dans une prison militaire, a déclaré Amnesty International dans un communiqué.
Ce document qui porte la signature de quatre notables de cette nouvelle province, est susceptible d’allumer le feu, provoquer d’énormes dégâts et embraser la contrée.
Au cours d’une réception organisée pour saluer la bravoure de Jean-Bertrand Ewanga
La Dynamique pour l’Unité d’Action de l’opposition politique congolaise a organisé, le vendredi 14 août dernier ,dans une salle de fêtes dans la commune de Kasa-Vubu à Kinshasa, une réception de tous ses membres pour saluer la sortie de prison de leur compagnon de lutte, le député national Jean-Bertrand Ewanga.
Recrutement des agents temporaires : Des individus se servent de la CENI pour escroquer en provinces
Des individus, non autrement identifiés, se servent de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) pour escroquer des personnes en provinces.
Ils circulent à l’intérieur du pays en se faisant passer pour des agents de l’administration électorale chargés du recrutement du personnel temporaire de la CENI.