Le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende, a annoncé, hier jeudi 18 septembre, la 6è vague des personnes bénéficiaires de la loi d’amnistie du 11 février dernier. Environ 206 personnes sont amnistiées. Les heureux bénéficiaires proviennent de 12 groupes dont une cinquantaine d’éléments de l’ex-M23, une quarantaine de FRPI en Ituri, les Enyele de l’Equateur, APCLS et PARECO du Nord-Kivu, groupe Mizele de Matadi.
Sur cette liste, figurent également un milicien du MRPC, les Maï-Maï Simba, Papy, les ex-combattants Maï-Maï du Nord et Sud-kivu.
Politique
Pour le porte-parole de l’Exécutif congolais, les prélats sont à la solde des "maîtres à penser occidentaux".Réponse
du berger à la bergère. C’est un Lambert Mende particulièrement remonté qui a répondu hier au dernier message anti-révision des Rvêques rd congolais.
Si vous n’avez pas encore violé la Constitution, vous avez bien l’intention de la violer. Donc vous finirez par la violer. Au nom de quoi, nous vous condamnons de manière anticipée !
Un diplôme de mérite a été remis au prophète Khonde Mpolo Dominique, responsable et Chef spirituel de l’Eglise « Liloba na Nzambe », par la Commission de valorisation internationale de Kingunza en Afrique (COVIKAF). La cérémonie solennelle a eu lieu le 14 septembre au cours d’un culte ayant réuni, Place Sainte Thérèse à NDjili, outre des fidèles de l’Eglise ceux d’autres confessions religieuses.
« Nous doutons de la bonne foi des évêques lorsqu’ils inventent une controverse autour d’une initiative de l’article 220 qui n’existe pas », a déclaré jeudi 18 septembre le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende.
La vie reprend timidement son cours dans la cité de Kitshanga, située à 83 km au Nord-Ouest de Goma (Nord-Kivu), après un accrochage entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et la police d’intervention mobile, mercredi 17 septembre dans la soirée. Difficile pour l’instant de savoir les raisons de cet affrontement.
La question de la révision constitutionnelle soulève de violentes passions. La nation s’est littéralement scindée en deux. D’un côté, les Congolais favorables à la révision constitutionnelle ou au référendum et, de l’autre, ceux qui s’opposent.
La Journée internationale de la démocratie a été célébrée, hier lundi 15 septembre à travers le monde. A l’occasion de cette commémoration, la Monusco en appelle à un cycle électoral ouvert, transparent et apaisé en RDC. C’est ce qui ressort d’un communiqué de presse de cette institution, parvenu à la rédaction du journal Le Potentiel. Selon la Monusco, « la conjonction de l‟idée démocratique et de son principe actif souligne la nécessité, pour les peuples, de protéger et de nourrir leur propre système politique, économique, social et culturel, en exprimant librement leur volonté ».