Le parti politique Mouvement Lumumbiste Progressiste (MLP) de l'ancien député national Franck Diongo, a été également reçu ce lundi 9 novembre 2020 par le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Selon le président du MLP, qui s'est confié à la presse à l'issue des échanges, les consultations présidentielles se tiennent dans un contexte de crise persistante sur le plan institutionnel.
Politique
La direction politique nationale de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC), a, à travers un communiqué signé par son secrétaire général (a.i), Aimé Boji Sangara, informé ses cadres et militants que l'audience prévue pour ce lundi avec le chef de l'État, Félix Tshisekedi, dans le cadre des consultations a été reportée au mercredi 11 novembre prochain.
Une délégation des sénateurs de la coalition Cap pour le Changement (CACH) a été reçue ce lundi 9 novembre 2020 par le chef de l'État, dans le cadre des consultations présidentielles entamées depuis déjà une semaine.
À la fin de la rencontre, ces élus des élus estiment qu'il est important qu'une nouvelle coalition se mette en place afin d'accompagner le chef de l'État dans sa vision axée sur "le peuple d'abord".
Le cardinal Fridolin Ambongo a été reçu ce lundi 9 novembre 2020 par le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo dans le cadre des consultations lancées depuis une semaine.
Répondant à une question de la presse à la fin de la rencontre sur le refus de certains acteurs politiques de prendre part à ces consultations, le cardinal Ambongo précise qu'en démocratie, c'est la majorité qui compte.
La délégation de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO), conduite par son président, Monseigneur Marcel Utembi, a été reçue ce lundi 9 novembre 2020 par le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre des consultations présidentielles lancées depuis lundi dernier par le chef de l'État, en vue d'aboutir à la création de l'union sacrée de la Nation.
Le cardinal Fridolin Ambongo a déclaré ce lundi 9 novembre 2020 que la population de la République Démocratique du Congo attend beaucoup des consultations lancées par le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Déclaration faite ce lundi par le successeur de Laurent Monsengwo au Palais de la Nation, situé dans la commune de la Gombe à Kinshasa, après être consulté le président de la République.
Le prix Nobel de la Paix 2018, le docteur Denis Mukwege, a été reçu ce lundi 9 novembre 2020 par le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo dans le cadre des consultations présidentielles.
Face à la presse, le gynécologue congolais a appelé à la rupture des antivaleurs qui ont élu domicile en République démocratique du Congo.
"Aujourd'hui, il est clair que pour sortir de cette situation, il faut absolument que nos dirigeants fassent une rupture avec les antivaleurs qui caractérisent aujourd'hui notre pays", a-t-il déclaré.
Le gouverneur ad intérim du Maï-Ndombe, Jack's Mbombaka a rejeté ce lundi 09 novembre les récents arrêtés de son titulaire, Mputu Paul, réhabilité depuis le mardi 3 novembre dernier par le vice-premier ministre de l'intérieur. Il les qualifie de "documents sans effets juridiques".
C'était au cours d'une interview accordée à 7SUR7.CD, quelques heures après publication de ces arrêtés sur une chaine locale d'Inongo, chef-lieu lieu de la province du Maï-Ndombe.
Via Twitter, le député national Patrick Muyaya, élu du Parti Lumumbiste Unifié (PALU) a déclaré que les responsables de la crise politique qui sévit actuellement au pays sont ceux qui ont, dans le passé, utilisé le débauchage comme stratégie politique.
En réaction, le rapporteur du bureau politique du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), Patrick Nkanga, a appelé via Twitter toujours, le député Muyaya à avoir de la conviction et un camp politique.
Dans le communiqué final des travaux de sa retraite politique lu devant la presse dimanche dernier, le Front Commun pour le Congo (FCC) dit ne pas pouvoir cautionner la démarche tendant à la recomposition de la majorité parlementaire en pleine législature "sur fond de la corruption de ses élus".
Cette plateforme de gouvernement dont l'ex-président Joseph Kabila est autorité morale rappelle, de ce fait, que toute majorité parlementaire est issue des élections générales et ne peut être renouvelée qu'au cours de nouveaux scrutins.