La société civile de Moanda dans la province du Kongo Central, se dit satisfaite du retour de la sécurité dans cette cité confrontée depuis quelques mois à des cas d’assassinats.
Gelson Sisi Vimbi, le Coordonnateur de la société civile, affirme que depuis l’instauration des patrouilles de la police, la population vit dans la quiétude.
Au mois d’avril dernier, cinq personnes avaient été assassinées en l’espace de cinq jours seulement à Moanda et la population avait d’ailleurs saccagé le bureau de la cité.
La société civile avait attribué ces attaques aux ex-combattants venus en rassemblement dans le cadre de l’opération de démobilisation, désarmement, réinstallation et réinsertion (DDRR), à la base militaire de Kitona.
A l'heure actuelle, habitants de Muanda se disent être sécurisés par les forces de l’ordre, a ajouté Gelson Sisi Vimbi à Radio Okapi.
Le Coordonnateur de la société civile de Moanda note cependant qu’il y encore des inquiétudes par rapport aux personnes que la population dénonce auprès des autorités policières et de justice.
Elle voudrait voir ces personnes déférées devant les juges, a-t-il indiqué.
Moanda : la société civile satisfaite du retour de la sécurité
La société civile de Moanda dans la province du Kongo Central, se dit satisfaite du retour de la sécurité dans cette cité confrontée depuis quelques mois à des cas d’assassinats.
Gelson Sisi Vimbi, le Coordonnateur de la société civile, affirme que depuis l’instauration des patrouilles de la police, la population vit dans la quiétude.
Au mois d’avril dernier, cinq personnes avaient été assassinées en l’espace de cinq jours seulement à Moanda et la population avait d’ailleurs saccagé le bureau de la cité.
La société civile avait attribué ces attaques aux ex-combattants venus en rassemblement dans le cadre de l’opération de démobilisation, désarmement, réinstallation et réinsertion (DDRR), à la base militaire de Kitona.
A l'heure actuelle, habitants de Muanda se disent être sécurisés par les forces de l’ordre, a ajouté Gelson Sisi Vimbi à Radio Okapi.
Le Coordonnateur de la société civile de Muanda note cependant qu’il y encore des inquiétudes par rapport aux personnes que la population dénonce auprès des autorités policières et de justice.
Elle voudrait voir ces personnes déférées devant les juges, a-t-il indiqué.