Société

Les spéculations vont bon train depuis le réajustement à la hausse, à compter du lundi 22 août 2016, des prix de vente de l’essence et du gasoil. Nombre de consommateurs congolais s’interrogent sur les mobiles de cette hausse au regard la chute vertigineuse enregistrée, pendant plusieurs mois, par les prix de vente du baril de pétrole sur le marché international, allant de plus de 100 dollars jusqu’autour de 26.

  Le danger est là pour les ménages congolais sur 75 millions de Congolais que nous sommes, 68 millions vivent dans l’obscurité et 55 millions s’abreuvent d’eaux impropres à la consommation humaine. Ces statistiques sont contenues dans l’allocution de circonstance prononcée hier mercredi, 24 août 2016, à la Foire internationale de Kinshasa (FIKIN) par Lamfel Lafos Yav Freddy, directeur de cabinet au Ministère de l’Energie et Ressources Hydrauliques, à l’occasion de la célébration de la « Journée, dédiée au Ministère de l’Energie et Ressources Hydrauliques ».

35 professionnels des médias, tant de la presse audiovisuelle, écrite qu’en ligne de la ville portuaire de Matadi ont participé, le jeudi 18 août dernier, à une journée déontologique organisée par l’Observatoire de la Liberté de la Presse en Afrique (OLPA).

Akim Kimbangi Mpezo, élève à l’Institut du 30 décembre, à Matadi, a été tué le lundi 22 aout dernier, au cours d’un match de football. L’adolescent (18 ans) est décédé après qu’un personne non identifiée lui ait enfoncé un tesson de bouteille dans le cou, jusqu’à lui couper la grosse veine. Les infirmiers du Centre de santé et maternité de Mvuzi n’ont pas pu maitriser à temps la forte hémorragie. Il habitait au N°23 de l’avenue Fubu, quartier Ngadi, dans la commune de Mvuzi, Un tesson de bouteille Cette scène macabre et odieuse s’est en effet déroulée dans la cour de l’EP.

La République démocratique du Congo sera au cœur de la toute première édition de l’Expo-Bio. Organisées par la Nouvelle Chambre de Commerce Nationale (NCCN-RDC), à l’initiative de l’ONGD Acordepe, ces assises auront lieu ce vendredi 26 août de 9 heures à 17 heures au collège Boboto, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa. Selon les organisateurs de cette première édition, cette rencontre offrira aux participants l’occasion de réfléchir sur l’éducation, la santé, la sauvegarde, les énergies, les écosystèmes, les bio fertilisants, le village agricole...

La Société nationale d’électricité (SNEL) annonce le système de pré-payement du courant électrique, à Kinshasa. Sa directrice commerciale provinciale de Kinshasa a fait cette annonce, mercredi 24 août, à Radio Okapi. «Avec le compteur pré-payement, le client paye en avance sa consommation qui est générée par un code. Dès que ça se termine, il s’approvisionne encore », a affirmé la même source. La directrice commerciale provinciale de Kinshasa a appelé tous les Kinois à migrer vers ce système parce que c’est un avantage pour la SNEL et les clients. « Il n’y aura pas de revendications.

Comme c’est le cas depuis les années’90, l’appel du Rassemblement des Forces Politiques et Sociales Acquises au Changement » à la journée ville morte a été largement suivi dans plusieurs villes du pays. A Kinshasa, la capitale, des millions de résidents, congolais comme étrangers, se sont offerts la grâce matinée. Le signal de la ville morte a été donné par les exploitants du transport en commun, avec en tête les conducteurs et receveurs des taxi-bus.

C’est la chronique d’une mort annoncée qui tourne court. Hier, Kinshasa devait "mourir". Et ce, en exécution d’un décret, mieux d’une fatwa signée samedi 20 août courant. Deux jours plus tard, c’est-à-dire le lundi, tout était fin prêt pour célébrer la " mort " de la capitale rd congolaise. L’extrême onction déjà prononcée ; le cercueil acheté ; le caveau apprêté et l’oraison funèbre prête à être lue dans toutes les langues et tous les patois du pays.

L'appel de l'opposition à observer une "journée ville morte" mardi sur le territoire de la République démocratique du Congo a été partiellement suivi à Kinshasa et ignoré dans d'autres grandes villes du pays, selon des journalistes de l'AFP. A Kinshasa, à la mi-journée, sur le Boulevard du 30 juin, le centre des affaires de la capitale congolaise, la circulation était fluide, loin des habituels bouchons de l'heure de pointe. "J'ai relié Kitambo magasin à la gare centrale en sept minutes, alors que d'habitude je mets au moins 30 minutes", a expliqué Firmin Luzitu, un chauffeur de taxi. Au gr

L'ONG Journaliste en danger (JED) demande la réouverture de sept médias de l’opposition fermés depuis quelques années.