
Le Front National des Fédéralistes du Congo, (FONAFEC), a, dans une déclaration le 2 novembre 2019 à Lubumbashi dans la province du Haut-Katanga, réaffirmé son appartenance au Front Commun pour le Congo, (FCC).
"Le FONAFEC et son autorité morale soutiennent fermement la rentrée politique annoncée de son Excellence Monsieur le président honoraire Joseph Kabila Kabange et autorité morale du FCC, père de la démocratie congolaise et pionnier de la première alternance pacifique au sommet de l'État en RDC", a déclaré Vital Aristote Kitenge, secrétaire général du parti.
En outre, ce parti politique cher à Marcel Ilunga Leu, dit dénoncer avec la dernière énergie, "certains politiciens véreux en quête de positionnement qui s'illustrent par des propos haineux, vexatoires et de nature à perturber la quiétude du peuple Katangais en général et Lushois en particulier".

Dans la foulée, le FONAFEC exhorte les uns et les autres à s'abstenir de considérer la ville de Lubumbashi comme leur champ de bataille mais plutôt à soutenir la coalition FCC-CACH.
"Le FONAFEC met en garde tout politicien, vieillard soit-il, qui s'évertue à entretenir délibérément pour ses intérêts égoïstes et mesquins la confiscation naturelle à briser l'élan de la coalition et de semer la haine et le doute dans l'esprit de notre population et de nos leaders précités [Félix Tshisekedi et Joseph Kabila ndlr]", renchérit cette formation politique.
Le FONAFEC a annoncé par la même occasion qu'il jouera le rôle de sentinelle pour que les conditions de vies de la population soient améliorées.
Il sied de préciser par ailleurs que cette déclaration fait suite à la rentrée politique du FONAFEC lancée dans la ville précitée par son président national Marcel Ilunga Leu qui a conduit une forte délégation du parti, et qui a par la même occasion procédé à l'évaluation des activités de cette formation politique membre du FCC.
Selon le président du FONAFEC, Marcel Ilunga Leu, l'objectif de cette activité était notamment d'arrêter des stratégies devant permettre de rendre ce parti national mais aussi de conquérir le pouvoir.
Jephté Kitsita