Justice

La Commission nationale des droits de l'homme a adopté, lundi 14 septembre, son plan intermédiaire multisectoriel de trois mois. Le président de la sous-commission permanente des droits civils et politiques, Fernandez Murhola, a indiqué que ce plan consiste à suivre des questions quotidiennes notamment des manifestations publiques et les monitorings des prisons. « Nous allons aussi suivre les monitorings des procès et les échanges entre les différents partenaires et le gouvernement sur les questions brulantes liées aux questions des droits de l'homme.
Intolérance politique dans l’ex-Province du Kasaï Oriental L’affaire fait jaser à Mbuji-Mayi.
Ni vainqueur, ni vaincu dans le prononcé de l’arrêt sur la requête introduite par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), il y a deux semaines passées.
On ne sait pas encore si la relaxation de Bruno Kabangu Kabatshi interviendra demain 10 septembre. Sa peine a pris fin le 2 septembre courant, mais ce cadre de la Fédération de l’UDPS/Mbuji-Mayi est toujours maintenu en prison sans motif après avoir payé tous les frais exigés. Il se rapporte depuis la semaine passée à Mbuji-Mayi que le dernier mot revient au PGR qui doit signer le document de la mise en liberté de ce combattant. Et pendant ces temps, Kabatshi continue à subir des humiliations et autres traitements dégradants de la part de certaines personnes bien identifiées au niveau de la
Dans un communiqué conjoint, le Collectif des Organisations Non Gouvernementales pour la Bonne Gouvernance, une plateforme spécialisée dans le monitoring et le plaidoyer en faveur des droits de l’homme se dit surpris d’apprendre que dans les jours à venir le chef de l’Etat congolais va procéder à la nomination des gouverneurs et vice–gouverneurs de nouvelles provinces issues du démembrement. D’après ce collectif, des personnalités, apparemment des inspecteurs de l’Agence Nationale des Renseignements auraient subi une formation de quelques jours pour la gestion des provinces et seraient attend
Cette réponse donnée à la requête de la CENI risque d’ouvrir la voie à la nomination de gouverneurs et vice gouverneurs dans les 21 nouvelles entités issues du découpage et de renvoyer ainsi aux calendes grecques les élections provinciales Dans l’arrêt qu’elle a rendu au terme de l’audience d’hier mardi 8 septembre 2015 suite à la requête de la commission électorale nationale indépendante, CENI, la cour constitutionnelle a annoncé une série de mesures en rapport avec les préoccupations soulevées par l’institution citoyenne, relatives à notamment à l’absence de bureaux définitifs de nouvelles
De l’avis de la Cour constitutionnelle, la force majeure empêche la Commission électorale nationale indépendante (CENI) d’organiser les élections des gouverneurs et vice -gouverneurs de nouvelles 21 provinces dans le délai prévu par la loi. Par conséquent, elle ordonne au gouvernement de prendre des dispositions transitoires exceptionnelles pour juguler l’anarchie qui a élu domicile dans ces nouvelles entités et préserver l’unité du pays. Quant au reste du processus, les législatives provinciales sont érigées en préalable.
Chers frères, amis et compatriotes, 15 MARS 2015 – 15 AOUT 2015, 5 MOIS (153 JOURS) SONT PASSÉS, LE TEMPS EST VENU POUR MOI DE M'EXPRIMER. Je tiens tout d’abord à remercier de tout mon cœur toutes les personnes qui, au pays comme à l’étranger, ont eu le courage de ne pas se taire, m’ont soutenu, et continuent à me soutenir, de près ou de loin, chacun à leur niveau, depuis les tristes événements du 15 mars 2015.
Dans un arrêt rendu mardi 8 septembre à Kinshasa, la Cour constitutionnelle a ordonné au gouvernement de prendre « sans tarder les dispositions transitoires exceptionnelles pour faire régner l'ordre public, la sécurité et assurer la régularité ainsi que la continuité des services publics dans les provinces » nouvellement créées. Cet arrêt fait suite à une requête introduite par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) en interprétation de la loi sur l'installation de nouvelles provinces en RDC et le retard observé dans l'organisation des élections de leurs gouverneurs et vice-go
De la justice découle la paix. L’absence de la justice au niveau international, tout comme au niveau des Etats, cas de la RDC, éloigne le pays du développement telles sont les affirmations des experts en matière de paix réunis à Séoul, Capitale de la Corée du Sud, fin août dernier L’homme étant au centre de l’épanouissement des toutes activités, il est invité au changement des mentalités. Le principe cher à la Fédération Universelle pour la Paix: vivre pour les autres suppose un degré d’amour vis-à-vis d’autrui ou mieux un sens élevé d’altruisme.