Le président de la République, Félix Tshisekedi, a haussé le ton, vendredi, lors de la 44ᵉ réunion du Conseil des ministres. Face à la persistance des tensions politiques dans plusieurs provinces, le chef de l’État a dénoncé des dérives « graves » qui, selon lui, compromettent le fonctionnement régulier de l’État.Le président a d’abord salué les efforts du Gouvernement, à travers le vice-premier ministre de l’Intérieur, qui ont permis la signature d’un Acte d'engagement entre les présidents des Assemblées provinciales, les membres de leurs bureaux et les gouverneurs.
Politique
Le député national Gratien Iracan a relevé plusieurs « irrégularités juridiques » dans l’élection du rapporteur adjoint de l’Assemblée nationale, scrutin auquel il était lui-même candidat.Dans une correspondance parvenue à 7SUR7.CD ce dimanche 16 novembre 2025, l’élu de Bunia affirme, après consultation avec ses avocats, que la procédure ayant encadré la tenue de cette élection comporte de sérieux vices.
L’émissaire du président américain Donald Trump pour l’Afrique, Massad Boulos, a annoncé, ce samedi 15 novembre, qu’une rencontre entre les présidents congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame aura lieu « dans les prochains jours » à la Maison Blanche.Cette annonce intervient à l’issue d’une conférence de presse tenue à Doha, en marge de la signature d’un accord-cadre entre le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et l’AFC/M23.
Le président français salue la signature de l’accord-cadre, intervenue ce samedi 15 novembre, entre le gouvernement congolais et le mouvement rebelle AFC/M23.Selon Emmanuel Macron, cet accord représente une « véritable ouverture » pour la paix dans l'Est de la RDC.« Je salue l’accord signé à Doha entre la RDC et le M23. Après tant de souffrances, une véritable ouverture pour la paix et une lueur d’espoir pour tous », a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Le Qatar a réaffirmé son rôle de médiateur dans la recherche d’une paix « durable » en République démocratique du Congo (RDC), à l’occasion de la signature de l’accord-cadre de Doha entre le gouvernement congolais et l’Alliance du fleuve Congo/Mouvement du 23 mars (M23).
Le gouvernement de la République Démocratique du Congo a salué, ce samedi 15 novembre 2025, la signature d’un accord-cadre pour une paix « durable » dans l’Est du pays avec l’AFC/M23). Dans un communiqué, Kinshasa présente cet acte conclu à Doha comme une avancée « majeure » dans la quête d’une paix « juste, inclusive et durable ».Il estime que l’accord-cadre de Doha établit les bases d’un processus destiné à mettre fin aux hostilités, à rétablir l’autorité de l’État et à consolider la stabilité nationale.
Comme annoncé, le président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a pris ce samedi 15 novembre 2025, la tête de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL).C'était à l'issue de la cérémonie d'ouverture du 9ᵉ sommet ordinaire des chefs d’État et de gouvernement, qui a eu lieu à Kinshasa, la capitale de la RDC, en présence de plusieurs chefs-d'État membres de cette organisation régionale.
Lors de l’ouverture du 9ᵉ sommet ordinaire des chefs d’État et de gouvernement, ce samedi 15 novembre 2025, la République démocratique du Congo a officiellement pris la présidence de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL).Le président de la RDC, Félix Tshisekedi, a, dans son discours, donné les grandes lignes de son plan d'action à la tête de cette organisation intergouvernementale des pays africains de la région des Grands Lacs.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo et la rébellion de l'AFC/M23 ont signé, ce samedi, à Doha, au Qatar, un accord-cadre sous la médiation qatarie.Cet accord-cadre, selon les parties prenantes, est composé de 8 protocoles qui déterminent les matières à traiter et les modalités de leur mise en œuvre, afin d'aboutir à un accord de paix.
La Belgique fait face en 2025 à une recrudescence des demandes d’asile en provenance de la République démocratique du Congo (RDC). Plus de 2000 dossiers ont été enregistrés en dix mois, majoritairement introduits par des ressortissants de Kinshasa. Cette tendance place la RDC parmi les principaux pays d’origine des demandeurs de protection internationale.