Politique

Alors que les cours du pétrole connaissent une stabilité constante depuis plusieurs mois et, donc, les risqués de choc et de perte quasi nuls pour les pétroliers, le gouvernement continue curieusement d’intégrer la rubrique «Stock stratégique» dans la structure de prix des carburants, notamment dans la zone Ouest comprenant Kinshasa, Kongo Central, l’ex-Bandundu et l’ex-Equateur.

Bruno Mavungu, Secrétaire général, et Bruno Tshibala, Secrétaire général adjoint et porte-parole, sont rentrés à Kinshasa le mercredi 11 novembre dans la soirée, par un régulier de Turkish Airlines, après un séjour d’un mois à Bruxelles, où ils étaient partis en consultation auprès d’Etienne Tshisekedi, président de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social).

Selon cet élu du peuple, le ministre de la Justice a le devoir d’expliquer aux députés nationaux la quintessence du projet de loi relative au statut des notaires pour une meilleure compréhension. Henri Thomas Lokondo a proposé, jeudi 12 novembre, à ses collègues députés nationaux d’appeler le ministre de la Justice devant l’assemblée plénière de la représentation nationale pour présenter le texte du projet de loi relative au statut des notaires en République Démocratique du Congo. L’élu national a formulé cette recommandation lors d’une séance plénière organisée dans la salle des Congrès du

Les experts de l’Organisation internationale de la francophonie qui ont audité le fichier électoral, ont plaidé, dans la conclusion de leur rapport, pour l’enrôlement de 8 millions nouveaux majeurs. Le chef de cette mission de l’Oif, le général malien, Siaka Sangaré a indiqué qu’il y a un million de personnes décédées qu’on doit extirper

Le nouveau porte-parole de la Majorité présidentielle, Alain Atundu Liongo a appelé la classe politique à lever une option claire après le rapport des experts de l’Oif sur le fichier électoral. L’option claire n’est rien d’autre que le recensement général. ‘‘La classe politique devrait avoir le courage de décider d’un recensement général du

Maitre Placide Yoko Yakembe, qui se fait passer pour l’un des fondateurs du Mouvement social pour le renouveau, a annoncé la dissolution du parti. Au cours d’une conférence de presse, il a dénoncé les égarements de Pierre Lumbi. Il rappelle que le Msr avait été créé pour soutenir le président Joseph Kabila qui en était son

Dans une déclaration datée d’hier,  jeudi  12 novembre 2015,  les   5 Points Focaux constitués essentiellement des  regroupements politiques des partis Extraparlementaires de la Majorité Présidentielle, par le biais de M. John Mbaya Ntita,  Coordonnateur Principal,   invitent  toutes les forces politiques et  sociales congolaises à soutenir le dialogue national inclusif, tel qu’il sera  convoqué  incessamment  par  Joseph Kabila Kabange,  le Président de la République,   pour baliser l’avenir de la RD.  Congo.

Plus que jamais déterminé dans la défense d’une cause dont  lui  seul  connaît les tenants et les aboutissants, Me Yoko Yakembe a donné rendez-vous à la presse hier, jeudi 12 novembre, dans le célèbre cadre de Kempinski, à  Fleuve Congo Hôtel. C’était pour livrer à l’opinion sa deuxième déclaration politique,  en rapport avec le Mouvement Social pour le Renouveau, MSR.

Le lundi 9 novembre dernier, les parlementaires ont été informés de la tenue imminente du dialogue politique. Le Chef de l’Etat qui, par le canal des présidents de deux chambres du parlement, s’est adressé aux élus sur cette question, semble mettre tout en œuvre pour y arriver. Réagissant sur cette communication, la Dynamique de l’opposition politique congolaise qui sort fraichement d’une convention, par un communiqué de presse signé par le Modérateur ad intérim, Ingele Ifoto, maintient sa position.

Cela faisait longtemps que la CENI n’a plus pris la moindre initiative. Elle essaie de sortir de l’engourdissement,  en annonçant qu’elle accepte de se soumettre à la volonté du peuple,  pour enrôler les jeunes majeurs et les Congolais de la diaspora. Pour une opération qu’elle aurait dû  débuter en septembre, la CENI accuse deux mois de retard. Ce qui met en difficulté les partisans des élections intermédiaires, compte tenu du temps qui reste,  avant la fin de la législature.