Politique

Faut-il plaindre l’Afrique ? La réponse à cette question est sans doute et sans ambages : non. On ne saurait plaindre un continent qui regorge de la plus grande partie des ressources minéralogiques de la terre. Faut-il plaindre les Africains ? La réponse à cette question est également sans conteste et sans ambages : non. On ne saurait plaindre des peuples dont la grande majorité de la population est jeune et riche de sa diversité autant que de ses compétences.
Les thématiques des droits spécifiques des femmes ont fait l’objet d’une journée de restitution hier jeudi 07 janvier à Gombe.
L’opposition s’oppose fermement à un troisième mandat anticonstitutionnel du président Joseph Kabila. Et ils disent non à toute tentative de révision de la constitution. Réunis au sein du “Front citoyen 2016”, les principaux ténors de l’opposition et ceux de la société civile s’apprêtent à mener des actions de grande envergure dans tout le pays pour imposer l’alternance au sommet de l’Etat. Ils s’appellent Vital Kamerhe, Félix Tshisekedi, Eve Bazaïba, ou encore Martin Fayulu. Ce sont tous des opposants de poids au pouvoir de Kinshasa.
Après le Nord-Kivu où il a inauguré la centrale hydroélectrique de Matebe, ouvrage situé dans le territoire de Rutshuru et financé par la Fondation Américaine Howard Buffet à hauteur de 20 millions de dollars américains, le chef de l’Etat Congolais, Joseph Kabila était aussi attendu le mardi 22 décembre 2015 à Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï Central. Mais depuis, la population continue à attendre cette arrivée. D’après des sources basées au chef-lieu de la province du Kasai Central, toutes les dispositions seraient déjà prises pour l’accueil de Joseph Kabila.
La nouvelle année réserve de grosses surprises. Dans son message de vœux 2016, le chef de l’Etat, Joseph Kabila, s’est inscrit dans un schéma qui n‘est pas forcément celui de tous les Congolais. Il a dévoilé ses priorités qui se déclinent essentiellement en termes de paix et de développement. Pas un mot sur les élections qui, selon lui, restent conditionnées par la tenue du dialogue politique national inclusif, dont la tenue tarde à prendre corps.   Personne n’est encore en mesure de prédire ce que sera réellement l’année 2016.
Dans sa tournée auprès des représentants des confessions religieuses, le président de la Céni explique les enjeux et défis du processus électoral.   La Commission électorale nationale indépendante (Céni) poursuit sa série de consultation des parties prenantes au processus électoral.
Dans son homélie à la cathédrale de Butembo, S.E. Mgr Sikuli Paluku Melchisédech, Evêque du Diocèse de Butembo –Beni, fidèle à la position de la Conférence Episcopale Nationale de la R.D.Congo (CENCO en sigle) concernant le dialogue voulu par la Majorité au pouvoir, a comparé la constitution d’un pays à la Bible des chrétiens : «La constitution d’un pays est ce que la bible est pour l’église.
Dans le cadre de la poursuite de ses consultations avec les confessions religieuses, sous-composante de la société civile, Corneille  Nangaa, président de la Commission  Electorale Nationale Indépendante (CENI), a échangé hier mercredi 06 janvier 2016 successivement avec les représentants de l’Eglise Kimbanguiste  et des églises de Réveil.
En plein chantier d’un futur hôtel, sur l’avenue Kitega, au quartier Mongala, dans la commune de Kinshasa, François Lusanga Ngele a organisé un repas du cœur, sous le signe du partage et de la solidarité, à l’intention d’une fine brochette d’invités, parmi lesquels ses voisins de rue ainsi que quelques cadres et militants de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social). A cette occasion, hormis les vœux traditionnels présentés à ses hôtes, il a rappelé son combat politique aux côtés d’autres membres fondateurs de ce parti.
De prime abord, la réduction des effectifs des casques bleus n’a pas soulevé des vagues dans l’opinion, du fait que l’attention de la classe sociopolitique est braquée sur l’ouverture de ce dialogue tant vanté et attendu par les uns et les autres.