Politique

Le sénateur Congolais Lola Kisanga, du Front Commun pour le Congo (FCC) est décédé. L'annonce de son décès a été faite ce mardi 1er décembre 2020 par le professeur Kin-Kiey Mulumba, une des 3 personnalités de la coalition Cap pour le Changement (CACH). "Je l’ai connu à Goma, il m’a accueilli chez lui à Kisangani. Grosse tristesse, le sénateur Lola Kisanga s’en est allé. Vivement le vaccin...", a indiqué Kin-Kiey Mulumba. Son décès est confirmé par un communiqué attribué au président du Sénat Alexis Thambwe Mwamba.
La République démocratique du Congo a totalisé ce mardi 1er décembre 2020, un mois et deux semaines sans que les réunions hebdomadaires du conseil des ministres ne se tiennent. En effet, l'équipe gouvernementale dirigée par le premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba ne se réunit plus en conseil, instance de direction de l'action publique. Une situation qui, tout naturellement, suscite des réactions de tous bords.
Les députés nationaux réunis ce lundi 30 novembre 2020 en séance plénière à l'assemblée nationale ont voté le projet de loi de reddition des comptes de l'exercice 2019. 309 députés ont voté en faveur de ce projet de loi, 4 autres élus du peuple ont voté contre tandis qu'un seul député s'est abstenu.  Après le vote de l'assemblée nationale, le projet de loi de reddition de compte exercice 2019 doit être transmis au Sénat pour une seconde lecture.  Jephté Kitsita
Dans une déclaration faite ce lundi 30 novembre 2020, les députés nationaux membres du Front Commun pour le Congo (FCC) condamnent les manœuvres de certains acteurs politiques "bien-identifiés" visant à changer la majorité parlementaire par la corruption. Par conséquent, ces élus nationaux qui disent détenir des preuves de leurs allégations, menacent de traduire en justice les auteurs de ces actes. 
Les députés nationaux seront en plénière ce lundi 30 novembre 2020 à l'assemblée nationale. C'est ce qu'indique un communiqué de la chambre basse du Parlement signé par Jacques Lunguana, rapporteur adjoint.  Au menu de cette plénière prévue à 11h, heure de Kinshasa, l'examen du rapport de l'ECOFIN relatif au projet de loi de reddition des comptes de l'exercice 2019 et vote du projet de loi. Il sera également questions pour les élus du peuple, au cours de cette séance plénière, de valider les pouvoirs.
Le secrétaire général de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) accuse le Front Commun pour le Congo (FCC) dont l'autorité morale est l'ex-chef de l'État Joseph Kabila, de vouloir tuer le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Lors d'une matinée politique tenue le samedi 28 novembre 2020 au siège du parti présidentiel situé dans la commune de Limite à Kinshasa, Augustin Kabuya a promis que l'UDPS se rendra dans les ambassades pour démontrer, vidéo à l'appui, que le FCC veut éliminer physiquement le chef de l'État.
Les membres de la Dynamique pour la Consolidation et le renforcement des Acquis Démocratiques (DYNACAD) se sont réunis samedi dernier à Kinshasa pour passer en revue l'actualité politique du pays, caractérisée par les consultations présidentielles qui se sont clôturées mercredi dernier. 
Affirmer que la Constitution du 18 février 2006 telle que modifiée par la loi n° 11/002 du 20 janvier 2011 portant révision de certains articles de la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006 (textes coordonnés, JORDC, Kinshasa, n° 3, 1er février 2011, col. 1 à 5) a instauré un régime primo-ministériel c’est, en d’autres termes, laisser entendre que le Président de la république n’a qu’un rôle essentiellement symbolique.
Dans une déclaration faite à la presse le samedi 28 novembre dernier à Kananga, le parti politique Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECIDé) fédération du Kasaï-Central, encourage son président national Martin Fayulu, à dialoguer avec Joseph Kabila, l'ancien président de la République mais aussi avec l'actuel chef de l'État Félix Tshisekedi, pour mettre fin à la crise politique au pays.
Dans un message parvenu à 7SUR7.CD ce samedi 28 novembre 2020, Luc Kabunangu, membre de l'association des jeunes professionnels de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), s'interroge sur comment réaliser la vision du chef de l'État d'instaurer une bonne gouvernance en République démocratique du Congo à la suite des dernières consultations politiques.  Il affirme, à cet effet, que la conscience du congolais est corrompue par le déficit morale basé sur le clientélisme et le culte de personnalité au détriment du bon sens que des antivaleurs.