Politique

Deux points étaient à l'ordre du jour au cours de la réunion du Haut commandement militaire de ce vendredi 9 août 2019 présidée par le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.  Il s'agit entre autres de : - Situation préoccupante de Béni ; - Insécurité créée par les agressions avec armes blanches dans quelques provinces. S'agissant de la situation qui prévaut à Beni, le commandant suprême a écouté les informations données par le chef d'État major général. 

La réunion du haut commandement militaire élargie se tient ce vendredi 9 août 2019 à la cité de l'Union Africaine sous la direction du Commandant Suprême des Forces armées de la République Démocratique du Congo. 

Le vice-premier ministre de l'Intérieur Basile Olongo était de passage à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, ce vendredi 09 août en direction de Kindu dans la province de Maniema, où il se rend pour une mission officielle. Devant la presse du gouvernorat du Nord-Kivu, Basile Olongo a évoqué la situation sécuritaire de la province qui demeure préoccupante caractérisée par des tueries de civils dans plusieurs territoires dont Beni et Rutshuru.

Vendredi 09 août 2019, le premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba, a échangé avec les différentes confessions religieuses : l'église catholique, l'église orthodoxe, les églises de réveil, l'armée du salut, les églises autochtones, la communauté islamique... Lors de cette rencontre, plusieurs recommandations ont été formulées au premier ministre Ilunkamba. Il s'agit notamment de :

Dans une déclaration vendredi 09 août 2019, Toussaint Alonga, en sa qualité "d'un allié inconditionnel de l'UDPS", réclamé "un poste ministériel pour le compte des alliés de l'UDPS" et se dit "le seul et valable candidat ministériel". "...je revendique un poste ministériel pour le compte des alliés de l'UDPS, pour me permettre en musique ce que j'ai toujours défendu à savoir : la défense des intérêts de notre peuple", a dit Toussaint Alonga.

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a créé au sein de son cabinet, le service spécialisé dénommé Cellule d'Appui aux Programmes d'Urgence Intégrés de Développement Communautaire, "CAPUDC". Ce service fédère toutes les actions urgentes du président de la République destinées à l'amélioration rapide des conditions de vie de la population notamment à travers la création d'emploi massif, décent et d'opportunités d'insertion socioprofessionnelle  durable pour les jeunes.

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a procédé à la creation du service spécialisé dénommé "Coordination des Ressources Extérieures et du Suivi des Projets". L'ordonnance portant création, organisation et fonctionnement de ladite coordination date du 25 juillet 2019. Elle a été cependant lue le jeudi 8 août dernier sur les antennes de la Radio Télévision Nationale Congolaise, "RTNC".

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a procédé à la nomination des membres du service spécialisé dénommé Coordination pour le Changement de Mentalité, (CCL). Ainsi, sont nommées en qualité des membres de ladite coordination aux fonctions en regard de leurs noms, les personnes suivantes : 1. Jacques Kangudia Mutambayi : Coordonnateur ; 2. Justin Benda Sana : Coordonnateur adjoint en charge des questions administratives et financières ;

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu ce jeudi 8 août 2019, le bureau définitif du Sénat à la Cité de l'Union Africaine.  Au sortir de l'audience, le président du Sénat Alexis Tambwe Mwamba a déclaré qu'il était venu présenter au président de la République tous les membres du bureau du Sénat. "Il était tout à fait normal qu'avant que les membres du bureau soient présentés à d'autres institutions qu'ils soient d'abord reçus par le Chef de l'État", a dit Thambwe Mwamba. 

Réagissant aux informations sur l'arrêt de la cour constitutionnelle déclarant irrecevable le règlement intérieur de l'Assemblée provinciale du Kasaï pour défaut de qualité du demandeur, le président de cet organe délibérant du Kasaï, Aloïs Mushitu Ngenge, dément cette information qu'il qualifie de rumeurs et parle de colportage. Le président de l'assemblée provinciale du Kasaï indique que son institution n'a jamais été notifiée sur cette décision de la haute cour et appelle toute la population au calme.