Politique

Après avoir débattu, pendant deux mois, d’un Arrêt attribué à la Cour Constitutionnelle au sujet de l’interprétation de l’article 70 de la Constitution relatif à la fin du mandat du Chef de l’Etat, l’opinion congolaise était surprise d’apprendre, en fin de semaine dernière, que le document alors en circulation était un faux. Un communiqué de cette haute juridiction annonçait, à l’occasion, la publication imminente du texte authentique au Journal Officiel.
En présence de Félix Tshisekedi, les deux personnalités ont fait le tour d’horizon de la situation politique  » catastrophique  » que traverse la RDC.
Ce mois de juillet s’annonce mouvementé sur le terrain politique. Dans un premier temps, Etienne Tshisekedi, président de l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social) a annoncé son retour à Kinshasa, requinqué par le succès du conclave de Bruxelles où il a réussi à recréer l’unité de l’Opposition. Dans un autre décor, Moïse Katumbi, candidat à la présidentielle 2016, n’exclut pas un retour en ce mois de juillet. Il l’a annoncé, hier mercredi au micro de RFI.   A l’instar de Tshisekedi, Katumbi prépare aussi son grand retour à Kinshasa – à sa manière bien sûr.
Un internaute anti-kabila notoire fait constater dans sa chronique du 6 juillet 2016 que pour les "Élections en RD Congo, Nangaa propose l’enrôlement de 4 personnes par jour, par centre".
La conférence sur l’insécurité et le terrorisme dans la région des Grands Lacs s’ouvre jeudi 7 juillet à Goma au Nord-Kivu. Les participants à ce forum vont réfléchir sur des mécanismes à mettre en place pour répondre aux préoccupations sécuritaires et de terrorisme qui se posent depuis quelques années dans la région avec la présence active de certains groupes armés. Il s’agit principalement des rebelles ougandais ADF et de la LRA, considérés désormais par la communauté internationale comme des groupes terroristes. D’après un décompte de la société civile du Nord-Kivu, les ADF, installés de
Lambert Mende Omalanga, ministre des médias et de la communication, a beau dénoncer l'ingérence étrangère, rien n'y fait. Aujourd'hui encore, au cours d'un point de presse il a demandé aux occidentaux de cesser de s'immiscer de manière illégitime dans les affaires internes d'un État souverain. Il a condamné les sanctions qui à ses yeux ne concourent pas à la recherche d'un compromis politique en RDC mais affaiblissent les techno-structures de l'État. Visiblement, il n'a pas du tout été entendu.
Moïse Katumbi est toujours dans le champ de tir de Lambert Mende qui ne décolère toujours pas. Le ministre des médias et de la communication s'en est encore pris à l'ex gouverneur de l'ex province du Katanga. C'était le jeudi 7 juillet à son cabinet de travail au cours d'un point de presse qu'il a animé. L'initiateur du parti CCU ( convention des congolais unis) a qualifié Katumbi de «ignorant». «.. Katumbi ne sait même pas lire la constitution de son pays. A un ignorant, il faut lui opposer le silence.
La situation que traverse la RD Congo était au cœur de la réunion du Comité exécutif national du Collectif des Démocrates Fédéralistes Congolais (DFC) en son siège, hier mercredi 6 juillet 2016. En somme, a indiqué le président national de cette formation politique, Liwa Mandalu, son parti salue la tenue du Conclave de Bruxelles par l’Opposition politique et approuve à juste titre ses conclusions.
Pendant deux mois, des débats dans les divers salons juridiques et sociopolitiques du pays et probablement à travers le monde ont tourné autour de cet arrêt 262 axé essentiellement sur le mandat du chef de l’Etat.
Les organisations professionnelles de la presse ont entamé des actions auprès des autorités compétentes, pour obtenir un allégement de charges liées au fonctionnement des entreprises de presse en RDC Les organisations professionnelles de la presse réunies au sein du collectif dénommé «  la Dynamique du 27 Mai » notamment l’UNPC, OMEC, ANECO, JED, FRPC, UCOFEM, FMJC… ont entamé depuis hier mercredi 6 juillet 2016 des actions de grandes envergures auprès des autorités compétentes afin d’obtenir un allégement significatif des charges liées au fonctionnement de