Politique

Alors que la classe politique congolaise est loin de se mettre d’accord sur la calendrier global des élections que la RDC doit organiser au niveau local, provincial, législatif, et présidentiel pour permettre à la roue de la démocratie de tourner définitivement dans le bon sens , celui de l’alternance, certains partis politiques sans assise populaire se livrent déjà à une campagne précoce tout en s’attribuant une prétendue popularité qui n’existe que dans l’imaginaire de leurs fondateurs. Ces partis fantoches et se réclamant souvent de la Majorité présidentielle (MP) sont généralement à la ba
Ngoy Kasanji, Kamisendu, Bamanisa, Matangila, Mbaz, Christian Mwando sont candidats sans l’aval de la Majorité présidentielle au nom de laquelle ils ont eu auparavant d’énormes dividendes politiques Tout donne l’air de croire que Moïse Katumbi Chapwe veut en faire voir de toutes les couleurs à la Majorité présidentielle au nom de laquelle il a brigué deux mandats successifs à la tête de l’ancienne province du Katanga. Tous les candidats à l’élection des gouverneurs de province de son obédience proviennent de cette famille politique aux commandes de la RDC.
Des leaders du groupe de 7 partis (G7) et d’autres figures de proue de la famille politique du chef de l’Etat consultés par un émissaire Silence, on consulte ! C’est du moins ce qu’on serait tenté de crier de vive voix au regard de l’intensité des démarches menées dans les coulisses des salons politiques. En perspective du Dialogue national, apprenons-nous de sources généralement bien informées, les ténors du Groupe de 7 (G-7) de la Majorité présidentielle et d’autres figures sont consultés à tour de rôle par un émissaire du Raïs.
Ce mercredi, 5 août 2015 au siège de la CENI, un lien de partenariat a été scellé entre la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et l’Association Nationale des Autorités Traditionnelles au Congo (ANATC) en vue d’impliquer davantage le pouvoir coutumier à la sensibilisation électorale notamment. Le Vice-président de la CENI, M.
Elu de Kinshasa, le sénateur Moïse Nyarugabo a recommandé, mercredi 5 août, au gouvernement de revenir à la session ordinaire de septembre pour présenter de nouveau son projet de loi sur la répartition des sièges.
Le porte-parole de la Monusco, Félix Basse salue la détermination des Forces armées de la RDC (FARDC) dans la traque contre les rebelles des FDLR dans le Nord et Sud-Kivu. Il l’a dit au cours de la conférence de presse hebdomadaire de l’Onu du mercredi 5 août, à Kinshasa. Interrogé sur le bilan des rebelles FDLR encore actifs sur le sol congolais, Félix Basse s’est réservé de commenter les chiffres de 390 avancés par le gouvernement : «Je ne vais pas entrer d’abord dans une guéguerre des chiffres. Les statistiques, il faut les manipuler avec des précautions.
L’opposition nationaliste plaide pour la tenue d’un dialogue sous la médiation congolaise.
La gestion du patrimoine hérité de l’ex Kasaï-Oriental divise l’Assemblée provinciale et la société civile locale, dans la province de la Lomami. Cette province est l’une de trois issues de l’ancienne province du Kasaï-Oriental. Le vice-président de la société civile de la Lomami, Eric Ndjibu, a soutenu, mercredi 5 août, que le charroi automobile de la province doit être par le service de Travaux publics (TP), à la demande de la Commission chargée du démembrement. «Le document de la commission de démembrement dit, ’les charrois automobiles doivent être gérés par le service des TP ’’.
Après plus de trente ans d'aventures scéniques, le charismatique leader du groupe kinois Jupiter and Okwess International revient sur sa carrière. Et évoque l'avenir de la RD Congo et du rôle qu'il entend y jouer. Les écouteurs enfoncés dans les oreilles, la guitare à la main : avec Jupiter, la musique n’est jamais bien loin. Celui que l’état civil congolais a vu naître en 1963 sous le nom de Jean-Pierre Bokondji sillonne avec ses musiciens les scènes européennes aux côtés du mythique groupe de brit-pop Blur.
En République démocratique du Congo, le Sénat est à nouveau convoqué pour une nouvelle session extraordinaire le 10 août. A l'ordre du jour, l'examen et l'adoption du projet de loi sur la répartition des sièges pour les élections locales et provinciales. Un sujet sensible et un rendez-vous controversé. Une première session extraordinaire s'est déjà conclue dimanche sans que le projet de loi soit adopté. Et convoquer une deuxième session extraordinaire est une violation de la Constitution, dénonce l'opposition. Cette nouvelle session extraordinaire du Sénat est controversée en RDC.

1xBet 26 Septembre 2025