Entreprises publiques
Une sérieuse menace de déstabilisation du duo Agnès Mwad-Musole
Il ne se passe pas un mois sans que l’une ou l’autre agence de l’Institut national de sécurité sociale, INSS, ne déplore un harcèlement d’un incivique utilisant le nom de l’assistant du Directeur général adjoint de cet établissement public pour escroquer les cadres moyens et de direction œuvrant au sein de cette institution.
Se présentant au nom et en qualité de M.
Politique
Premier conseil des ministres du gouvernement Matata II aujourd’hui jeudi 18 décembre, soit neuf jours après la publication du gouvernement de » cohésion nationale « , attendu depuis plus d’un an.
Les observateurs vont suivre avec impatience le compte-rendu de cette réunion, devant donner des indications sur l’application des orientations donnée à la politique du pays par le chef de l’Etat, lors de son discours sur l’Etat de la Nation.
Le gouvernement Matata II, va sans doute conduire le pays aux élections de 2016.
Faut-il organiser les scrutins locaux avant la présidentielle et les législatives de 2016 en RDC ? Non, selon l'opposition, qui redoute un report de ces échéances nationales. Oui, dit le président de la Ceni, l'abbé Apollinaire Malumalu Muholongu.
Apollinaire Malumalu Muholongu, 53 ans, est un prêtre catholique du diocèse de Beni-Butembo, dans le Nord-Kivu, sa province natale. De retour à Butembo en 1997 après avoir obtenu un doctorat en sciences politiques à Grenoble (où il fut curé de 1993 à 1996) et un DEA à Lyon, c'est en 2003 que l'abbé fait son entrée dans la vie politique congolaise.
Après le discours du Chef de l’Etat sur l’état de la Nation le 15 décembre dernier devant les députés et sénateurs réunis en Congrès, des commentaires fusent de partout, en sens divers. Le dernier en date, est celui de Martin Kobler, le Chef de la Monusco en Rd Congo qui s’est exprimé au sujet de l’organisation des élections.
Le leader de l'ex-rébellion du Mouvement du 23 mars (M23), Bertrand Bisimwa (photo), a déclaré mardi 16 décembre 2014 que « près de 1 600 combattants, sur un effectif total de près de 1 700, jusque-là cantonnés dans un camp militaire en Ouganda, sont en fuite ».
« Ils se sont dispersés à la suite d’une tentative de rapatriement forcé qui a tourné court.
Les Nations unies ont indiqué, hier mercredi 17 décembre 2014, avoir proposé leur aide aux autorités du Nord-Kivu pour que la fermeture des camps de déplacés de cette province de l’Est de la RDC se fasse « selon les règles humanitaires internationales », rapporte l’AFP.
Selon la source, au cours d’une récente « mission avec toute l’équipe humanitaire » à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, les agences concernées de l’ONU sont venues « apporter aux autorités provinciales l’appui des humanitaires pour que la fermeture se fasse selon les règles humanitaires internationales », a déclaré Moustapha Souma
Deux semaines avant le Président Joseph Kabila, la réduction des effectifs de la Monusco a été annoncée par Martin Kobler en personne...
"La mission de l’ONU en République démocratique du Congo (la Monusco) est sur le départ. Après quinze ans de présence, ce programme qui, avec quelque 20.000 hommes, est l’un des plus importants au monde, amorcera un retrait de ses effectifs en 2015, a annoncé le 4 décembre le Peprésentant spécial des Nations unies pour la RDC, Martin Kobler. Les troupes combattantes devraient être parties au plus tard en juin 2016".
L’activisme des groupes armés est l’un de grands défis auxquels les humanitaires ont dû faire face en 2014 en RDC, a indiqué Moustapha Soumaré, coordonnateur des affaires humanitaires mercredi 17 décembre au cours de la conférence hebdomadaire des Nations unies à Kinshasa. Il a aussi affirmé que pendant cette année, le plan d’action humanitaire a été financé à 67%.
Les travaux du dialogue social pour la paix et la sécurité à Beni constituent un dernier espoir pour capitaliser les efforts en faveur de la paix dans cette zone. Le président de la société civile du Nord-Kivu l’affirmé à l’ouverture ce mercredi 17 décembre à Beni-Ville de ce forum.
(KINSHASA)- L’opposant Moise Moni Della est monté au créneau pour dénoncer le plan savamment monté par les caciques du pouvoir en vue d’exclure Moise Katumbi de la course à la magistrature suprême. La formule est simple. Inclure dans cette loi, une disposition qui éliminerait tout candidat qui a un des parents étranger. Cette disposition mettrait à l’écart des politiciens de premier rang comme Kengo, Kamitatu, Muyambo, Endundu ou même Katumbi.