En coulisses, les tractations de dernière minute se poursuivent à Kinshasa pour la formation du gouvernement de "cohésion nationale" annoncé depuis un an. Quels sont les opposants qui pourraient faire partie de la nouvelle équipe ?
À quand le gouvernement de "cohésion nationale" tant attendu en RDC ? Annoncée depuis le 23 octobre 2013 par le président Joseph Kabila, la formation d'une nouvelle équipe qui doit inclure des membres de l'opposition et de la société civile pourrait enfin intervenir avant la fin de l'année.
Politique
30 novembre 1999-30 novembre 2014: la Monusco vient de totaliser 15 ans de présence en RDC. Le représentant spécial de Ban Ki-moon fait le bilan de l’action de la Mission onusienne dans le pays. Pendant une heure, de 15h30 à 16h30 (GMT+1), il va répondre à vos questions que vous pouvez envoyer ici ou sur la page Facebook de Radio Okapi et sur le compte Twitter de Radio Okapi.
Le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en RDC, Martin Kobler, a annoncé mercredi 3 décembre l’entrée en action des drones de la Monusco à Beni au Nord-Kivu. Il souhaite aussi une collaboration étroite entre les Forces armées de la RDC et les Casques bleus pour mettre fin à l’activisme des rebelles ougandais des ADF à Beni au Nord-Kivu.
« A partir d’hier [mardi 2 décembre] ou d’aujourd’hui [mercredi 3 décembre] ce n’est pas un secret, on a reçu des drones qui surveillent ici à Beni pour avoir plus des renseignements sur la situation ici.
L’Union européenne va financer les projets de développement en RDC d’ici 2020 à hauteur de 620 millions d’Euros. L’ambassadeur de l’UE, Jean-Michel Dumond l’a communiqué mercredi 3 décembre à Kinshasa au cours d’une conférence de presse.Ce montant fait partie du onzième Fonds Européens de Développement pour l’Afrique signé avec le premier ministre Matata Ponyo lors de sa récente visite à Bruxelles.
Pour L’ambassadeur Jean Michel Dumond, l’utilisation de cette enveloppe n’attend plus que la signature de l’ensemble de 28 États membres de l’UE.
(KINSHASA)- Le conseil national de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement tenu tout récemment à Kinshasa a élaboré une
feuille de route de combat en vue de mobiliser ses militants et la population à stopper les velléités dictatoriales et révisionnistes du régime Kabila. A cette occasion, le leader de l’Ecidé, Martin Fayulu a appelé ses cadres à poursuivre la lutte pour pousser le président Kabila à la porte.
(KINSHASA)- A l’Udps d’Etienne Tshisekedi, la tension ne faiblit pas. Après qu’il soit désavoué par ses trois adjoints, Bruno Mavungu a pris sa revanche. Le secrétaire général de l’Udps a convoqué une réunion où il a fait constater aux membres de la présidence du parti, la rébellion de ses adjoints Willy Iliba Lisa, François Ebamu Mbiel et Aimé Ilunga Ntanga.
Le député national Franck Diongo a déposé, hier mercredi au bureau de l’Assemblée Nationale, une question orale avec débat adressée au ministre des Médias, chargé des Relations avec le Parlement et Initiation à la Nouvelle Citoyenneté.
Fidèle à sa tradition, l’Ong « Transparency International » vient de rendre public son « Baromètre mondial de la corruption » pour l’exercice 2014. Comme l’année dernière et les années précédentes, la République Démocratique du Congo est toujours à la traîne. Sur 174 pays ayant fait l’objet du monitoring de l’Ong précitée, elle occupe la 154me place.
Fléau mondial, la corruption continue de s’imposer en territoire congolais comme une calamité nationale.
Le paradoxe veut que les Etats les plus corrompus de la planète occupent la loge où les taux de pauvreté des citoyens sont les plus élevés.
L’onde de choc provoqué par les événements survenus le 30 octobre dernier au Burkina Faso continue au produire des effets pour le moins inattendus sur le Continent africain.
C’est le cas de le dire présentement du Rwanda, voisin immédiat à Est de la République Démocratique du Congo, où le président Paul Kagame vient de réunir Ies sommités de son régime dictatorial travers le Conseil exécutif national de son parti, le Front Patriotique Rwandais (FPRL), au pouvoir depuis le renversement du président Juvénal Habyarimana en avril 1994, pour leur parler de son intention de ne pas briguer un troisiè
Le danger est loin de s’éloigner des terres congolaises. Pire, les convoitises annexionnistes des plus gourmands de nos voisins ne font que se raviver. En témoigne ce s.o.s lancé par le président de l‘Assemblée provinciale du Nord-Kivu qui dénonce les violations récurrentes du territoire national de la RDC : “Nous avons évoqué la plantation d’un drapeau sur e pic du mont Rwenzori par l’Ouganda, le détournement des rivières Ishasha et Lubiriya pour pouvoir récupérer une portion de terre à la République démocratique du Congo.