Politique

Ils disent être au moins 1.200 agents de la fonction publique provinciale qui auraient été écartés « sans motif » de leurs postes dans différents services étatiques depuis le mois de décembre 2019, sur l'étendue de la province du Nord-Kivu, lors des nominations effectuées par les autorités provinciales.
Antoine Gabriel Kyungu wa Kumwanza a tenu une conférence-débat sur les questions d'actualité de la République Démocratique du Congo, vendredi 31 juillet 2020, à Lubumbashi, devant des militants de son parti, l'Union Nationale des Fédéralistes du Congo (UNAFEC). Le président de l'UNAFEC a fait savoir qu'il n'était pas entré en politique pour mourir riche « contrairement à ceux qui ont fait 18 ans au pouvoir ».
Au total 13 mouvements citoyens du Sud-Kivu exigent la tenue des élections locales avant le cycle électoral de 2023. Dans une déclaration parvenue à 7SUR7.CD, vendredi 31 juillet 2020, ces structures citoyennes fustigent le fait que la promesse du chef de l'État Félix Tshisekedi concernant l'organisation des élections locales reste lettre morte. Ils  regrettent de contacter que les acteurs politiques se focalisent actuellement sur les élections de 2023, oubliant que les élections locales n'ont pas encore été organisées.
Le ministre des Finances,  Sele Yalaghuli s'est entretenu, selon une note consultée samedi 31 juillet 2020 par 7SUR7.CD, avec une délégation des députés provinciaux de 26 provinces de la RDC au sujet de leurs arriérés d'émoluments de 9 mois  et des frais d'installation non encore perçus.  La mise en place d'un échéancier a été convenue entre les deux parties. 
Le mouvement citoyen Lutte pour le changement (LUCHA) organise une marche pacifique ce samedi 01 août 2020, à Bukavu au Sud-Kivu. Ceci pour dénoncer tous les massacres enregistrés dans l'Est de la RDC et surtout le cas récent de Kipupu dans le territoire de Mwenga le 16 juillet dernier. Selon Grâce Maroy, militante de la LUCHA, à l'issue de cette marche, toutes les photos des personnes tuées et assassinées au Sud-Kivu seront exposées.
Le Front Commun pour le Congo (FCC) a, dans un communiqué daté du 29 juillet 2020 et parvenu ce vendredi à 7SUR7.CD, déclaré qu'il reste ouvert aux débats démocratiques sur les questions d'intérêt national. Cependant, la conférence des présidents du FCC estime que tout débat ayant trait aux réformes électorales doit se dérouler dans le cadre institutionnel, conformément à la constitution et aux lois de la République.
Le chef de l'État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, préside ce vendredi 31 juillet 2020 par visioconférence, la 42ème réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres. Outre la communication du président de la République, la situation sécuritaire du pays sera également évoquée au cours de ladite réunion. A noter également que ce conseil des ministres se tient à quelques jours de la reprise des activités scolaires prévues le 3 août prochain.
Les signataires de l'appel du 11 juillet 2020 pour le consensus électoral en République Démocratique du Congo ont été reçus le jeudi 30 juillet dernier en fin d'après-midi par le président du Mouvement de Libération du Congo (MLC) Jean-Pierre Bemba Gombo. Durant les échanges, le groupe des 13 a fait part de son cahier de charge à Jean-Pierre Bemba, qui est également membre de la coalition de l'opposition LAMUKA. Ce cahier de charge est essentiellement constitué des propositions des réformes électorales qui "contribueront à l'organisation des bonnes élections en 2023".
Auguy Musafiri Nkola, gouverneur du Maniema est sommé de démissionner. La société civile a déposé ce jeudi 30 juillet 2020, au bureau de l'assemblée provinciale, sa pétition qu'elle a initié depuis le mois de mars dernier.  Selon Maître Staphane Kamundala, président de cette structure citoyenne,  plus de cent mille signatures auraient été récoltées à travers la province.
Dans une déclaration politique rendue publique ce jeudi 30 juillet 2020, la Convention Chrétienne pour la Démocratie  regrette que la démarche des signataires de l'appel du 11 juillet 2020 ne s'inscrit pas sur une dynamique d'une résolution globale de la crise généralisée qui, selon ce parti, déchire le pays, en ce qu'elle la circonsrit au seul processus électoral. Ainsi pour  la CCD, la proposition de sortie de crise de la coalition LAMUKA est la seule initiative qui peut apporter la solution aux problèmes auxquels est confronté le peuple congolais.