Politique

Lors de la 25ème réunion du conseil des ministres tenue le 13 mars dernier, le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a informé les membres du gouvernement que la République Démocratique du Congo a été déclarée éligible au Fonds pour la consolidation de la Paix pour une durée de 5 ans. Le secrétaire général des Nations-Unies a donc répondu favorablement à la requête du 06 décembre 2019 pour la consolidation de la paix en RDC.

Autorité morale de l'Alliance pour le Progrès du Congo, APC, parti allié de l'UDPS, Henriette Wamu Ataminia, "exhorte la direction politique de l'UDPS et d'autres cadres de ce parti allié à laver le linge sale en famille". A en croire cette élue nationale, "mettre les conflits internes du parti sur la place publique ne permet pas d'honorer la mémoire du Sphinx (paix à son âme) et tend à démobiliser la population en général et la base en particulier".

Le coordonnateur de la plateforme Ensemble pour le changement, Moïse Katumbi, a rendu ce vendredi, un dernier hommage au député national Bienvenu Apalata, décédé le 3 mars 2020.  Dans son speech, lu par Bolengetenge, le président d'Ensemble pour la République, a fait savoir que l'ex-chef du groupe parlementaire MS-G7 a tiré sa révérence suite au manque d'infrastructures médicales appropriées dans le pays.   

Le président national de la "Dynamique Congo Uni" (DCU), Vidiye Tshimanga a, à travers 2 décisions qu'il a signées le 9 mars dernier, procédé à la réorganisation de son parti politique en nommant un secrétaire général qui sera épaulé par 4 secrétaires généraux adjoints.  Cette option s'inscrit dans la logique de redynamiser les activités de sa formation politique et d'assurer le bon fonctionnement de ses organes par de nouveaux animateurs. 

Bethy Bitilo, cadre de la « Dynamique Congo Uni », parti de Vidiye Tshimanga, a accueilli avec délectation les résolutions qui ont découlé de la rencontre tenue jeudi dernier à la Cité de la N'sele à Kinshasa, entre le chef de l'État Félix Tshisekedi et son prédécesseur Joseph Kabila.  Dans un entretien accordé à 7SUR7.CD ce vendredi 13 mars 2020, ce proche du conseiller stratégique du président de la République a salué cette initiative en demandant aux acteurs politiques de tout bord de s'investir pour le bien-être du peuple congolais. 

Les cadres, députés nationaux et provinciaux de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) réunis au sein du collectif «Sauvons l’UDPS», exigent le retrait immédiat du président intérimaire, Jean Marc Kabund, des affaires du parti. C'était au cours d'une conférence de presse tenue ce vendredi 13 mars 2020 en vue de tabler sur la situation qui prévaut au sein de l'UDPS.

Sous le parrainage de la conseillère spéciale du chef de l'État en charge de la jeunesse et la lutte contre les violences faites à la femme, Chantal Yelu Mulop, les Futurs Jeunes Chefs d'État et de Gouvernement ont lancé le jeudi 12 mars 2020 la campagne de vulgarisation de la "Génération Égalité".

Comme toutes les semaines, le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo préside ce vendredi 13 mars 2020 la réunion du conseil des ministres à la Cité de l'Union Africaine. Ce conseil des ministres intervient dans un contexte particulier caractérisé notamment par l'épidémie du Coronavirus qui sévit désormais en République Démocratique du Congo, précisément à Kinshasa.

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu jeudi 12 mars 2020 à la Cité de la Nsele à Kinshasa la capitale de la République Démocratique du Congo, son prédécesseur Joseph Kabila Kabange. Les deux personnalités ont notamment procédé à l’évaluation de la mise en œuvre de l’Accord  de la coalition FCC-CACH, dont ils sont les deux leaders. Selon le directeur de cabinet du chef de l'État, Vital Kamerhe, les deux hommes ont constaté qu’il y avait réellement un malaise dans le fonctionnement de la coalition.

Comme annoncé par 7SUR7.CD, le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et son prédécesseur Joseph Kabila Kabange se sont rencontrés jeudi 12 mars 2020 à Nsele. Les deux personnalités ont, dans le cadre de l’évaluation de l’Accord, abordé la question de nomination des mandataires à la tête des entreprises du portefeuille de l’Etat.