Sécurité

Huit (8) civils ont été libérés des mains des rebelles d'Allied democratic forces (ADF) par la coalition FARDC-UPDF en territoire d’Irumu (Ituri), le mardi 24 décembre 2024. Des sources de la société civile en territoire d'Irumu, contactées par 7SUR7.CD qui confirment la nouvelle, ont laissé entendre que les victimes ont été capturées lors des récentes attaques ADF, qui ont ciblé le tronçon routier Eringeti-Kaïnama et Komanda-Mambasa.

Au total, vingt-cinq (25) civils ont été tués par les ADF en l'espace de 3 jours dans le secteur de Bapere en territoire de Lubero, dans la province du Nord-Kivu. La nouvelle a été rapportée à 7SUR7.CD, le jeudi 26 décembre 2024, par le numéro 1 dudit secteur au cours d'un entretien téléphonique. Selon cette source officielle, les victimes ont été exécutées dans quelques carrés miniers.

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) annoncent avoir abattu six drones Kamikazes de la force rwandaise dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). La nouvelle est contenue dans une note d'information relayée à la presse dans la région de Beni, le mercredi 25 décembre 2024, par le secteur opérationnel Sokola I au Grand Nord.

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont accusé, ce mercredi 25 décembre 2024, les terroristes du M23-RDF d'utiliser des civils comme boucliers humains dans les combats qui se déroulent dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu.

Trois(3) présumés rebelles sud-soudanais de la Nasfa ont été arrêtés depuis le 18 décembre 2024 par les services de sécurité près d'un camp de déplacés à une vingtaine de kilomètres de la cité frontalière de Aba, dans le territoire de Faradje,  en province du Haut-Uélé. Capturés avec une arme du type Ak-47, ces présumés rebelles ont été présentés ce lundi 23 décembre 2024 par les forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à Jean Bakomito, chef de l'exécutif provincial.

Le maire de Goma, le commissaire supérieur principal Kapend Kamand Faustin a présenté à la presse samedi 21 décembre 2024 près de 30 présumés criminels arrêtés dans le cadre de l'opération Safisha Muji wa Goma (assainir la ville de Goma) menée conjointement par la mairie et la 34ᵉ région militaire.

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) annoncent avoir bloqué l'avancée des rebelles du M23/RDF, notamment à Mambasa et environ dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). La nouvelle a été rapportée à la presse dans la région de Beni à travers une note d'information du secteur opérationnel Front Nord, la soirée du vendredi 20 décembre 2024. L'armée rassure à la population que les rebelles du M23/RDF ne vont pas franchir le Lubero-Centre et la ville de Butembo, comme le pensent certains internautes dans les réseaux sociaux.

La président de la République, Félix Tshisekedi, a signé une série d’ordonnances, le jeudi 19 décembre 2024, nommant une nouvelle équipe de commandement au sein des Forces armées de de la République démocratique du Congo (FARDC). Ces nouvelles nominations ont été faites dans toutes les structures décisionnelles de l'armée nationale. Il s'agit de : - Lieutenant général Banza Mwilanié Jules nommé chef d’état-major général des FARDC ; - Général d’armée Christian Chiwewe nommé conseiller militaire du chef de l’État, après avoir été chef d'état-major général ;

Lors d’une cérémonie de distribution de bancs scolaires à l’école primaire de Buluo située dans la ville de Likasi à 120 kilomètres de Lubumbashi (Haut-Katanga), le jeudi 19 décembre 2024, le général Eddy Kapend, commandant de la 22ᵉ région militaire des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), a lancé un message clair et sans équivoque à tous ceux qui tenteront de déstabiliser les institutions légalement établies suite aux rumeurs sur la prétendue incursion des miliciens Maï-Maï le 20 décembre prochain dans le Grand Katanga.

Sept (07) personnes ont péri dans des violences rebelles dans le territoire de Djugu en province de l'Ituri, dans l'intervalle du lundi 16 au mercredi 18 décembre 2024. Les miliciens de la Coopérative pour le Développement du Congo (CODECO) qui sont pointés du doigt comme auteur, ont exécuté les civils dans la chefferie des Bahema-Nord, indique la société civile locale.