Sécurité

Dix-huit policiers et militaires, accusés de vols à main armée et de kidnappings dans la capitale, ont été arrêtés par les forces de police. Ils ont été présentés à la presse le mardi 14 janvier par l’inspection provinciale de la police.L'inspecteur provincial de la police, Blaise Kilimbalimba, a souligné l'importance de purger les forces de sécurité des brebis galeuses.« On ne peut pas prétendre mettre de l’ordre dans la société alors que ça brûle chez soi. Certains éléments de la police et de l’armée se comportent mal », a-t-il déclaré.

Le maire de la ville de Goma, le commissaire supérieur principal Kapend Kamand Faustin, est appelé à renforcer la présence policière dans les quartiers sensibles de la ville où l'insécurité continue à battre record pour éviter des erreurs de l'année dernière ayant coûté la vie à plusieurs personnes.Dans une correspondance adressée à l'autorité urbaine et dont une copie est parvenue à 7SUR7.CD ce lundi 13 janvier, le Notable de Goma Jean-Paul Waitswalo dénonce la montée exponentielle de l'insécurité dans le chef-lieu de la province du Nord-Kivu caractérisée par des cas de meurtres,

Trois (3) personnes sont mortes à la suite d'une nouvelle attaque des rebelles d’Allied democratic forces (ADF) à Beni (Nord-Kivu), la soirée du samedi 11 janvier 2025. L'ennemi a tué des civils à Kipeyayo et environs, des entités se trouvant à quelques kilomètres ducentre-villee de Beni.Selon les premières données fournies par certains rescapés au reporter de 7SUR7.CD, qui s'est rendu sur le lieu de drame ce dimanche, les assaillants ont usé de la ruse auprès des civils, en majorité des cultivateurs.

Après la reprise de la localité de Ngungu dans le territoire de masisi au Nord-Kivu, les forces armées de la République Démocratique du Congo appellent la population de cette contrée à se mettre à l'abri au moment où l'armée poursuit les terroristes du M23-RDF dans leur retranchement.Devant la population sur place à Ngungu, vendredi 10 janvier 2025, le porte-parole des FARDC au Nord-Kivu, le colonel Guillaume Ndjike Kaiko, a demandé aux habitants de ce milieu qui sont rentrés après la reprise de la situation par l'armée, de continuer à faire confiance aux forces loyalistes et à dén

Le chef de l'État et son gouvernement tiennent à la montée en puissance des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) pour garantir l'intégrité territoriale et assurer la protection de la population et de ses biens.C'est dans ce cadre que le vice-premier ministre de la Défense et anciens combattants, Guy Kabombo Muadiamvita, a eu, ce vendredi, à Kinshasa, une séance de travail avec une délégation du Haut commandement de l'armée conduite par le nouveau chef d'état-major, le lieutenant-général Jules Banza Mwilambwe.

Des jeunes combattants Wazalendo du mouvement CMC ont tendu une embuscade à un convoi du M23 sur l'axe stratégique Tongo-Kanaba, dans le territoire de Rutshuru, ce vendredi 10 janvier 2025.Ce convoi rebelle, composé de trois véhicules dont un Land Cruiser, apparemment transportant des officiers, a été pris pour cible alors qu'il se dirigeait vers Kitshanga, dans le Masisi.

Lors du briefing presse du jeudi dernier, le porte-parole des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) est revenu sur la guerre d'agression que subit le pays de la part de son voisin, le Rwanda.Le général Sylvain Ekenge a affirmé que l'on peut perdre des batailles, mais la victoire finale sera congolaise. Il a aussi tenu à souligner les prouesses des Forces armées qui, depuis 30 ans, défendent l'intégrité territoriale du pays.

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont subi un revers majeur jeudi dernier avec la reprise de Masisi-Centre par le Mouvement du 23 mars (M23).Le général Sylvain Ekenge, porte-parole de l’armée, a justifié cette perte par le contrôle stratégique du point de Kawungole par les rebelles, soutenus selon lui par le Rwanda.

L'ancien chef de milice, Thomas Lubanga Dyilo, s'est retourné contre la République démocratique du Congo, en rejoignant la rébellion du M23, à travers le mouvement Zaïre allié aux rebelles soutenus par l'armée rwandaise. L'information a été révélée dans le rapport des experts des Nations unies sur la RDC, publié ce jeudi 09 janvier 2025.D'après ce rapport, Thomas Lubanga, comme autorité morale du mouvement rebelle Zaïre allié au M23, a été l'artisan de la mobilisation, du recrutement et de la formation de nouveaux miliciens dans la province de l'Ituri.

Le chef de l’État,  Félix Tshisekedi, a présidé, ce mercredi 8 janvier 2025,la réunion du Conseil supérieur de la Défense élargi sur la situation sécuritaire dans toute la RDC en général et en particulier dans la partie Est, en proie à l'insécurité orchestrée par le Rwanda, sous couvert du M23.