Société

Fils Bisengo, non autrement identifiée, vendeur de cartes prépayées au quartier 7, dans la commune de N’Djili, est décédé le mardi 12mai 2015 à la suite d’une agression perpétrée contre lui par un client. Le drame s’est produit autour de 19 heures. Selon des témoins, un jeune homme, dont l’identité n’a pas été communiqué, s’est présenté vers 18 heures après de Fils Bisengo et a demandé à acheter une carte de 500 fc pour son téléphone. Mais le stock de cartes prépayées étant épuisé, il lui a proposé le transfert des unités par «flash», pour le même montant de 500 fc. C’est ce qui a été fait.

Des sœurs en Christ qui participaient à une veillée de prières à l’église « La Semence », sur l’avenue Pangi, dans la commune de Lemba, non loin du terrain G.D., ont été attaquées par des « Kuluna »le vendredi 15 mai20l5 vers heures du matin. A en croire les témoignages des victimes, des inciviques munis d’armes blanches ont forcé le portail de leur église peu après la dernière prière, qui devait marquer une longue pause pour les fidèles, essentiellement constituées de femmes et filles.

Un agent de circulation routière bien connu sous le sobriquet de « Hibou » et opérant souvent au niveau de l’arrêt Pascal a joué de la malchance le lundi 18 mai 2015 dan la matinée. Comme d’habitude, il s’est saisi de la plaque minéralogique d’un taxi-bus, après l’avoir dévissée, sous prétexte que le conducteur avait mal stationné. En dépit des supplications de ce dernier, le « roulage » est resté ferme, menaçant d’aller la déposer auprès de son commandant s’il n’y avait pas en contrepartie un pourboire intéressant.

Un papa répondant au nom de Mbala Guy et habitant le quartier Mpasa, dans la commune de N’Sele, a fait une désagréable rencontre le samedi 16 mai 2016 dans la soirée. Revenant du service vers 23 heures, il a été interpellé puis dépouillé par des «Kuluna» qui ont pris l’habitude de «patrouiller » dans ce site aux heures avancées de la nuit. Afin de sauver sa peau, il s’est laissé « piller » 7.000 Fc, un téléphone portable, une boîte de lait, etc.

Roulant à faible vitesse dans une rue de Boma, une voiture de marque Toyota IST de couleur gris métallisé, a attiré l’attention d’un homme venu de Kinshasa, et qui séjournait dans cette ville à la recherche de son véhicule volé, il y a trois semaines. Par bonheur, les voleurs n’avaient pas Songé à changer de peinture, estimant qu’en gardant la couleur d’origine, ils éviteraient de susciter des soupçons. Sur une vitre, une affichette signalait que cette voiture est mise en vente. Makunga Daniel a pris une moto et pourchassé la petite berline.

Les expulsés, évalués à plus de 300, viennent pour la plupart de Dolisie et de Pointe-Noire, d’où ils ont été violemment chassés sans aucun respect de la dignité humaine. La traque et les expulsions massives, par voie fluviale, des congolais de Kinshasa habitant le Conga-Brazzaville, sur ordre du gouvernement de ce pays, ont repris de manière inquiétante depuis la semaine dernière.

Le spectacle désolant s’est passé hier sur le boulevard du 30 Juin Dieudonné Mbuyi, journaliste et responsable de Rédaction au Quotidien La Tempête des Tropiques, a vécu une journée cauchemardesque hier lundi 18 mai 2015 vers 11h00. Des hommes armés en tenue civile mais aux allures de militaires ont procédé à son enlèvement, alors qu’il venait de prendre place à bord d’un taxi où se trouvaient ces derniers, sur le boulevard du 30 Juin, au niveau du rond-point Mandela. La voiture, une Mitsubishi Lancer de couleur rouge réquisitionnée par ces deux hommes en armes se dirigeait vers Kintambo Ma

Le Vice-premier ministre et ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale, Willy Makiashi, a procédé, hier lundi 18 mai 2015 au Fleuve Congo Hôtel, au lancement du Cours régional de capacitation sur la politique et les stratégies du tourisme.

Bolanga Panchal poursuit l’architecte Gisèle Bie au Tribunal de Paix de Ndjili pour abus de confiance et escroquerie. La maîtresse de l’ouvrage soutient avoir remis en plusieurs tranches la somme de 49.000 dollars à la prévenue. La qualité de l’ouvrage et le rythme de travail, estimé lent par la plaignante, étaient sont à la base de la résiliation du contrat conclu entre les deux parties, d’où l’atterrissage du dossier sur le terrain de la justice.

La société nationale d’assurances-SONAS ne lésine pas dans son rôle d’assureur national. Elle a payé, lors de sa dernière opération «Jeudi sinistre» du 15 mai dernier, à l’agence de Limete 7ème Rue, cent trente-quatre dossiers dans les branches d’assurances automobile, vie et incendie.