Société

  LETTRE OUVERTE À SON EXCELLENCE, MONSIEUR LE GOUVERNEUR DE LA VILLE DE KINSHASA Il y a 2 semaines, vous avez décidé de confiner la plus petite et moins peuplée des communes de la ville, en espérant ralentir la contamination de la population par le coronavirus.

  En tant que personnalité ayant gérée de nombreuses crises au cours de mes 33 années de vie professionnelle, il est de mon devoir d’apporter aux gouvernants ma petite pierre afin de contribuer à l’édifice de la lutte contre le coronavirus.  En cette période de fortes turbulences qui nous affectent tous, ne baissons surtout pas la garde par rapport à la lutte contre la pandémie du covid-19. En effet, de nombreux défis sanitaires sont à relever au regard de l’augmentation du nombre de cas de contagion, 327 au 18 avril dont 315 à Kinshasa. Ces défis majeurs sont : 

L'instruction étant secrète,  les informations sur le volet judiciaire de l'affaire 100 jours nous parviennent difficilement et souvent au compte-goutte.  Une source judiciaire a attiré notre attention sur quelques informations erronées distillées dans l'opinion. Il s'agit notamment du coût de la livraison des médicaments dans le cadre du programme d'urgence des 100 premiers jours du président de la République, et du niveau de décaissement. 

Au total, 17 organisations de la société civile demandent au gouvernement de la République, à travers le ministère du portefeuille, d'ordonner l'annulation du mémorandum d'entente de cession de 30% des parts de la SOKIMO détenues par Kibali Goldmines à la société AJN Ressources.

À l'issue d'une réunion ce lundi 20 avril 2020 avec le premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba, le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, a prévenu que toute personne qui ne portera pas de masque dans un lieu public payera une amende de 5.000 FC. S'agissant de la commune de la Gombe, l'autorité urbaine a fait savoir que ses habitants peuvent circuler sans badge. "Mais s'ils veulent sortir de la commune de la Gombe, ils doivent se munir de leur badge", a déclaré Gentiny Ngobila.

  Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu ce lundi 20 avril 2020 à la Cité de la N'sele, une délégation des chefs des confessions religieuses, conduite par Monseigneur Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa. La lutte pour faire barrage à la pandémie de coronavirus en RDC, les questions relatives au bon fonctionnement des affaires de l'État et la collaboration qui doit exister entre l'église et les autorités du pays, étaient au cœur de cette rencontre.

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu ce lundi 20 avril 2020 à la Cité de la N'sele, une délégation des chefs des confessions religieuses, conduite par Monseigneur Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa. La lutte pour faire barrage à la pandémie de coronavirus en RDC, les questions relatives au bon fonctionnement des affaires de l'État et la collaboration qui doit exister entre l'église et les autorités du pays, étaient au cœur de cette rencontre.

Des étudiants Congolais réunis au sein d'une association sans but lucratif dénommée "Etudiants Congolais Unis" « E.C.U » proposent au chef de l'État des mesures pour sauver l'année académique 2019-2020 face à cette crise sanitaire provoquée par le covid-19 en RDC.  C'etait à l'issue d'une séance plénière en ligne ayant comme leitmotiv "l'évolution du covid-19 en RDC et ses conséquences sur cette année académique" tenue le samedi dernier, dont près de 2.000 étudiants ont participé.  

Dans une interview accordée à 7SUR7.CD le dimanche dernier dans la soirée, Joseph Magbaka Ndingbo, ministre provincial de l'intérieur du Sud-Ubangi a fait savoir que le gouverneur Jean-Claude Mabenze et sa suite ont respecté les mesures barrières fixées pour lutter contre le coronavirus, lors de la mission effectuée du 15 au 16 avril 2020 en République Centrafricaine et de ce fait, ils ne peuvent pas être mis en quarantaine.

  Depuis l’expiration du protocole d’accord liant la Coopérative des Exploitants Artisanaux Miniers de Masisi (COOPERAMMA), à la Société Minière de Bisunzu (SMB), en septembre 2019 dernier sur l’exploitation et l’exportation des minerais dans le Masisi au Nord-Kivu, les violons ne s’accordent pas entre les deux sociétés.  La COOPERAMMA accuse la SMB, de vouloir maintenir la rébellion dans le Masisi, suite à des pratiques « inhumaines et dégradantes », à l’égard des creuseurs.