Société

Les services de sécurité ont présenté jeudi 8 octobre à Goma, Nord-Kivu, 54 jeunes qui ont échappé à un recrutement par d’anciens membres de l’ex M23. Ces jeunes voyageaient sans documents légaux en Ouganda, dans un bus, en compagnie de deux anciens membres de l’ancienne rébellion, qui n’ont pas encore bénéficié de l’amnistie. Ils ont été arrêtés par les forces de sécurité ougandaises, qui les ont remises mardi dernier à leurs homologues congolais.

Après que des rebelles ougandais de l’ADF ont mené une 4eattaque contrele territoire de Beni, dans le Nord-Kivu, le député national Grégoire Kiro appelle le gouvernement à anticiper ces exactions. Dans une déclaration à la presse jeudi 9 octobre, cet élu de Beni dit ne pas s’expliquer ces attaques vu le nombre important de militaires FARDC déployés dans cette région. Environ une vingtaine de personnes ont été tuées au cours de quatre incursions des ADF, en l’espace d’une semaine, sur l’axe Beni-Mbau. Le député Grégoire Kirojuge ces attaques inadmissibles.

Les Forces armées de la RDC (FARDC) ont commencé à se déployer dans la localité de Bunyantenge à Lubero (Nord-Kivu) depuis le lundi 6 octobre dans la soirée. Ce déploiement a été décidé à la suite des affrontements en septembre dernier entre les combattants de la milice de Cheka et ceux de La Fontaine. Pour le porte-parole adjoint de l’armée, colonel Hamuli, ce déploiement est un signal lancé par les FARDC aux habitants de cette localité pour leur montrer leur détermination à assurer la sécurité.

Une cinquantaine de parcelles ne sont pas, depuis cinq mois, desservies en eau potable dans le quartier Matadi, dans la commune de Bumbu (Kinshasa). Ces parcelles se trouvent notamment sur les avenues Souvenirs, Tuwisana et Masengi, dans la partie comprise entre Petit Saïo et Birmanie, a constaté Radio Okapi jeudi 9 octobre. Les habitants de cette partie de Bumbu parcourent de longues distances pour se procurer en eau potable.

Les membres du bureau et de l’assemblée plénière du Conseil supérieur de l’audiovisuel et communication « CSAC » étaient en session ordinaire hier mercredi 8 octobre 2014, au siège de ladite institution à Gombe. Il était 11heures passées de quelques minutes quand cette 25ème session de l’assemblée plénière a commencé. Jean-Pierre Eale, Lwemba, Primo Mukambilwa, Luboya Mvidie, Ekambo, Banza, Alain Nkoy … et naturellement Tito Ndombi, le nouveau président du CSAC désigné il y a de cela quelques jours par ses pairs, avaient pris part à cette séance de travail.

Les petits ménages kinois sont en émoi devant l’augmentation constante et mensuelle de la facturation de l’énergie électrique. Personne n’ignore l’impact de cette denrée dans l’amélioration du confort des ménages, particulièrement lorsqu’on connaît la politique sociale du gouvernement qui vise à offrir à chaque famille un minimum de confort indispensable à la bonne éducation de la jeunesse et de chaque citoyen dans le cadre de la Nouvelle citoyenneté.

La propriété de la parcelle située au numéro 24, de l’avenue Souvenir, au quartier Bumba, dans la commune de Ngaliema, précisément à Binza UPN est à la base d’un conflit entre le magistrat Honoré Prospère et le conservateur des titres immobiliers de la Lukunga. Le magistrat estime qu’il est victime des troubles de jouissance provoqués par le conservateur des titres immobiliers qui est lui-même cité par M.Ngoma Ngimbi.  

Paris, Brazzaville, le 9 octobre 2014 - La Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris a confirmé aujourd’hui la mise en examen pour crimes contre l’humanité de Norbert Dabira, ancien inspecteur général des armés congolais.

Plus de 2 000 personnes sont victimes des inondations à la suite des pluies qui se sont abattues, depuis deux jours, dans cinq localités du groupement Mupfunyi-Shanga, en territoire de Masisi (Nord-Kivu). Il s’agit notamment des localités de Rueni, Maona, Nyamubingwa et Kyabondo, situées au bord du lac Kivu. Le chef de ce groupement, François Muharuro Wetemwami, a livré cette information, mercredi dans la matinée, après une ronde dans toutes ces localités touchées par les eaux de pluie.

Le président de la commission politique, administrative et juridique (PAJ) de l’Assemblée nationale a déclaré, hier mercredi 8 octobre, que l’Institut national de sécurité sociale (INSS) pourrait être maintenu ou transformé. François Bokona a fait cette déclaration au Palais du peuple, siège du Parlement de la République, à l’issue de la réunion de la commission mixte PAJ – Socioculturelle, axée sur un examen approfondi du projet de loi des règles relatives au régime général de la sécurité sociale.