Le Salaire Minimum Interprofessionnel garanti (SMIG) de la République démocratique du Congo compte parmi les plus bas de la planète, attestent les institutions financières internationales. Déterminé à revoir à la hausse cet indice, le Vice-Premier ministre en charge de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale (ETPS) a personnellement exhorté les participants à la 31ème Session ordonaire du Conseil national du Travail à se pencher sur le réajustement du smig. Cette mission délicate sera au coeur de ces travaux qui ont démarré hier mardi 25 août au Cepas, à Kinshasa.
Politique
C’est dans les deux prochains jours que Thomas Perriello, nouvel envoyé spécial de Barack Obama dans les Grands Lacs débarque à nouveau à Kinshasa. Sur l’agenda du successeur du sénateur démocrate Russ Feingold, des questions d’ordre politique et électoral dont il va discuter avec les autorités congolaises.
Le vice-Premier ministre en charge de l'Intérieur, Evariste Boshab, condamne des comportements « décevants et inacceptables » de certains députés de nouvelles provinces issues du démembrement.
En mission d’évaluation des projets de stabilisation du territoire de Mambassa, dans la province de l’Ituri, le chef de l’unité d’appui à la stabilisation de la Monusco s’est dit satisfait de l’évolution du dialogue entre les populations et les autorités locales. Richard de La Falaise s’était rendu dans la région pour évaluer les projets de stabilisation de ce territoire situé à 170 kilomètres au Sud-Ouest de Bunia.
«On nous dit souvent que le dialogue c'est bien mais ça n'apporte pas grand-chose de concret [].
Selon radiookapi.net, le pasteur Daniel Ngoy Mulunda se propose de sortir, à une date qui reste encore à déterminer, un livre écrit de sa main et devant porté un titre fort évocateur d’un passé récent : « Les élections de 2011, la vérité de Daniel Ngoy Mulunda ».
L’échiquier politique congolais doit désormais compter avec l’Espace démocratique pour la bonne gouvernance (EDG) conduit des mains de maître par le pasteur Daniel Ngoy Mulunda. Réuni en séminaire à Lubumbashi depuis le jeudi dernier, il doit clôturer ses travaux sauf imprévu, demain.
Le Dr Mputu Dibwe, président de l’Opposition démocratique interne (ODI), appelle les acteurs politiques à se taire, au lieu de soutenir la contre évidence.
Il se fonde sur le fait que l’opinion nationale se trouve encore sous le choc, après les propos du président de » Kabila Désir » sur les ondes de RFI en date du 13 août dernier.
Tryphon Kin Kiey Mulumba se fait passer, d’après l’ancien président de l’Union Sacrée de l’Opposition Radicale (USOR), comme le dernier rempart du kabilisme, vantant la paix retrouvée en RDC sous le régime en place.
Ce haut cadre du parti politique UDPS a épinglé, à cette occasion, les principaux enjeux de l’heure parmi lesquels la troisième voie tant décriée par le peuple et la communauté internationale, le découpage territorial et le dialogue!
« Les enjeux de l’heure et leurs conséquences » a été le thème de la conférence-débat organisée par « Labo-Tshangu » de l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), un groupe de réflexion et d’analyse de la situation du parti pour corriger et améliorer sa marche.
Le secrétaire général honoraire de l’UDPS, l’ingénieur civil Alexis Mutanda Ngoy Muana a
Dans une correspondance au président de la République, Joseph Kabila, l’Association Africaine de Défense des droits de l’Homme (ASADHO) exhorte Joseph Kabila à respecter les articles 70 et 220 de la Constitution de la RDC qui interdisent au numéro un congolais de briguer un troisième mandat. Me Katende a avancé les raisons selon lesquelles le troisième mandat de Joseph Kabila serait un problème.
Aujourd’hui, l’opinion semble donner raison à ceux qui n’ont pas cru en l’action du chef de l’Etat, la qualifiant d’opération de charme. Le silence est total du côté du PGR. Personne n’est interpellé, ni traqué, encore moins arrêté. On ignore même si des enquêtes ont déjà été initiées dans ce sens
Cela fait aujourd’hui deux mois depuis que le président de la République, Joseph Kabila, a déposé, à travers son conseiller Luzolo Bambi, une dénonciation auprès du procureur général de la République, contre la corruption, le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.