Politique

mar 16/09/2014 - 11:52
L'agenda de la session parlementaire de septembre ouverte ce lundi 15 septembre prévoit l‟examen du projet de loi relatif aux élections des députés provinciaux qui, aux dires du président de l‟Assemblée nationale, Aubin Minaku, appelle au préalable une révision constitutionnelle. Le président du Sénat, Léon Kengo, a appelé au respect des dispositions intangibles de la constitution qui sont, selon lui, le « socle de toute l‟architecture constitutionnelle ».
mar 16/09/2014 - 11:36
Président du Sénat, Léon KengowaDondo a décidé hier, à l‟occasion de la rentrée parlementaire d‟octobre, de porter sa toge de magistrat. Dans une envolée oratoire qui a rappelé à l‟opinion son ancienne fonction de Procureur général de la République, il a jeté un regard perçant sur le Code de la Famille pour en exposer les éléments d‟histoire. Ce Code que d‟aucuns voudraient balancer dans le fleuve de l‟ignominie, a nécessité dix ans de travaux et de débats avant son adoption.
mar 16/09/2014 - 11:34
« Il ne faut pas tirer prétexte de la révision pour aboutir à un changement de constitution », a martélé le président du Sénat dans son discours d‟ouverture de la session de septembre 2014 Conformément à la constitution, en son article 115, la session ordinaire du parlement dite budgétaire s‟est ouverte ce lundi 15 septembre dans les deux chambres.
mar 16/09/2014 - 11:31
Le président de l’Assemblée Nationale, Aubin Minaku, a procédé hier lundi 15 septembre 2014 au Palais du peuple, à l’ouverture de la session ordinaire de septembre de la chambre basse du Parlement, session essentiellement budgétaire. Abordant la situation socio-économique de la République Démocratique du Congo, le président de l‟Assemblée nationale a fait noter dans son allocution, qu‟en fin août 2014, selon les données de la Banque Centrale, le pays présente une situation globalement caractérisée par un cadre macro-économique stable avec un taux de croissance du PIB, estimé à 9,5%.
mar 16/09/2014 - 11:29
Si, par principe, la session ordinaire de septembre est essentiellement consacrée à l’examen du projet de budget pour le prochain exercice, d’autres sujets brûlants de l’actualité, tel que l’épineux dossier de la révision de la Constitution, s’inviteront sans nul doute au débat. L’unanimité s’étant difficilement dégagée aussi bien dans la Majorité que dans l’Opposition sur un projet de révision déposé par le gouvernement au bureau de l’Assemblée nationale, la rentrée parlementaire s’annonce sous tension.
mar 16/09/2014 - 11:24
Les députés et sénateurs reprennent le chemin de l‟hémicycle de Lingwala. Les représentants du peuple renouent donc avec les plénières et travaux en commissions. Après avoir été « vivre » avec leurs électeurs, chaque député et sénateur a pu jauger les attentes de ses électeurs.
mar 16/09/2014 - 11:19
Bien que la présente session soit essentiellement budgétaire, l’Assemblée nationale va accorder une attention particulière à l’examen et au vote de la loi portant reddition des comptes de l’exercice 2013, accélérer le processus de décentralisation par le vote de trois projets de loi, l’installation des membres de la Commission nationale des droits de l’homme, les quatre projets de loi jugés prioritaires, etc.
mar 16/09/2014 - 11:11
Des noms sont cités : le MLC Thomas Luhaka, le CDC Gilbert Kiakwama, l‟UNC Justin Bitakwira, le FONUS Joseph Olenghankoy, le RCD Azarias Ruberwa, l‟ADT José Makila, l‟ADR Constant Ndom et l‟UFC Michel Bongongo feraient leur entrée au gouvernement, y compris un ou deux ministres UDPS a-t-on appris de plusieurs sources. Ça y est presque. Une année après les Concertations et l‟annonce d‟un gouvernement de cohésion nationale, la fumée blanche s‟est dégagée avenue ex-3Z.
mar 16/09/2014 - 11:10
Le 15 septembre 2014, sénateurs et députés ont repris le chemin de l‟hémicycle. C‟était l‟ouverture de la session ordinaire de septembre, essentiellement budgétaire. Deux hommes ont été en vedette. Léon Kengo wa Dondo, Président de la chambre haute, et Aubin Minaku, Président de la chambre basse. Chacun a donné son feeling par rapport aux enjeux majeurs qui attendent les deux institutions dans la marche de la République, en ce qu‟il y aura des décisions importantes. Mais, l‟approche, entre les deux, a totalement divergé sur la question de la révision constitutionnelle.
mar 16/09/2014 - 11:04
C’est un véritable pavé dans la mare que vient de jeter le Président du Sénat, dans sa triple casquette de Co-président des Concertations nationales, de juriste et d’acteur politique. Léon Kengo s’oppose à la révision des dispositions intangibles de la Constitution du 18 février 2006. Si l’on modifie ces dispositions, on détruit, par le fait même, tout l’édifice constitutionnel construit dans la peine. On n’est dès lors plus dans la même Constitution, mais dans une autre. Il ne faut pas tirer prétexte de la révision pour aboutir à un changement de Constitution.