Le président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila Kabange, s’est engagé vendredi 31 octobre 2014 à Beni (Nord-Kivu, Est) s’est engagé à « tout mettre en œuvre pour éradiquer le phénomène des massacres des populations civiles en ville et territoire de Beni ».
Y séjournant pour réconforter la population lourdement frappée par le massacre de plus de 100 personnes au mois d’octobre par des rebelles ougandais de l’ADF-Nalu, il a fait de nouvelles promesses dans le cadre de la sécurisation des personnes et de leurs biens en territoire de Beni, dans son adresse à l'ensemble de la p
Politique
Le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta, vient de réserver, dans sa lettre du 27 octobre 2014, une fin de non-recevoir à la requête lui adressée le 21 octobre 2014 par les Forces Politiques de l’Opposition.
Une nouvelle page d’histoire est-elle en train de s’écrire au Burkina Fasso ? Beaucoup d’analystes politiques sont tentés d’y croire. Aussi imprévu qu’inattendu, ce pays vient d’entrer dans une transition non préparée.
1. Les FAC suivent de très près l’évolution de la situation dramatique qui se produit actuellement au Burkina Faso où s’est développé un mouvement protestataire populaire contre le projet de révision de la Constitution par le gouvernement de ce pays afin de permettre au Président Blaise Compaore de conserver le pouvoir ;
2.
La Cour opérationnelle militaire du Nord-Kivu, siégeant en chambre foraine à Beni dans l’affaire Mamadou Ndala, a condamné le major Paul Kimararungu à perpétuité. Ce verdict est tombé à l’audience du mercredi 29 octobre.
A quelques semaines de la tenue du sommet de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) à Dakar, soit en novembre prochain, le président de la République Joseph Kabila devra céder à son homologue sénégalais, Macky Sall, le flambeau de la présidence de cette institution internationale ayant en partage la langue française.
(KINSHASA)- L’opposant Martin Fayulu, coordonnateur des Forces acquises au changement a prévenu le régime Kabila du séisme qui peut lui arriver si jamais s’il s’inscrivait dans une logique suicidaire de révision constitutionnelle. ‘‘Les FAC saisissent cette occasion pour inviter Monsieur Kabila, qui se trouve dans la même situation que Blaise Campaoré, à renoncer à toute initiative susceptible de remettre en cause la stabilité et la consolidation de la démocratie dans notre pays’’, peut-on lire dans leur communiqué.
(KINSHASA)- Le leader de l’Union pour la nation congolaise, Vital Kamerhe a indiqué que l’époque des présidents providentiels est terminée en Afrique. Il réagissait à l’ébullition burkinabée qui a déracinée le pouvoir de Campaoré. Pour lui, le temps est venu où le peuple africain a compris qu’il faut prendre son destin en main face à des gens qui veulent s’éterniser au pouvoir. Le leader de l’Unc espère que ceux qui sont encore dans cette logique, vont renoncer. Il appelle la classe politique et le peuple congolais à s’inspirer de l’exemple burkinabé pour défier le totalitarisme.
Au fur et à mesure que s’éloigne l’illusion d’une présidence à vie pour Kabila à cause notamment de la forte hostilité de la société civile, de l’église catholique, des partis politiques- y compris de son propre camp- , de la communauté internationale et de l’évolution heureuse de la situation au Burkina-Faso, son conseiller de pasteur, le branhamiste Mugalu, lui navigue à contre-courant en multipliant initiatives après initiatives pour entretenir cette utopie moyenâgeuse.