Justice

Sur instruction du Procureur général près la Cour Constitutionnelle, Firmin Mvonde Mambu, le procureur de la République près le Tribunal de Grande instance de Kinshasa/Gombe, Edmond Isofa, a remis à la famille de feu Chérubin Okende, depuis le 7 Mars dernier, toutes les pièces liées à l'enquête et tous les procès-verbaux sur la mort de cet ancien ministre des Transports. 

Le Tribunal de Grande instance de Kinshasa/Gombe a promis à l’audience de ce 8 mars, tenue à la prison centrale de Makala, de rendre son jugement au plus tard le 20 mars dans l’affaire qui oppose Stanis Bujakera Tshiamala au ministère public, qui a requis 20 ans de prison et 20 millions de Franc Congolais (7400$ environ) d’amende contre le journaliste, poursuivi pour un article de Jeune Afrique, dont il n’est pas l’auteur, qui met en cause les services de renseignement dans la mort de l’ex-ministre Chérubin Okende.

Le Conseil d'État a tranché, le 26 février 2024, lors d'une audience publique, dans l'affaire de la concession de 19 hectares appartenant à la Succession du Maréchal Mobutu située devant le Pullman Karavia allant de l'entrée principale jusqu'au niveau de la plage qui est une concession privée de la famille Mobutu avec son partenaire, la société BMPP.  Il s'agit d'une affaire qui l'a opposé à Monsieur RAHIM DRAHLIA , monsieur Psaromatis et tant d'autres spoliateurs de leur concession. 

Le procureur général près la Cour de Cassation, Firmin Mvonde Mambu, demande au procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe de  poursuivre les auteurs de "faux bruits" et  "commérages" autour du rapport qu'il a rendu  public le 29 février 2024,, au terme des enquêtes menées par la justice sur la mort de l'ancien ministre des Transports Chérubin Okende. 

À travers un communiqué de presse parvenu à 7SUR7.CD ce dimanche, la Cour d'Appel de Kinshasa-Gombe annonce pour ce lundi 04 mars 2024, le début des audiences relatives aux contentieux des législatives provinciales pour la capitale congolaise. La première phase de ces audiences qui s'étendront au 08 mars prochain concerne 13 des 24 circonscriptions électorales que compte la ville-province de Kinshasa  Ci-dessous, le communiqué de la Cour d'Appel de Kinshasa-Gombe

Commencées le 5 février 2024, les audiences sur les contentieux des résultats provisoires des élections législatives nationales en RDC se sont clôturées le lundi 26 février 2024 devant la Cour constitutionnelle.  En trois semaines, la Haute Cour a appelé 1158 affaires. Tous les requérants ont été entendus. Les parties attaquées aussi, ainsi que les experts de la Commission Electorale Nationale Indépendante ( CENI). 

Le Tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe a rejeté, ce mardi 27 février 2024, pour la énième fois, la demande de mise en liberté provisoire de Stanis Bujakera, directeur de publication adjoint du média en ligne actualité.cd et correspondant de Jeune Afrique en RD-Congo, telle que sollicitée par sa défense. C'est ce qu'a fait savoir à la presse Jean-Marie Kabengela, un des avocats du journaliste, détenu depuis près de six mois à la prison centrale de Makala.

Le bourgmestre de la Commune de Makala, donneur d’ordres aux jeunes qui ont détruit une partie du murs de soutènement de la route Elengesa à Kinshasa pour permettre à un particulier de se frayer un passage vers sa demeure, est condamné ce mardi par la justice à 5 ans de prison ferme pour vandalisme des ouvrages publics. Les jeunes, qui ont exécuté ses ordres et qu'on voit dans la vidéo en train de démolir ces murs, ont été condamnés chacun à 2 ans de prison ferme.

Le bourgmestre de la Commune de Makala, donneur d’ordres aux jeunes qui ont détruit une partie du murs  de soutènement de la Route Elengesa à Kinshasa pour permettre à un particulier de se frayer un passage vers sa demeure, est condamné ce mardi par la justice à 5 ans de prison ferme pour vandalisme des ouvrages publics.  

L'ancien président fédéral du Mouvement de libération du Congo (MLC) en province du Sud-Ubangi, Gaby Mbombo, a recouvré sa liberté le vendredi 23 février 2024 après près de 72 heures de détention. La libération de Gaby Mbombo est consécutive aux excuses publiques qu'il a présentées au gouverneur de province, Jean-Claude Mabenze. Ce dernier avait porté plainte contre ce cadre du parti de Jean-Pierre Bemba pour « diffamation et outrage ».