Politique

La Coalition des 33 ONG de promotion et de défense des droits de l’homme indique être « profondément préoccupée par les contours flous du dialogue ». Me Georges Kapiamba, coordonnateur de cette structure, a déclaré jeudi 14 avril que le facilitateur Edem Kodjo devait s’engager à respecter la résolution 2277 du Conseil de sécurité des Nations unies.

Pour le bureau de Moïse Katumbi à Kinshasa, les réalisations de ce dernier dans l’ex-Katanga, pris comme un champ d’expérimentation, sont la preuve de son leadership incontestable.

« Les recommandations de la RDC au Conseil de sécurité de l’Onu ont été entendues. Mais, c’est en souveraineté que celui-ci décide ». L’éclairage est de la Monusco.   Le débat autour de la résolution 2277 du Conseil de sécurité de l’Onu continue à défrayer la chronique.

Annoncé comme futur soutien du candidat G7 à la présidentielle, Moïse Katumbi, le député national Jean-Lucien Bussa dément catégoriquement cette information parue dans la presse congolaise. Le président du parti CDR a réagi via son compte tweeter le mercredi 13 avril. A lire ci-dessous. Les affirmations de ce journal, Africanews pour ne pas le citer, sont dénuées de tout fondement précise l'ancien président du groupe parlementaire MLC. L'élu de Budjala dans l'ex province orientale a réaffirmé son appartenance à la Dynamique de l'Opposition, une des principales plateformes de l'Opposition.

Le Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), Monsieur Corneille NANGAA YOBELUO, accompagné du Vice-président, Monsieur Norbert BASENGEZI, ont échangé ,ce mercredi, 13 avril 2016, avec Monsieur Thomas PERIELLO, Envoyé Spécial du Président des Etats Unis d’Amérique dans la région des Grands Lacs qu’accompagnaient Messieurs David E.BRONN, Député, Chef de mission et SEAN ELLIOT, Chargé de la section politique de l’Ambassade des Etats Unis d’Amérique en RDC.     L’envoyé spécial, Thomas PERIELLO, arrivé à Kinshasa depuis quelques jours a voulu s’informer sur l’évolutio

Dans sa croisade pour un Dialogue réussi, le facilitateur de l’UA se voit déclarer une guerre ouverte par la Dynamique de l’opposition, le G7 et le Mlc. Les 3 n’ont pas encore fait front commun, mais c’est tout comme si le front était déjà établi. Tant la convergence des vues par rapport au rejet du dialogue caractérise ces acteurs de la scène politique congolaise.   Certes, l’Udps s’est déclarée partante pour la nouvelle croisade annoncée par Kodjo le lundi 11 avril.

  Miné par la maladie depuis des mois, l’opposant Jacques Chalupa confronté à d’énormes ennuis judicaires, va se rendre dans quelques jours à l’extérieur du pays, pour se faire soigner. La justice congolaise a accepté finalement de lui redonner son passeport et l’autoriser à quitter le pays pour des raisons humanitaires. Le passeport lui avait été retiré depuis son interpellation en février dernier suite à la confusion créée autour de sa nationalité. Son parti- ADD-Congo a salué cette décision du pouvoir bien que tardive.

  L’ancien chef du gouvernement congolais, Adolph Muzito a été surpris d’apprendre que les autorités académiques de l’Université protestante du Congo, ont annulé la conférence-débat qu’il devait animer jeudi. L’initiative pourtant vient des étudiants de cette université qui ont voulu écouter de vive voix l’homme de tribune. L’envie était manifeste dans le chef de jeunes étudiants pour enrichir leur savoir sur les questions économiques en échangeant avec cette sommité. Malheureusement, ordre a été donné pour annuler la conférence-débat.

  L’ex-premier ministre togolais peut compter sur l’appui de la Monusco. Le porte-parole de la mission onusienne au Congo-Kinshasa, Félix Prosper Basse a assuré qu’Edem Kodjo, le facilitateur désigné par l’Union africaine, aura le soutien nécessaire de l’Onu pour lui permettre d’accomplir sa mission. La Monusco va appuyer les efforts d’Edem Kodjo, explique-t-il.  Prosper Basse affirme que tout sera mis en œuvre pour aider Edem Kodjo à remplir sa feuille de route pour la tenue d’un dialogue inclusif. A la Monusco, on tient à l’organisation crédible des élections.

La nouvelle tombe comme une bombe à l’assemblée nationale. Le deuxième vice-président de l’assemblée nationale, Timothée Nkombo Nkisi-79 ans a rendu l’âme jeudi en France où il était parti se faire soigner. Alors qu’il devait rentrer vendredi au pays, il a piqué une crise ce matin qu’il a emporté, indique un membre de sa famille. Depuis un temps, le vieux cadre Udps ne tenait plus. L’élu de Madimba était invisible aux plénières de l’assemblée nationale. Bien que malade, Nkombo Nkisi ne voulait pas lâcher prise. Il s’est battu pour rendre des loyaux services à la nation.