Politique

Dans un tweet lundi 08 juin 2020, la députée nationale Henriette Wamu a remercié le chef de l'État pour avoir désigné une femme au  poste de premier vice-président du bureau de la chambre basse du parlement. Pour l'élue de la Funa, Félix Tshisekedi a rencontré ses attentes et  celle de toutes les femmes congolaises. "Nous remercions le président de la République pour avoir répondu à nos attentes en désignant une femme comme candidate 1er vice président au bureau de l'Assemblée nationale",  a affirmé Henriette Wamu.

Le député national Delly Sesanga a, dans une correspondance datée du 8 juin 2020 adressée à la présidente de l'Assemblée nationale, Jeanine Mabunda, déposé une proposition de loi organique portant abrogation du Conseil National de Suivi de l'Accord et du Processus Électoral, (CNSA). Selon l'élu de Luiza dans la province du Kasaï-Central, cette institution d'appui à la démocratie est devenue "obsolète". Delly Sesanga soutient que sa démarche s'inscrit dans le cadre de la réduction du train de vie de l'État.

Réagissant à la prise de position des leaders de LAMUKA notamment Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi relative au procès dit des "100 jours", Prince Epenge, l'un des communicateurs de cette coalition de l'opposition, insiste sur  la comparution du chef de l'État. Qui d’après lui, "est une obligation légale" en vue d'éclairer la lanterne du Tribunal sur les allégations de Vital Kamerhe. 

Le président de la République Félix Tshisekedi a échangé le lundi 08 juin 2020 avec les sénateurs et députés du Sankuru au sujet de la crise institutionnelle qui bloque le développement de la province. Les élus du Sankuru ont demandé au chef de l'État d'appuyer les initiatives du gouvernement allant dans le sens de résoudre cette crise pour assurer le développement de la province.

Dans un communiqué publié le lundi 08 juin 2020, l'Union la Nation Congolaise (UNC), de Vital Kamerhe, a décidé de soutenir le candidat présenté par l'Union pour la démocratie et le Progrès Social (UDPS), en la personne de la députée nationale Patricia Nseya, pour préserver les acquis de la coalition, Cap pour le Changement (CACH).

Le secrétaire général de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a déclaré ce lundi 8 juin 2020 que Cap pour le Changement (CACH) est toujours en coalition avec le Front Commun pour le Congo, (FCC). Déclaration faite par le numéro deux du parti présidentiel à l'occasion du dépôt de la candidature de la députée Patricia Nseya au poste de premier vice-président de l'Assemblée nationale pour le compte de l'UDPS.

La députée nationale Patricia Nseya de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), a déposé ce lundi 8 juin 2020 sa candidature au poste de 1er vice-président de l'Assemblée nationale. Pour s'y faire, elle a été notamment accompagnée du secrétaire général de son parti, Augustin Kabuya. À noter également la présence du député Fabien Mutomb au Palais du peuple. Il sied de préciser que Patricia Nseya a déposé sa candidature quelques heures seulement après avoir été désignée par la hiérarchie du parti pour occuper ce poste devenu vacant.

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu ce lundi 8 juin 2020 à la Cité de l'Union Africaine à Kinshasa, la délégation de Union Européenne arrivée ce même lundi dans la capitale congolaise. Pendant une heure, le président de la République Démocratique du Congo s'est entretenu avec le commissaire européen  chargé de la gestion des crises Janez Lenarcic, le ministre français des affaires étrangères  Jean-Yves Le Drian ainsi que son collègue Belge  Philippe Goffin.

L'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, (UDPS), a désigné son candidat pour le remplacement de Jean-Marc Kabund au poste de premier vice-président du bureau de l'Assemblée nationale. Il s'agit de la députée nationale Patricia Nseya, qui a été désignée ce lundi 8 juin 2020. Via Twitter, le député Coco Mulungo qui avait manifesté son intention de remplacer Jean-Marc Kabund a salué le choix porté sur sa collègue du parti.

A travers un communiqué parvenu à 7sur7.cd, ce lundi 8 juin, le mouvement citoyen Filimbi attire l'attention de l'opinion sur cinq faits majeurs qui ont marqué le procès 100 jours. Il exige que les clarifications soient apportées, les responsabilités individuelles  établies et que les sanctions pénales et administratives appropriées soient prises. Ci-dessous  les faits que Filimbi qualifie d'extrêmement graves en rapport avec  la gestion des fonds alloués au programme d'urgence de 100 jours. 1. Le non respect de la chaîne des dépenses publiques ;