Politique

Le secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Abdou Diouf, a estimé dimanche que « deux mandats suffisent largement » à la tête d’un Etat en Afrique, même s’il a exercé quatre mandats à la présidence du Sénégal. « Je ne le referai pas (…) Je pense qu’à notre époque, deux mandats suffisent largement à la tête d’un Etat », a déclaré l’ancien président sénégalais (1981-2000), dans une interview à TV5MONDE. Au Burundi, au Rwanda, au Togo, en RDC, au Congo-Brazza, plusieurs présidents africains sont accusés de vouloir, comme Blaise Compaoré, s’accrocher au pouvoi

Germain Katanga ne fera pas appel de sa condamnation à 12 ans de prison par la Cour pénale internationale, a annoncé la Cour par un communiqué mercredi.

Ce grand opérateur économique revient pour prendre les rênes de l’ECT, parti politique de la majorité créé par le gouverneur Moïse Katumbi, et dont font partie aussi le ministre de la Santé Publique Félix Kabange Numbi et le ministre provincial de l’Agriculture du Katanga ! Depuis Bruxelles, on apprend que le richissime Katebe Katoto prépare un retour fracassant en RD Congo après une rencontre avec trois grandes personnalités du Katanga dans la capitale belge. Selon les mêmes sources, ce grand opérateur économique qui n’est plus à présenter rentre au pays pour participer à l’élection préside

Grace à son indépendance et au traitement particulier de l’info, C-News est généralement très bien informé.

L’opposant Gabriel Mokia a violemment chargé le député Delly Sessanga dans l’édition C-NEWS du vendredi 14 novembre 2014. Selon l’ancien prisonnier du régime Kabila, Delly Sessanga roule désormais pour la majorité présidentielle. Il en veut pour preuve la proposition d’amendement de la loi électorale du président d’Envol que celui-ci aurait déjà déposé au bureau de l’Assemblée nationale.

L’ambassadeur de la RD-Congo en Ouganda vient de désenclaver le Sankuru. Au terme d’une visite de cinq jours dans cette partie de la province du Kasaï Oriental, ce haut cadre de la majorité présidentielle a mis à la disposition des habitants et visiteurs du Sankuru un bac. Cet engin aussi capital pour le transport et la traversée des personnes et des biens tombe à point nommé.

Le bâtonnier Jean-Claude Muyambo, président national du SCODE-Solidarité Rd-Congolaise pour la démocratie, rompt avec la majorité présidentielle. La volonté qu’affiche le pouvoir en place de maintenir Kabila au pouvoir au-delà de son mandat qui prend fin, le 19 décembre 2016 et le non respect des règles Démocratiques sont à la base de son départ de la MP. C’est la première défection d’une bonze de la majorité présidentielle.

Le gouvernement aurait retiré les quatre projets des lois portant révision des certaines dispositions de la Constitution, ont rapporté à C-News des sources bien informées auprès de l’Assemblée nationale. D’après les mêmes sources, le gouvernement l’aurait fait en toute discrétion. Question d’effacer toutes les traces et d’éviter surtout le cas Burkinabé. Si cette information s’avérait exacte, cela prouverait à suffisante que le pouvoir en place à tirer clairement les leçons du Faso. L’idée était de réviser la Constitution pour maintenir Kabila au pouvoir au-delà de 2016.

Le feuilleton Kitebi est loin de finir.

Alors que des projets de réformes constitutionnelles sont en débat dans plusieurs pays africains, des opposants originaires de huit pays du continent se sont réunis vendredi à Paris pour signer une déclaration commune exigeant le respect des textes fondateurs. Venus du Congo-Brazzaville, de République démocratique du Congo, du Burundi, de Centrafrique, du Bénin, du Gabon, du Sénégal et de Guinée équatoriale, les opposants réunis à Paris ont exigé le respect des textes fondateurs, l’organisation d’élections libres et le respect du caractère républicain des armées. Dans plusieurs pays africains