Politique

(KINSHASA)- Deux jours après l’appel téléphonique sujet à polémique entre le président américain, Barack Obama et le congolais, Joseph Kabila, le porte-parole du gouvernement congolais a précisé qu’il n’y a jamais eu d’injonctions. ‘‘Le président américain n’a donné aucune injonction à son homologue congolais’’, a indiqué Lambert Mende. Il a ajouté qu’il n’a jamais été question de faire pression au président Kabila pour qu’il quitte le pouvoir. Rien d’intimidant, je vous assure, a rappelé Mende.
(BRUXELLES)- Le président national de l’Union pour la Démocratie et le progrès social, Etienne Tshisekedi a appelé, pour la énième fois, le représentant du secrétaire général de l’Onu au Congo-Kinshasa à convoquer rapidement le dialogue à l’aube de la publication par le conseil de sécurité de l’Onu de la résolution 2211 reconduisant d’une année le mandat de la Monusco.
Mais les discours tenus ce dernier temps par des officiels congolais en privé sur les charges financières du processus font déjà craindre le pire On assiste de plus en plus à des murmures et parfois même des jérémiades dans le camp de ceux qui gouvernement la RD Congo depuis le récent saupoudrage du calendrier électoral effectué par la Commission électorale nationale indépendante (sic !) sous les pressions croisées de l’opposition et de la communauté internationale ! En effet, alors que beaucoup reste encore à faire sur ce calendrier qui doit d’abord être expurgé de nombreux pièges dont il a
Les choses sont maintenant claires. La Mission des Nations-Unies pour la stabilisation de la RD Congo (Monusco) finira bel et bien par quitter le territoire congolais, mais sous 2 principales conditions. Hier, mercredi 1er avril 2015 au Quartier général de la Monusco à Gombe, Martin Köbler, représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu en RDC, a livré à la presse cette stratégie de retrait. La première condition à l’en croire, est d’ordre sécuritaire, car il faut d’abord réduire la menace des forces négatives dans la partie Est de la RDC.
Plusieurs acteurs de la scène politique congolaise, dans l’Opposition comme dans la Majorité, ont demandé de reporter pour après 2016 les municipales et les locales. Estimant que c’est la seule option permettant de garantir sans faille la présidentielle et les législatives du 27 novembre 2016. A l’Opposition, il s’est dégagé une unanimité sur cette question jugée capitale pour l’avenir de la Nation. A la MP eh revanche, le gros des troupes kabilistes, s’en lient à la stricte observance de toutes les échéances électorales sans exclusive ni révision à la baisse.
Que le président Joseph Kabila soit disqualifié constitutionnellement pour se représenter en 2016 et briguer un troisième mandat, c’est là l’évidence à laquelle le chef de l’Etat lui-même, les caciques du PPRD et les alliés de la « mouvance présidentielle » se rendent dans leur for intérieur, bien que la mort dans l’âme. Une réalité cruelle qui tourmente les consciences.
Ministre de la Justice en 2008, membre depuis 2014 de la Cour constitutionnelle où il est remplacé par Jean-Pierre Mavungu, le professeur Emmanuel-Janvier Luzolo Bambi est nommé conseiller du chef de l’Etat en matière de « bonne gouvernance, lutte contre la corruption et le blanchiment des capitaux » en RD Congo par ordonnance du président Joseph Kabila du 31 mars 2015.
Le président Barack Obama (USA) s’est entretenu mardi (31 mars 2015) au téléphone avec le Président Joseph Kabila de la République démocratique du Congo (RDC), signale le département d’Etat américain. M. Obama a souligné l'importance d’élections en temps voulu, crédibles et pacifiques, qui respectent la Constitution de la RDC et protègent les droits de tous les congolais. Le chef de l’Exécutif américain a évoqué l'héritage du président Kabila, qui a fait sortir la RDC de la guerre et la mise sur la voie du progrès démocratique.
L’opération de traque contre les FDLR telle que menée par les FARDC à Nyanzale connaît des faiblesses, a fait savoir le chef de la Monusco, Martin Kobler, ce mercredi 1er avril au cours de la conférence de presse hebdomadaire de l’Onu à Kinshasa. Il déclaré avoir fait ce constat lors cours d’une mission qu’il effectuée dans cette zone du Nord-Kivu la semaine passée.
Le président américain, Barack Obama, a souligné mardi 31 mars dans un entretien téléphonique à son homologue de la RDC, Joseph Kabila, «l’importance de l’organisation d’élections dans les délais requis, qui soient crédibles et pacifiques dans le respect de la Constitution et protègent les droits de tous les citoyens de la RDC», selon un communiqué de la Maison Blanche. Barak Obama a estimé que «l’héritage du président Kabila en tant que dirigeant qui a sorti la RDC de la guerre et l’a mise sur la voie du progrès démocratique continu serait consolidé par des élections libres et équitables en

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