Mars 2004, mars 2015, onze ans exactement, depuis que Polydore Mubuyayi est avec ses coéquipiers à la tête du Conseil exécutif de l’Observatoire des médias congolais (OMEC). Alors que son mandat était du point de vue statutaire, censé prendre fin en mars 2006. Et ne pouvait continuer, dans l’hypothèse où, il aurait été réélu en cette année, puis en 2010, à la suite des élections dont il avait l’obligation d’organiser. Ce qui n’a jamais été fait. Qu’est-ce qui justifie cette accroche au pouvoir ?
Politique
La concrétisation de l’engagement pris par son ministère à la suite de l’adoption du Plan d’action des FARDC pour la lutte contre les violences sexuelles en octobre 2014 est désormais effective.
Pendant ce temps, les sociétés Solsi et Sonema veulent s’implanter en RDC.
Le vice-Premier ministre et ministre en charge des Postes, télécommunications et nouvelles technologies de l’information et de la communication a eu une séance de travail avec son homologue du Portefeuille. Au centre de leurs entretiens, l’élaboration d’une feuille de route déterminant les axes essentiels de l’applicabilité du Central African Backbone (CAB5) lancé dernièrement à Béatrice hôtel à Kinshasa.
Le gouverneur de la Province Orientale, Jean Bamanisa Saïdi, a invité samedi 28 mars les responsables des organes de presse et services de sécurité opérationnels à Kisangani à accompagner le processus de découpage territorial.
«Le passage aux 26 nouvelles provinces est un processus qui doit bénéficier d’un accompagnement responsable de la presse qui doit s’abstenir de distiller des messages de haine et de d’exclusion, comme c’est le cas actuellement», a indiqué Jean Bamanisa.
Le gouverneur de la Province Orientale estime nécessaire la tenue d’un dialogue entre acteurs politiques en vue de dis
Le vendredi 27 mars 2015 au Palais du peuple, l’Administrateur Délégué Général de la REGIDESO, Jaques Mukalay, a répondu aux préoccupations soulevées par les députés lors du débat sur la question orale lui adressée par le député de l’UNC (Union pour la Nation Congolaise), Crispin Mbindule, au cours de la plénière du mercredi 25 mars 2015.
Dans sa réplique, il a fait état de la lourde créance que l’Etat congolais doit au titre de consommation d’eau que produit sa société.
Après la reconduction par le Conseil de sécurité, pour une nouvelle période de 12 mois, du mandat de la Monusco en République Démocratique du Congo, la tension semble avoir sensiblement baissé entre le gouvernement congolais et cette institution onusienne. L’heure est à présent au dialogue. A cet effet, on annonce la tenue, à partir de ce lundi 30 mars 2015 à Kinshasa, des échanges de clarification entre les deux parties.
Le but visé par ces négociations est de rétablir rapidement la confiance en vue de la relancer leur coopération militaire.
Limitation des mandats présidentiels en Afrique
Plus d’un chef d’Etat en Afrique centrale verra son mandat arriver à terme à partir de l’an 2016, après avoir consommé deux mandats consécutifs, sont concernés : les présidents du Rwanda, du Burundi et des deux Congo, plus particulièrement comme l’exige la constitution, ils doivent plier bagage, au nom du principe de l’alternance au pouvoir.
L’on a constaté, cependant, que la plupart des chefs d’Etat africains ayant pris goût au miel, ne veulent pas en démordre, préférant demeurer éternellement au pouvoir, qu’il vente ou qu’il neige, malgré la
Le parti de l’opposition Union démocratique africaine originelle (UDA) avertit les Congolais contre toute forme de tribalisme. Le président fédéral de ce parti au Katanga, Sam Kabeya, a lancé cet avertissement, samedi 28 mars, au cours d’une conférence sur le développement du Haut-Katanga, à Lubumbashi, chef-lieu du Katanga.
«L’Union démocratique africaine originelle (UDA) met en garde contre la haine et toute velléité politique de nature à pouvoir favoriser le tribalisme sous toutes ses formes.
Aligné au centre-gauche, ce parti politique qui totalise une année d’existence, fait du travail son vecteur de développement
La Convention des démocrates travaillistes unifiés (CDTU) en appelle au dialogue entre tous les acteurs politiques congolais, ainsi que la société civile, pour le réaménagement du calendrier électoral global, rendu public il y a peu par la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Ce, pour des élections apaisées, afin que les résultats ne soient pas contestés par beaucoup de candidats comme en 2006 et 2011.
Cette position a été donnée le samedi 28 mars dern
Oh en sait un peu plus sur la rencontre intervenue le dimanche 22 mars à Kingakati que l’Autorité morale de la Majorité présidentielle avait eu juste le temps d’introduire laissant les membres de cette plateforme face à face.
Les deux camps opposés avaient trouvé l’occasion de se régler des comptes avant de se calmer après une pause.
Les mobutistes qui sont dans la cour avaient le courage de faire référence au défunt maréchal-président pour toutes les richesses qu’ils ont amassées avant l’avènement des Kabila au pouvoir. Des Kabilistes avaient trouvé cela comme un sacrilège.