Politique

Face aux multiples interrogations de l’opinion publique sur le sort des éléments des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda(FDLR), récalcitrants au désarmement volontaire, malgré l’ultimatum de la communauté internationale, la Mission des Nations-Unies pour la stabilisation de la RDC( Monusco) a levé un pan de voile, hier mercredi 14 janvier au cours de son rendez-vous hebdomadaire avec la presse en son quartier général à Kinshasa Gombe.
En s’accrochant becs et ongles à l’organisation du recensement général et au découpage territorial à vingt mois de la fin du mandat de l’actuel chef de l’Etat, les stratèges de la MP ne se sont pas encore rendu compte que le commun des mortels commence à se poser maintes questions sur la légalité de ces actes. C’est la sortie médiatique de l’un des jeunes loups de cette plate-forme politique en la personne de l’ancien député national du MLC, le nommé Yves Kisombe, qui a mis la puce aux oreilles d’un bon nombre des compatriotes.
Kinshasa, le 13/01/2015 Copie pour information à : - Monsieur le Président National du Mouvement de Libération du Congo à la Haye - Aux Membres du Collège des Fondateurs - Honorable Eve Bazaiba Masudi, Secrétaire Générale du Mouvement de Libération du Congo A Kinshasa/Gombe A Monsieur Thomas LUHAKA LOSENDJOLA, Vice-Premer Ministre, Ministre des PTNTIC Kinshasa/Gombe Concerne : Mise au point Votre lettre du 07 janvier 2015 Monsieur le Vice-Premier Ministre, J’accuse réception de votre lettre non référencée du 07 janvier 2015 relative au prétendu déménagement du MLC. En
• Après les incidents de lundi dernier, des opposants membres de la Commission politique, administrative et juridique (PAJ) ont apporté leur touche hier à l’amélioration du projet de loi.
Pas de répit pour le vice-Premier ministre et ministre des Poste, télécommunications, nouvelles technologies de l’information et de la communication. Depuis le début de l’an 2015, les séances de travail avec les différents intervenants dans son secteur sont devenues son lot quotidien. C’est le cas des audiences accordées lundi et mardi dernier à ceux qui s’impliquent dans les télécommunications en RDC.
Par rapport à la situation politique nationale de ces derniers jours, caractérisée par d’énormes tensions susceptibles d’entrainer le pays dans le chaos, l’opposition Extra-parlementaire, réunie en urgence a formulé des propositions à travers un plan afin de sortir le pays dans la crise. C’était à l’issue d’une déclaration faite par le coordonnateur National de l’Opposition Extra-parlementaire accompagné de M.
Je ne suis pas ministre de Djolu non plus de l’Equateur seulement, plutôt de toute la république. Tels sont les propos du ministre des Petites et Moyennes Entreprises et Classe Moyenne, Pancrace Boongo Nkoy, lors de la manifestation organisée en son honneur, par les ressortissants de l’Equateur du district de la Tshuapa, précisément du territoire de Djolu, samedi 10 janvier 2015, dernier, au jardin botanique de Kinshasa. C’était la fête. La joie était au rendez-vous. Danse, cris, réjouissance, manifesté par les jeunes, les mamans, les papas ainsi que les notables de Djolu.
LeMonde.fr/Afrique : L’opposition guette de près le processus électoral en République démocratique du Congo. Parmi ses priorités : que le président Joseph Kabila ne brigue pas un troisième mandat en 2016 – ce que lui interdit la constitution actuelle – et s’assurer que la prochaine présidentielle se déroule bien en 2016. A priori, l’option de la révision constitutionnelle pour lever l’exception quant au nombre de mandat est tombée à l’eau.
Enjeux politiques de l’heure Des opposants blessés par balles et d’autres arrêtés au cours de la manifestation de lundi, des kilos de journaux détruits hier par la police. La démocratie est de nouveau en péril en RD Congo ! A l’allure où vont les choses, la RDC peut basculer à tout moment dans un cycle de violence dans la mesure où les Camps politiques, dualistes, maintiennent chacun sa position. Pour le premier camp identifié dans la majorité présidentielle, l’actuel Président de la République, Joseph Kabila doit bénéficier d’un troisième mandat politique.
Trois jours après l’adoption du prjet de loi fixant les limites des 25 nouvelles provinces Une pétition déjà en chantier Malgré l’implication personnelle du chef de l’Etat sur cette question, certains leaders du Katanga persistent dans leur décision contre le nouveau découpage de leur territoire. Lundi 12 janvier 2015, trois jours après l’adoption à l’Assemblée nationale du projet de loi fixant les limites des 25 nouvelles provinces, le président de l’Assemblée provinciale du Katanga, Gabriel Kyungu Wa Kumwanza, a initié une pétition pour contrer la mise en application de ce projet. » Le K

1xBet 26 Septembre 2025