Politique

En tournée dans la partie Est de la République Démocratique du Congo, Moïse Katumbi vient d'arriver à Bukavu cet après-midi. Accueilli par les militants d'Ensemble pour le Changement, Moïse Katumbi va tenir un meeting populaire à la place Major Vangu. Il sied de signaler qu'avant d'atteindre la ville de Bukavu, il a réalisé une escale sur l'ile d'Idjwi où il a remercié la population de cette partie de la province du Sud-Kivu pour son soutien. Isaac Musharhamina depuis Bukavu

15 proches de l'ex président Joseph Kabila ont demandé avec "confiance" à l'Union Européenne (UE) et à l'ensemble des États membres de lever "au plus vite" des sanctions prises contre eux. Dans un communiqué parvenu ce mercredi 30 octobre 2019 à 7SUR7.CD, le cabinet de leurs avocats explique que "ces mesures restrictives constituent pourtant aujourd'hui de véritables peines infligées sans aucun procès en parfaite violation de tous les textes internationaux, applicatables en la matière".

Le gouverneur de la province du Sankuru Joseph Stéphane Mukumadi a enfin publié son gouvernement le mardi 29 octobre 2019, soit plus de 3 mois après son élection par les députés provinciaux intervenue en date du 22 juillet dernier.  Composée au total de 10 ministres, cette équipe gouvernementale compte dans ses rangs 2 femmes qui vont chapeauter les ministères de l'Intérieur et des Finances.

Homme d'affaires et initiateur du mouvement citoyen "Les Congolais Debout", Sindika Dokolo a, à travers son compte Twitter lundi 28 octobre dernier, évoqué 5 conditions qui, selon lui, pourraient permettre à l'ex chef de l'État Joseph Kabila, devenu sénateur à vie, de revenir à la magistrature suprême en 2023.  Il cite entre autres l'instrumentalisation de la Haute Cour et la CENI ainsi que la distraction du peuple Congolais. 

Francine Muyumba s'insurge contre la pétition qui aurait été  initiée par quelques  députés nationaux du Front commun pour le Congo (FCC) en vue d'obtenir le départ de Jeanine Mabunda de la tête de l’Assemblée nationale.  À en croire la sénatrice PPRD, cette pétition est une attaque contre toutes les femmes de la RDC et de l'Afrique. 

Moïse Katumbi en séjour dans la ville de Butembo (Nord-Kivu) est arrivé au rond-point VGH ce mardi 29 octobre 2019 pour le début du meeting. Sur place, il réaffirme sa détérmination à pouvoir s'impliquer dans l'éraducation de l'insécurité qui sévit actuellement dans la région.  Katumbi se montre par ailleurs favorable à l'arrivé des opérateurs économiques dans cette partie du pays.

Moïse Katumbi a, au cours de son meeting tenu ce mardi 29 octobre 2019, réaffirmé sa ferme volonté de trouver des solutions, dans les jours à venir, aux multiples problèmes de la population.  Il indique que le pouvoir en place l'a, à maintes reprises, bloqué parce qu'il est l'homme des solutions. "Moi je suis l'homme des solutions. C'est pourquoi, ils m'ont bloqué. Lorsque je promets, je dois tenir ma parole", a-t-il déclaré.

Dans son meeting en cours au rond-point VGH dans la ville de Butembo (Nord-Kivu) ce mardi 29 octobre 2019, Moïse Katumbi dit être mécontent de la carence en eau voire de l'électricité dans la région.  Katumbi estime que si la REGIDESO est incapable de désservir la population de Butembo en eau potable, son chef d'antenne doit démissionner. "Butembo est une ville bien construite. Cette région a aussi une terre fertile. Mais il y a un problème d'eau et d'électricité. Si le chef d'antenne de la REGIDESO est incapable, il doit démissionner", a martelé Moïse Katumbi.

Le décor est planté ce mardi 29 octobre 2019, au rond-point VGH (cœur de Butembo) où l'opposant Congolais, Moïse Katumbi va, dans les heures qui suivent s'adresser aux habitants à travers un meeting. Des centaines de militants sont déjà sur place. Des effigies des partis politiques de la coalition LAMUKA flottent tout autour du lieu prévu pour le meeting.  La sécurité est tout de même renforcée sur place. Ce, y compris la première délégation de Katumbi composée essentiellement des députés tant nationaux que provinciaux.

Le député national élu de la circonscription électorale de Fizi au Sud-Kivu, Néhémie Mwilanya, a, dimanche 27 octobre dernier devant la presse à Lubumbashi, émis des réserves sur une éventuelle entrée des troupes étrangères pour mener des opérations militaires conjointes sur le sol congolais avec les FARDC contre les groupes armés. L'ancien directeur de cabinet de l'ex président Kabila évoque deux raisons majeures pour lesquelles, il n'est pas favorable à cette option.