Politique

Réunis ce mardi 11 février au siège du MLC à Kinshasa, les opposants congolais et leaders des organisations de la société civile ont, une fois de plus, dénoncé les enlèvements, intimidations, arrestations arbitraires et les menaces de mort à leur endroit. Ils ont fustigé le traitement infligé à leur collègue Christopher Ngoy aux geôles de l'ANR ainsi que les expéditions punitives à l'endroit de Jean-Claude Muyambo, Jen-Bertrand Ewanga, Diomi Ndongala et les autres. Les principaux leaders des partis d'opposition ont unanimement dénoncé l'instrumentalisation de la justice par le pouvoir dans
Avec 81 millions USD au Trésor public pour l'exercice2014, des programmes performants de formation et des perspectives avantageuses de carrières pour des agents essentiellement congolais, BAT Services Congo se positionne comme une véritable entreprise citoyenne.
« Pour l’instant, nous avons effectivement mis une pause dans la coopération avec les FARDC en attendant qu’on puisse clarifier cette situation », a déclaré mercredi 11 février le porte-parole de la Monusco, Charles Bambara, confirmant l’annonce, la veille, par un porte-parole des Nations Unies à New York d’une « pause » de la coopération de l’Onu dans les opérations contre les rebelles rwandais des FDLR.
Le coordonnateur national du Mécanisme national de suivi de l’accord d’Addis-Abeba, François Muamba, a déclaré mercredi 11 février que le dossier «ex-M23 » serait bientôt clos. Il est s’exprimé au terme d’une réunion d’évaluation des déclarations de Naïrobi, signées en décembre 2013 et mettant fin à la rébellion du M23.
La RDC, le Rwanda, l’Ouganda et les Nations Unies veulent clarifier la position des anciens belligérants encore au pays de Yoweri Museveni sur leur rapatriement ou non au Congo- Kinshasa. Une délégation mixte composée de la RDC, du Rwanda, de l’Ouganda et de la Communauté internationale se rendra dans les prochains jours à Kampala. Une mission devant permettre à ces pays de la Communauté internationale de la région des grands lacs (Cirgl) de clarifier définitivement la question autour des ex-combattants du M23 restés au pays de Yoweri Museveni.
La déclaration du Parti lumumbiste unifié ne contredit pas la vision du chef de l’Etat, martèle Willy Makiashi. Haro sur les mauvaises langues. Le courant passe bien. Très bien même entre la Majorité présidentielle et le Parti lumumbiste unifié (PALU). Plus rien donc ne peut arrêter cette alliance politique scellée entre les déformations de la Gauche Rd Congolaise en 2006 et en 2011. Même pas les tireurs des ficelles de tout bord. En dépit des colporteurs de tout vent, l’harmonie est parfaite entre la MP et le parti cher à Antoine Gizenga.
Au cours d’une importante réunion qu’il a présidé hier mardi 10février dans son cabinet de travail, le Secrétaire général de la Majorité présidentielle, l’honorable Aubin Minaku Ndjalanjoko, a fixé l’opinion sur les commentaires des fauteurs des troubles, en rapport avec la déclaration du Parti Lumumbiste unifié (PALU), faite le week-end dernier par le Secrétaire permanent de ce parti,, Willy.
Il faut lire le message de Russel Feignold à l’opinion congolaise, via la presse, au 3ème degré. Il faut donc aller au-delà des mots, des concepts et des attitudes pour cerner le véritable enjeu de cette communication. Embardée Tout d’abord, l’Envoyé Spécial de Barack Obama dans les Grands Lacs débarque à ‘Kinshasa au lendemain des événements ayant entouré le vote de la nouvelle loi électorale au Parlement.
Après la Zambie où il était allé présenter ses civilités au tout nouveau président zambien,Edgar Lungu, le gouverneur du Katanga n'est pas retourné à Londres. Il a regagné aussitôt son Katanga natal hier mardi 11 février. Accueilli par un comité restreint constitué notamment du vice-gouverneur Yav Tshibal, le président du tout puissant mazembe n'a pas fait de vagues cette fois-ci. Il a seulement affirmé qu'il allait s'atteler à terminer les chantiers qu'il avait commencés pour le bien être des Katangais.
Ils ont montré leur soutien indéfectible au président Joseph Kabila lors de la crise qui a enflammé la capitale fin janvier. Portrait des personnalités incontournables du pouvoir à Kinshasa. Manifestations, répression policière, activité économique et communications à l'arrêt, cacophonie au Parlement... La fièvre qui s'est emparée de Kinshasa du 19 au 21 janvier, faisant entre 14 et 42 morts selon les sources, a donné des sueurs froides jusqu'au sommet de l'État.

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