Dans la province du Nord-Kivu, l’opération « Sukola 2 », pour traquer ceux d’entre eux qui ont refusé de se rendre volontairement*Le chef de la Monusco qui salue l’annonce du lancement des opérations militaires de traque contre les FDLR par le Gouvernement congolais, soutient pleinement les FARDC, tant sur le plan opérationnel que logistique. Il précise que seuls les combattants seront visés dans ces opérations et que son institution ne ménagera aucun effort pour protéger les populations civiles
Sécurité
L’information nous parvenue à la Rédaction du Journal L’Avenir indique que ce territoire vit dans une insécurité profonde, suite à un dispositif impressionnant de la Police nationale congolaise, depuis la nomination de l’actuel Gouvernement de cohésion nationale dit Matata II.
La visite le 28 janvier 2015 à Beni du chef d’Etat-major général des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), le général Didier Etumba, intervenant quelques jours après la nomination d’officiers généraux au Nord-Kivu, laisse entrevoir le lancement « immédiatement » des opérations militaires contre les rebelles rwandais des FDLR pour leur « désarment forcé ».
* Pour Martin Kobler, il était temps de lancer les opérations militaires contre les rebelles hutus rwandais.
Sale temps pour les FDLR en RDC. C’est du moins ce qu’on peut dire avec la grande offensive militaire qui commence. Car, plus rien ne sera désormais comme avant pour les éléments des FDLR. Après l’expiration du délai accordé aux rebelles hutus rwandais des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), voici le lancement des opérations militaires.
A l’initiative de Search for Common grounds
Renforcer la crédibilité, l’efficacité et la redevabilité des forces de sécurité congolaise dans leur mission de protection des populations dans les zones de la République Démocratique du Congo affectées par des conflits à court et moyen terme ;permettre une compréhension des objectifs, résultats et principales activités de cette phase et recueillir les orientations nécessaires à sa mise en œuvre ; présenter le guide de sensibilisation des éléments FARDC tel qu’amendé lors de l’atelier de lancement ; valider les termes de référence de la collaborati
Des violents combats opposent depuis jeudi 15 janvier dans la matinée les Forces armées de la RDC aux miliciens de la Force de résistance Patriotique de l’Ituri (FRPI) de Cobra Matata. Les deux protagonistes s’affrontent dans la chefferie des Walendu-Bindi. Les forces loyalistes affirment que ce sont des miliciens qui les ont attaquées.
La police de Mbandaka, dans la province de l’Équateur, a présenté mercredi 14 janvier huit suspects accusés de banditisme urbain «Kuluna». Selon le commissaire urbain de la police, le colonel Gilbert Mande, le leader de ce groupe, un certain Reagan Wena, était déjà recherché pour avoir amputé l’avant-bras d’une quinquagénaire dans le quartier Mbandaka II.
Trois personnes sont mortes dans un accrochage qui a opposé dans la nuit de mercredi à jeudi 15 janvier les Forces armées de la RDC à un groupe d’hommes armés supposés appartenir au groupe Yakutumba. Les combats ont eu lieu à Tulongye, un village situé à 35 km au sud de Lulimba (Sud-Kivu).
Selon des sources locales, des hommes armés en provenance de la forêt de Ngandja qui ont tenté de piller des boutiques dans le village de Tulongwe ont été surpris par les FARDC en patrouille dans la zone.
Ces malfrats ont fui et se sont retrouvés niveau d’une position d’autres militaires.
Images et commentaires sur le contrôle total de la ville de Beni et sa périphérie par les éléments des FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) et de la Monusco (Mission des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo) depuis un bon bout de temps sont diffusés en boucle sur les médias audiovisuels publics.
Après l’Angola, l’Afrique du Sud réaffirme son engagement total dans la lutte pour la neutralisation de toutes les forces négatives résiduelles en République démocratique du Congo, dont les rebelles rwandais des Fdlr.